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ST ENT 04x17 Bound (Le lien)
Crédits officiels :
- Histoire & dialogues : Manny Coto
- Réalisation : Allan Kroeker
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« Science fiction is the most important literature in the history of the world, because it's the history of ideas, the history of our civilization birthing itself. Science fiction is central to everything we've ever done, and people who make fun of science fiction writers don't know what they're talking about. »
Feu Ray Bradbury
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Par-delà l'évident hommage à ST TOS 01x03 Mudd's Women et à l'érotisme kitsch de la série originale, ST ENT 04x17 Bound - un épisode d'apparence anodin et ludique voire racoleur - réussit pourtant l'exploit de révéler à lui-même le background exo-sociologique de ST TOS... un point d'en rendre rétroactivement légitimes et même passionnants les aspects les plus raillées par les trekkers, telles les pitreries de Harry Mudd, les danses du ventre sorties de Sinbad, la traite des blanches presque dans la norme au 23ème siècle (dans une société pourtant réputée idéale), et la fascination sous-jacente pour les Orion Slave Girls (établie dès ST TOS 00x01 The Cage).
Soit une façon fort inattendue de transformer certaines des ébauches structurelles et/ou des facilités de production de ST TOS en environnement cohérent, hautement psychologique, et sans complaisance édulcorée.
Par cet épisode jalon, initiatique à sa perverse façon, les Terriens ont noué leurs premiers rapports attractifs-répulsifs (comme envers la pornographie aujourd'hui) avec la culture et la sphère d'influence orionne, faite d'orgies, de concupiscence, de libertinage, de polygamie, d'esclavagisme sexuel, de domination SM consentie ou perverse, de piraterie, de mafia interlope, d'absence totale de conscience et de scrupules… et dont Harrad-Sar est un parangon paroxystique.
La révélation des coulisses de la société orionne repose sur une psychanalyse lacanienne des paradoxes sexuels. Tout l'équilibre sociologique est construit sur un hédonisme SM dominant-dominé réversible, où le vrai pouvoir n'est pas forcément là où on le pense, et ou la libido est son seul vecteur. A l'image de certaines sociétés humaines à la fois matriarcales et sexistes, les femmes orionnes sont officiellement objets et esclaves, mais pourtant leur phéromones hypnotiques leur permettent de contrôler n'importe quel mâle (et évincer n'importe quelle femelle).
Et ce contrôle s'exerce par une suggestivité extrême impliquant une magnification/polarisation des propriétés de gents, en d'autres termes une exacerbation sociale du dimorphisme sexuel : les femmes non orionnes sont écartées de l'extension du domaine de la lutte, atrophiées jusqu'à en devenir transparentes ; les hommes - quant à eux - perdent toute leur féminité naturelle et voient leur virilité exacerbée jusqu'à penser le monde uniquement en terme de rapport de force et de domination brutale (ils en deviennent égocentriques, possessifs, violents, insensibles, irascibles, sans nuances, amoraux voire criminels).
Ce sont donc les femmes orionnes qui ont le pouvoir réel, mais elles préservent pourtant jalousement leur statut d'esclaves, ce qui leur permet de jouir littéralement de leur position de dominées. Renversant totalement la perspective sur le Pandemonium du marché aux esclaves mis crument en scène par ST ENT 04x04 Borderland, ST ENT 04x17 Bound ose même développer un paradigme très politiquement incorrect sur l'esclavage... non seulement où le sujet se satisfait pleinement de sa condition, mais où le tropisme de l'émancipation apparaît même comme un intempestif totalitarisme envers l'esclave, non sans rappeler la psychologie du harem. D'où le malaise que cet épisode a parfois suscité dans la communauté trekkienne...
Mais à l'instar de ST ENT 02x22 Cogenitor, telle est justement la mission première de ST : déranger, choquer, en proposant des variations larger than life de la doxa humaine, y compris sur les questions pourtant sous-traitées et sous-représentées de la sexualité…
ST ENT 04x17 Bound a également induit toute la complexité des jeux d'influences entre cultures antinomiques, des degrés d'interpénétrations subtiles entre civilisations, non sans évoquer la période hellénistique (par opposition à la période hellénique)... initiant ainsi une authentique chaîne causale qui poussera une fraction de l'humanité (durant la TOS-era comme Mudd et même Pike, et durant la TNG-era comme Liam Bilby) à être séduite par l'Orion way of life. Expliquant aussi comment la Fédération empreinte de nobles valeurs et de grands discours s'accommodera avec tartufferie de cet esclavagisme de voisinage... parce que réputé consentant !
En somme, une façon hautement réaliste de contribuer à démystifier l'idéalisme d'une Fédération - dont l'ensemble de l'humanité ne se satisferait pas forcément de son paradis en kit au point de préférer parfois de tout autres choix de vie.
À se demander d'ailleurs si en perspective internaliste, ce ne sera pas de cette influence "adstratique" orionne que résultera la "régression" machiste "très sixties" de ST TOS (uniformes compris), la "vulnérabilité" des explorateurs civils à un univers de tentations, et plus anecdotiquement la cargaison humaine de Mudd carburant aux phéromones de synthèse (car c'est à ça que tiendra en fait la Venus drug... derrière l'allégorie roddenberrienne).
Quoi qu'il en soit, plus rien ne sera jamais comme avant. Que ça plaise ou non, les Orions sont dorénavant appelés à avoir une influence durable et profonde sur l'humanité !
Mais le "supplément de cohérence" internaliste ne s'arrête pas là. En effet, éclairant les "visions" dévoilées dans le diptyque klingon, cet épisode parachève le tableau prequel de la vulcanité en dévoilant la beauté quasi-mythologique du lien télépathique qui nait du rapport sexuel, étendant en quelque sorte l'invulnérabilité vulcaine à ceux qui se sont intimement liés à eux !
En sus, ST ENT 04x17 Bound est un festival de références à la série originale : les dragons sur Berengaria VII (réplique dans ST TOS 01x26 This Side of Paradise), l'introduction des cristaux de (di)lithium comme régulateurs de l'explosion matière-antimatière formulée exactement à la façon des premiers épisodes de ST TOS, la rencontre de Travis ado avec des Deltanes (en hommage à Persis Khambatta dans ST Phase II et ST TMP)…
Plus notoire encore, s'inscrivant dans la continuité des remarquables ST ENT 02x15 Cease Fire et ST ENT 03x15 Harbinger, ST ENT propose ici une troisième interaction alchimique à la Spock/Kirk/McCoy, mais ponctuée pour la toute première fois (en internaliste) d'une joute humoristique assumée (et non plus simplement tartuffe) à l'instar de celles qui concluaient périodiquement les épisodes de ST TOS. Comme à la fin de ST ENT 03x15 Harbinger, Blalock compose ici avec maestria une T'Pol d'une rare subtilité, avec un jeu fait de faux-semblants ambivalents, de sous-entendus non assumées, d'humour renié. Bref, un Spock au féminin.
Mention spéciale : pour sa pénultième partition trekkienne, Jay Chattaway s'est vraiment surpassé ! Loin de ses habituelles musiques d'ascenseurs interchangeables, la BO de ST ENT 04x17 Bound ne ressemble à aucune autre ! Elle magnifie à la perfection l'envoûtement interlope dans lequel baigne tout l'épisode.
Voici donc l'un des épisodes les plus personnels de Manny Coto, et dont les amateurs d'Odyssey 5 reconnaîtront la virtuosité, notamment envers les questions sexuelles.
Un épisode-collision rétrocédant une place insoupçonnée aux Orions dans l'utopie trekkienne, appelés à être omniprésents par leur impact culturel sans qu'il leur soit forcément nécessaire d'apparaître à l'écran.
Un épisode qui aura réussi à rendre ST ENT 03x15 Harbinger (aka la relation Trip/T'Pol) non seulement légitime, mais même rétroactivement indispensable pour dévoiler une nouvelle facette de la vulcanité... pourtant inscrite dans ses gènes.
Enfin un épisode dédié - comme peu d'autre - aux amoureux de la série originale, aux vrais, c’est-à-dire à ceux qui l'aiment aussi pour ses défauts… transfigurés ici comme par magie en purs joyaux contextuels au bénéfice d'un univers toujours plus paradoxal et donc crédible.
Top franchise (10/10)
« Science fiction is the most important literature in the history of the world, because it's the history of ideas, the history of our civilization birthing itself. Science fiction is central to everything we've ever done, and people who make fun of science fiction writers don't know what they're talking about. »
Feu Ray Bradbury
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10!!!
Quel bonheur cet épisode. Du TOS complet.
Blalock est géniale et maîtrise totalement son personnage.
Un scenario qui aurait pu être transposé dans TOS tellement notre triumvirat aurait pu prononcer l'ensemble des répliques de l'épisode.
Et où l'on apprend quelques détails fort important sur les Orions.
Bravo.
L'être humain a deux vies. La seconde commence quand il se rend compte qu'il n'en n'a qu'une...
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Excellent
Le doute n'est plus permis , Manny Coto est bel et bien un vrai fan de TOS.
Bound est un hommage sincère à Mudd's Women.TOS.1 qui dans la foulée , se crée un " éternel Orion Slave Girl " absolument savoureux & ultra cohérent ..
Impossible d'oublier la danse de Vina , ni même la délicieusement folle Marta.. Bound se joue de ces fanstames "Go Go Dancer Trekien" pour mieux nous prendre à contre pied..
& livrer au final, un épisode satirique qui renvoie machisme et féminisme dos à dos ..
A partir de ce moment, tout le monde savait que la série serait annulée.. Beaucoup ne serait plus donner la peine de dévelloper plus loin l'aspect préquelle de la série. Pas Manny !.. Puisse qu'ici , Le NX01 prospecte des planètes pour créer des Starbases.. Element primordial de la conquête spatiale à la sauce Star Trek & de l'expansion de Starfleet.
Enterprise enchaîne logiquement ce devellopement , aprés l'affranchissement du modèle Vulcain, le lancement du NX02 : Il faut construire des starbases , des ports de ravitaillement ..
Lors de cette opération, Ils tombent sur un vaisseau Orion qui leur fait une proposition commerciale qu'on ne pourrait pas refuser, surtout qu'elle est plutôt bien formulée :
Les pures bombe sexuelles embarquent à bord ( hello ladies ! ), l''équipage mâle se retrouve dans cet état : , tandis que la gente féminine déprime :
Délicieuse mise en abîme du Sex Symbol .. Les Orions Slave Girls tiennent tout le monde à la b(r)aguette & formentent dans l'ombre de leur croupe rebondie, la prise du NX01..
Heureusement pour nous , sont immunisés le faux-vrai couple Trip/T'pol..Toujours prisonniers du jeu de la séduction Vulcainne (" je t'aime, moi non plus").
Dés lors s'engage le combat entre les "Orions Slave Girls" & les " Vulcans Love Slave " pour reprendre le contrôle du vaisseau , les hormones surexcitées contre la logique amoureuse !
Loin d'être une putain de leçon puritaine à la Voyager , le script de Manny Coto est d'une implacable logique vis à vis de la sexualité et des rituels amoureux , jusqu'à jouer sur le double sens du nom : Orion Slave Girl :
"Yes, Captain, you've been operating under a misconception: it is the men who are the slaves, not the women."
Quelle brillante idée , quel délicieux retournement de situation !
& quel génie ce Manny Coto en l'espace d'une seule petite saison, il aura permis de compiler pour l'éternité , les "Infinites" des races les plus emblématique et campy de l'univers Star Trek :
Les Augments , les Vulcains , Les Andorians et les Orion Slave Girls :
Merci, milles fois merci Amiral
Je ne peux pas encore en faire un Top Franchise comme vous.. Je trouve Mudd's Women supérieur.. Bound manque d'un Harry Mudd , un personnage outrancier et charismatique ..L'épisode en terme de tempo manque de constance.. Quoi que tu puisse en dire Yrad , la partition de Jay Chattaway n'arrive jamais à la hauteur de celle d' Alexander Courage.. Notamment pour la danse .
C'était là une occasion de rendre Hommage à Alexander Courage.
PS: les Infinites ou les éternels sont , dans le languague Buckarien , un épisode qui capture ou synthétise l'essence d'une race ou d'un gimmick Star Trek sans renier sa forme primale .
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Un épisode pause et plutôt sympathique pour le "non-trekker", en reprenant la mécanique de nombreux épisodes de la 1ère saison.
Mais évidemment un épisode qui va avoir une raisonnance bien différente pour les amoureux de TOS. Alors même si l'épisode en lui-même est plutôt léger, l'histoire est là comme support pour la nostalgie avec les clins d'oeil à n'en plus finir, ainsi l'hommage fonctionne. Pour les trekkers un peu durs de la feuille on y rajoute même une dernière scène ou T'Pol nous joue les Spock devant Kirk et McCoy Archer et Trip, comme une ultime signature en bas de page de l'épisode. L'hommage est ainsi rendu et signé.
Et puis quel magnétisme...
Alors tout cela conjugué s'additionne pour un 7 qui fait assez plaisir à donner
En revanche je ne souscris pas à la grosse (et très intéressante) analyse d'Yrad en début de sujet. Car pour moi la plupart des arguments étaient déjà donnés dans TOS. ENT n'a fait qu'accréditer ou suivre cet élément du canon. Il n'ya aucun tour de force ni "exploit de révéler à lui-même le background exo-sociologique de ST TOS". Il y'a certes des révélations (comme par exemple la place du syndicat d'Orion au 22ème siecle, la "vraie" place de la femme Orionne), mais je ne vois pas en quoi c'est un exploit en soi. Il s'agit simplement d'un parti pris comme un autre. Comme aussi le fait que ce serait Bound qui aurait "induit toute la complexité des jeux d'influences entre cultures antinomiques", non, car c'est justement l'un des mécanismes et intérêt de TOS dans sa quasi intégralité (et sûrement plus largement de tous ses Spin-off). C'est faire bien trop d'honneur à cet épisode...
Pour mieux me faire comprendre, autant l'explication de la physionomie klingonne pourrait-être estimée comme un tour de force puisqu'il y'avait un gros trou et une contradiction dans le trekverse sur ce cas, autant l'explication "sociologique" concernant le syndicat d'Orion et la manière dont cela enrichi TOS, bof.
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6/10
un épisode sympathique vis à vis des Orionnes, mais derrière on a un épisode des plus normal, l'équipage est confronté à des humanoïdes qui tentent de s'emparer du NX-01, comme dans la saison 1 et 2
Bon si je comprends bien les Orionnes en se faisant passer pour des esclaves elles se font elles-mêmes cheval de troie pour s'incruster chez les peuples... ça je dis pas non, c'est une bonne idée...
Alors je ne sais pas ce que ça vaut, mais n'aurait-il pas été l'occasion pour ST d'introduire officiellement un perso homosexuel, comme le commander Kelby ? et qu'il soit de ceux qui ne subissent pas les hormones des Orionnes, et de faire du lien entre Tucker et T'Pol une affaire secondaire à cet épisode et de rejoindre le psy de Kelby à eux deux à la fin pour les vaincre, et de pousser le différend entre Tucker et Kelby
et entre Tucker et T'Pol, franchement Tucker est culotté et pas très fair-play à la fin ! un mauvais perdant en amour !
Dernière modification par IMZADI (23-05-2018 17:03:38)
-"I'm a number, I'm not a free man, I'm the number NCC-1701..."
Beaucoup de choses que nous faisons tout naturellement nous deviennent difficiles dès l'instant où nous cherchons à les intellectualiser. Il arrive qu'à force d'accumuler les connaissances sur un sujet donné, nous devenions ignares.
- Texte mentat n°2 (Dune: Chapter House)
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10!!!
Quel bonheur cet épisode. Du TOS complet.
Je comprends pas, pour que ENT soit bon, faut que ça fasse du TOS ? Donc ENT doit perdre son identité ?
-"I'm a number, I'm not a free man, I'm the number NCC-1701..."
Beaucoup de choses que nous faisons tout naturellement nous deviennent difficiles dès l'instant où nous cherchons à les intellectualiser. Il arrive qu'à force d'accumuler les connaissances sur un sujet donné, nous devenions ignares.
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dl500 a écrit :10!!!
Quel bonheur cet épisode. Du TOS complet.Je comprends pas, pour que ENT soit bon, faut que ça fasse du TOS ? Donc ENT doit perdre son identité ?
Pas du tout.
Quand les 2 séries se complémentent, se grandissent mutuellement avec 40 ans d'intervalle, c'est là que toute la profondeur d'ENT s'affiche au grand jour.
Et avec toute la complexité de son univers interne et ses talents de ses auteurs.
Imzadi, je lis avec attention tous tes avis sur ENT et je suis surpris de voir que tu es très critique et dur envers cette dernière saison. Pourquoi ?
Dernière modification par dl500 (23-05-2018 18:25:03)
L'être humain a deux vies. La seconde commence quand il se rend compte qu'il n'en n'a qu'une...
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Imzadi, je lis avec attention tous tes avis sur ENT et je suis surpris de voir que tu es très critique et dur envers cette dernière saison. Pourquoi ?
Je ne crois pas être dur. Les épisodes que j'ai vus à l'époque sur Jimmy me faisaient vibrer car justement TOS, surtout le virus Klingon.
Mais en 2018, ils font un peu fan service dans certaine partie à l'intérieur de l'épisode.
J'aime beaucoup de voir que les origines se construisent sur les relations de quelques individus qui apprennent à se faire confiance, à devenir amis, plutôt que des alliances entre dirigeant via des pourparlers économiques, commerciaux par exemple. L'idée que les Romuliens obtiennent l'effet inverse de la discorde est sympa mais pour moi mal fichu avec cet étonnant drone à holographie.
Mais surtout ce qui me gêne c'est que tout se concentre dans les événements clés sur Archer. C'est trop je trouve. En plus ils deviennent des inspecteurs enquêteurs.
C'est sympa de découvrir et d'approfondir des peuples comme les Andoriens, mais pour celui qui va suivre la chronologie, on en parle plus... Désolé mais la diversité des aliens contribue aussi à aimer une série en particulier. Là on serait séduit en voyant tous ces peuples et puis plus rien, sauf les Vulcains. Certes le futur en présentera des nouveaux mais un fil autre que les Vulcains plaît aussi je pense quand on croit qu'on verra Andorien et Tellarites par exemple.
J'aime l'épisode avec le créateur du téléporteur, on a l'aspect SF de cette technologie et la touche humaine via les sentiments en tant que père.
L'épisode des Organiens, il bonifie quoi ? Du pur fan service ! Car franchement je vois pas comment vibrer pour le newbie qui va ensuite voir errand of Mercy...
Mais je passe de bons moments. Au contraire, je trouve que vous faites trop de sympathie, juste parce que la saison 4 nous colle du TOS
J'aime donc l'exploration du début, les problématiques qui surgissent comme les Xindis, les coups de gueule avec les Vulcains et les nouveaux potes comme les Andoriens... Mais on est 110 avant Kirk, donc trop de TOS, complète certes mais retire de la personnalité à ENT
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Beaucoup de choses que nous faisons tout naturellement nous deviennent difficiles dès l'instant où nous cherchons à les intellectualiser. Il arrive qu'à force d'accumuler les connaissances sur un sujet donné, nous devenions ignares.
- Texte mentat n°2 (Dune: Chapter House)
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double post, désolé.
Dernière modification par dl500 (25-05-2018 09:12:40)
L'être humain a deux vies. La seconde commence quand il se rend compte qu'il n'en n'a qu'une...
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Le fan service est certes très présent dans cette quatrième saison, mais peut-être le remarques tu plus parce qu'il est cette fois orienté TOS.
Sur les deux premières, ce sont les espèces du 24 ieme siècle que l'on voit : Ferengis, borgs...
ENT est la seule série qui fait le lien avec les 5 autres, TAS y compris et de belle manière en la canonisant.
Parce que lorsque que tu cites le fait que l'on ne voit plus les andoriens ni les tellarites après TOS dans l'ordre chronologique, les Vulcains ne sont pas bien mieux lotis... Ils sont relégués à de courtes apparitions dans les 3 séries 24.
En fait seuls les Klingons et Romuliens sont réellement représentés tout du long.
L'être humain a deux vies. La seconde commence quand il se rend compte qu'il n'en n'a qu'une...
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