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#26 07-04-2020 09:04:16

dvmy
Génie incompris qui se comprend

Re : L’industrie, l’artisanat cinématographique

SW7 est raté et surtout très fainéant et SW8 encore plus raté en plus d'être extrêmement soporifique et ennuyeux mais pour SW9 on ne peut pas dire qu'on s'y emmerde, j'y décèle un vrai travail de cinéaste pour certaines séquences... et j'en ai été le premier étonné. Si JJ est si malléable vis-à-vis de la prod c'est parce que c'est avant tout un producteur lui-même. Evidemment cela ne veut pas dire qu'il va devenir un bon cinéaste mais on peut tout de même espérer qu'il devienne un meilleur cinéaste. Il lui a fallu faire 4 films en cinémascope pour enfin savoir l'utiliser à bon escient et six films pour être quelque peu inventif. Je ne dis pas que je deviens un fan du bonhomme car c'est loin d’être le cas mais je lui reconnais une belle progression avec SW9 et quelques réussites artistiques (oui oui, artistiques) par ci et par là.
Quant à Columbus (et non Colombus) c'est un artisan parfaitement honnête qui sait comment raconter une histoire et la mettre en image de la façon la plus simple et compréhensible possible. D'ailleurs même 20 ans plus tard ses Harry Potter gardent un charme dont les films de Yates n'ont jamais bénéficié. Si j'avais eu 8 ou 10  ans quand les premiers volets sont sortis je crois que j'aurais adoré comme j'ai adoré Gremlins, les Goonies et Le secret de la pyramide à mes 10/11 ans.

Dernière modification par dvmy (07-04-2020 09:06:00)


On peut rire de tout, mais pas avec tout le monde. (Desproges)

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#27 07-04-2020 11:01:22

Oberon
Section 31

Re : L’industrie, l’artisanat cinématographique

Merci de me signaler que j'ai écorché le nom de ce pauvre Columbus, je suis allé corriger ça. Et je souscris tout à fait au charme des premiers opus (davantage la chambre des secrets pour moi, qui en dépit d'un côté parfois un peu cul-cul, garde aujourd'hui encore un fort capital sympathie en ce qui me concerne) que tu décris, et il est certain que c'est au réalisateur qu'on le doit.
Je prends note de tes observations sur l'évolution plastique de JJ, et je pense donc qu'il faudra que j'aille me faire ma propre opinion sur SW 9... un de ces quatre. Si d'aventure JJ pouvait se réveiller un matin et comprendre comment on écrit comme il semble, d'après tes dires, enfin comprendre comment on réalise, je pourrai même me réconcilier avec lui. Le scénario reste toutefois aussi peu probable qu'un épisode d'Alias, mais sait-on jamais...
Je ne partage pas ta sévérité sur Yates, en revanche, et serait curieux de comprendre tes raisons. Le prince de sang-mêlé reste aujourd'hui encore mon favori de la franchise originelle, tant pour son ton crépusculaire très bien amené que pour ses plans parfois très bien pensés. Bon, si je suis totalement honnête, le 7 partie 1 comme 2 sont pour moi ratés, mais pas pour la réalisation. C'est surtout le rythme trop lent du premier (mais imposé par le découpage pour amener le second) et le climax lamentable sur un Voldemort ridicule (mais ce personnage est raté comme antagoniste dans les livres, donc là encore, dur de blâmer Yates) qui fait plus gamin capricieux que grand leader de la plus grande coalition de mages noirs depuis Grindelwald. En revanche, c'est bien à Yates que l'on doit le meilleur combat de mage (et impeccable dans sa mise en scène) à la fin de l'ordre du phénix.
Du coup, pourquoi une telle aversion pour ce réalisateur?


"No beast so fierce but know some touch of pity. But i know none, and therefore am no beast."
Richard 3

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#28 07-04-2020 11:11:42

dvmy
Génie incompris qui se comprend

Re : L’industrie, l’artisanat cinématographique

Je veux bien parler de la franchise Harry Potter (que j'aime bien sans plus) dans les sujets dédiés. Oui c'est vrai je n'aime pas Yates. Mais alors pas du tout. Ses Potter sont lents, chiants, mous, mal rythmés, froids et surtout manquent d'imagerie fantastique. Les éléments sont là mais il n'est pas fan du genre et cela se voit. J'ai détesté de À à Z son Tarzan pour les mêmes raisons. En tant que fan de Edgar Rice Burroughs je me suis senti insulté par autant de mépris envers le genre. Son pire Potter est les reliques de la mort partie 1. Il ne s'y passe rien et c'est tellement lent et chiant... Un film de 2h30 aurait suffit pur cette fin en deux parties. Ceci dit sa manière de filmer est souvent inventive je l'avoue.

Dernière modification par dvmy (07-04-2020 11:17:54)


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#29 07-04-2020 16:35:15

Prelogic
Legaliste

Re : L’industrie, l’artisanat cinématographique

Bien.

Dvmy, tu as raison et je partage tout à fait ton sentiment : dans la vie, rien n’est tout noir ou tout blanc.

Pour le reste, tu mélanges un peu tout et tu sembles vouloir prêter aux autres des intentions qu’ils n’ont pas (ce qui te conduis bien souvent à juger les gens sur un coup de tête comme Oberon, alors que vous démontrez dans les quelques derniers échanges ci-dessus qu’il vous est possible de discuter ensemble sans violence et je m’en réjouis).

C’est justement parce que le monde n’est pas tout noir ou tout blanc qu’il convient de l’analyser, de le réfléchir, de le discuter, voire de le contester (et je dis ça en étant moi-même d’obédience libérale à l’origine mais sans doute plus pour très longtemps, étant donné les conséquences très intéressantes du Coronavirus sur notre manière de vivre au quotidien et la nécessité de repenser l’économie). D’où l’utilité de ce topic qui sert avant tout (je crois) à montrer que l’art et la politique (notamment de ce côté de l’Atlantique) marchent main dans la main et ce depuis une éternité. Et que cette manière de procéder à des conséquences concrètes sur notre manière d’appréhender l’art, la culture et notre rapport à la civilisation – oui, je pense que nous sommes sur un topic qui revendique un côté « long-termisme » et qui cherche manifestement à « voir » les conséquences sur le long terme d’un certain nombre de décisions « politiques » ou « économiques ».

Je n’ai jamais prétendu que JJ Abrams était l’Antéchrist, ni même que la Walt-Disney Company était une abomination éternelle et autres lamentations de groupies outragées. Je pense qu’il y a un certain nombre de constats à faire, non pas pour un en retirer un profit personnel ou une gloire éphémère (je m’en fiche je ne joue pas ma vie sur Internet comme je l’ai déjà dit), mais bel et bien pour discuter et confronter nos avis. Ce qui est personnel et propre à chacun n’a rien à voir avec le fait de faire preuve d’esprit critique.

Oberon a pointé du doigt ce qui fait que certains films, même mineurs, resteront dans le patrimoine cinématographique mondial et pourquoi d’autres n’auront jamais cette chance. Certains films s’adressent à l’humanité, d’autres ne font que se regarder le nombril : exactement ce que m’inspire les ¾ de la carrière de JJ Abrams en ce qui me concerne. Ce qui ne veut pas dire que JJ Abrams n’est pas en mesure de le comprendre à terme : mais tant que le Box-Office camouflera la médiocrité de la vision de ces technocrates d’Hollywood, les topics se questionnant sur « l’art et l’industrie » continueront de fleurir.

Sinon, je m'apprête peut-être à enfoncer des portes ouvertes mais je prends le risque : vous savez qu'on peut tout à fait intellectualiser les choses ou faire preuve d'esprit critique et trouver un certain plaisir malgré tout devant un film ? Ce n'est pas sale ! Par exemple, on peut adorer la série Picard mais être tout de même en mesure d'y réfléchir. Comme on peut défendre et soutenir la vision d'un George Lucas, et être en mesure d'y trouver des failles malgré tout. Rien ne l'interdit. Et en ce qui me concerne, je ne m'interdis rien, tant que cela participe d'une recherche fondamentale.

Maintenant, le sujet du topic est celui-ci : l’artisanat face à l’industrie. Non pas : faut-il adorer ou détester JJ Abrams ?

Dernière modification par Prelogic (07-04-2020 17:08:34)


Pour empêcher les peuples de raisonner, il faut leur imposer des sentiments
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#30 07-04-2020 16:51:17

dvmy
Génie incompris qui se comprend

Re : L’industrie, l’artisanat cinématographique

On a dévié JJ Abrams parce que j'ai cité SW9 en exemple. Mais je pourrais te citer le premier Jurassic Park tiens, l'un des pire films de Spielberg, enfantin et ulra commercial qui s'est fait uniquement à cause d'une étude de marché. Un film 100% commercial avec lequel Spielberg voulait redorer son blason suite à plusieurs Flops commerciaux et critiques. Voilà un film qui en-dehors de sa révolution technologique ne vaut vraiment pas grand chose et qui est pourtant resté dans l'histoire. Mais je pourrais citer le premier Batman de Burton aussi, avec son mattraquage commercial hallucinant ( je m'en souviens j'avais 15 ans et je n'ai jamais revu un tel bourrage de crâne par la suite), film détesté par la critique lors de sa sortie alors que sa suite a été encensée. Aujourd'hui on juge le film pour ce qu'il est, et en définitive il est davantage apprécié que sa suite. Donc franchement qui peut savoir ? Mon idée est que dans 20 ans on ne retiendra que l'épisode 9 de cette triste non-trilogie SW.

Et puis en tant que fan de films d'exploitation je me fiche un peu de la valeur artistique de certain films. Certains sont devenus cultes malgré le manque de talent derrière la caméra.

Dernière modification par dvmy (07-04-2020 17:31:16)


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#31 07-04-2020 17:37:10

matou
modérateur

Re : L’industrie, l’artisanat cinématographique

Pour Jurassic Park sa force reste le travail de Lucas dessus.
Et perso, je le préfère à la liste de Chindler, film pour lequel il a abandonné Jurassik Parc.
Oui Chindler a plus de fond et de puissance graphique. Là où JP a reste du divertissement.
Mais voilà, Chindler montre les limites de Spielberg sur les sujets sérieux. Après ce film, il a par exemple dit qu’il ne pourrait jamais plus faire des nazis comme dans les Indiana Jones... Alors que justement, et c’est que disent des historiens, c’est en ne sacralisant pas le « mal » qu’on lutte contre lui.
J’ai les mêmes réserves sur le soldat Rayan.
Il faudra attendre Munich et Le pont des Espions pour que Spielberg se montre à la hauteur de l’Histoire qu’il convoque.

Donc entre un fond qui manque de compétence pour vraiment être à la hauteur des enjeux, et une absence de fond mais diablement efficace (à condition que l’on sache rester humble et respectueux du public), je préfère le second.

Mais Spielberg est un maître du cinéma, car même si j’ai à redire sur le fond, il y a dans tout ces films de vrais moment de cinéma.
Ce qui me dérange c’est de présenter Abrams comme un successeur / héritier (je parle dans les media). Abrams est en dessous de lui dans tous les domaines. Je trouve même qu’on ne peut décemment les comparer.

Pour Columbus, je trouve que ce que l’on ne met pas assez en avant c’est sa faculté à penser « univers fictionnel ». Il montre que l’univers pensé par lui, ne se limite pas à juste ce qui est montré. C’était le réalisateur parfait pour adapter Harry Potter. D’ailleurs son travail sera repris par tous les autres réalisateurs. Je trouve qu’il lui manquait cette noirceur qu’apportera Cuaron. Mais justement, le Harry 3, c’est le début du passage à l’adolescence, la fin de la naïveté de l’enfance. Il fallait cette touche de noirceur.
Mais pour pouvoir faire une rupture, ce que fait Cuaron, il faut qu’avant il y ait cette justesse dans le traitement d’une histoire d’enfant. Et clairement Columbus y arrive haut la main.

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#32 07-04-2020 17:51:00

dvmy
Génie incompris qui se comprend

Re : L’industrie, l’artisanat cinématographique

Moi je n'ai jamais considéré que JJ est l'héritier de Spielberg comme l'estime beaucoup de monde. Il ne suffit pas d'être fan pour être à la hauteur. Tout le monde n'est pas Brian De Palma. J'adore Lucas, DePalma, Harryhausen et Burton ? Ais-je ne serais-ce que le huitième de leur talent ? Certainement pas.

Dernière modification par dvmy (07-04-2020 17:51:25)


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#33 07-04-2020 18:19:44

Prelogic
Legaliste

Re : L’industrie, l’artisanat cinématographique

Une œuvre peut être commerciale et utiliser à son avantage les rouages de l’industrie, sans pour autant se renier. C’est un fil ténu et délicat, mais quand tu as suffisamment de talent, tu peux t’en sortir sans trop perdre de plumes. Jurassic Park est un film « commercial », jusque dans son meta-discours (ce plan sur les objets dérivés du parc, qui seront vendus par la suite dans le monde). Mais c’est aussi un film solide dans son écriture, qui tente de parler au public – certes, le discours pseudo-scientifique du roman est grandement dilué, mais il en reste encore l’essentiel à travers cette fameuse scène autour de la table, et le monologue de Jeff Goldblum qui (hasard ou pas) a marqué le public par sa justesse et la critique à peine voilée qu’il adresse à l’aventure libérale (il est question d’acte violent de pénétration et de science sans conscience, ce qui peut s'appliquer tout autant aux majors qui font n'importe quoi avec leurs IP).

C’est un peu comme Retour vers le Futur à mon sens : les scènes d’action avec la Delorean sont géniales, mais le cœur du film est ce moment familial autour de la table qui voit Michael J Fox assister silencieux, quasiment hors du cadre, à la déliquescence de sa famille (le divorce ou la menace de la dislocation familiale sont au cœur des préoccupations de Spielberg depuis toujours, et les enfants de Jurassic Park sont également des enfants délaissés par leurs parents et choyés par leur grand-père).

On peut se poser des questions sans pour autant tout jeter à la poubelle : Jurassic Park est un jalon qui a permis de faire la démonstration de la puissance d’ILM qui est une émanation de Lucas, idéaliste indépendant qui souhaitait avant tout se débarrasser de l’emprise des studios. Mais c’est aussi un film personnel pour Spielberg, qui profite de cette histoire de dinosaures pour nous parler de la famille et de la reconstitution de la cellule familiale : les dinosaures ne font pas le poids face aux angoisses d’Alan Grant de fonder un foyer !

Munich à l’époque m’avait interpellé : je trouvais ça couillu pour quelqu’un comme Spielberg de montrer les ravages de la haine communautariste, d’un côté comme de l’autre de l’équation. Eric Bana n’est pas un héros, mais presque une victime collatérale. Il faudrait montrer ce film dans les écoles et pouvoir en parler, même si je doute du résultat.

Sinon, je partage votre point de vue concernant Columbus et David Yates : j’ai beaucoup aimé les 4 premiers films HP, je trouvais qu’on commençait progressivement à adapter véritablement les bouquins et à se lâcher sur la créativité. Et puis, à partir du 5, on a commencé à ressentir une forme d’interventionnisme typique. D’où l’impression d’avoir un budget coupé par 2 ou 3, des décors fauchés, des décisions incompréhensibles (cette manie de vouloir toujours adapter le dernier tome en 2 parties…), une photographie piteuse, bref… du coup j’ai fait l’impasse sur les Animaux Fantastiques.

Alors oui, c’est toujours drôle d’entendre dans un blockbuster un discours sur les valeurs morales : mais quand c’est Spielberg, Zemeckis, Lucas ou Cameron, je sais que je ne serais jamais pris pour un con. Même si je n’aime pas ce que je vois, que je m'ennuie ou que je n'adhère pas. Au final, il y a très peu de choses que j'ai envie de jeter dans la carrière d'un Spielberg, même si j'écoute volontiers les critiques avec lesquelles je ne suis pas toujours d'accord.

dvmy a écrit :

Il ne suffit pas d'être fan pour être à la hauteur.

Voilà. Rien à rajouter. C'est exactement le problème.

Dernière modification par Prelogic (07-04-2020 18:22:40)


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#34 07-04-2020 18:52:26

matou
modérateur

Re : L’industrie, l’artisanat cinématographique

dvmy a écrit :

Moi je n'ai jamais considéré que JJ est l'héritier de Spielberg comme l'estime beaucoup de monde. Il ne suffit pas d'être fan pour être à la hauteur. Tout le monde n'est pas Brian De Palma. J'adore Lucas, DePalma, Harryhausen et Burton ? Ais-je ne serais-ce que le huitième de leur talent ? Certainement pas.

Oui je sais mais comme je te dis, bq dans les media le disent...

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#35 07-04-2020 18:57:48

dvmy
Génie incompris qui se comprend

Re : L’industrie, l’artisanat cinématographique

matou a écrit :
dvmy a écrit :

Moi je n'ai jamais considéré que JJ est l'héritier de Spielberg comme l'estime beaucoup de monde. Il ne suffit pas d'être fan pour être à la hauteur. Tout le monde n'est pas Brian De Palma. J'adore Lucas, DePalma, Harryhausen et Burton ? Ais-je ne serais-ce que le huitième de leur talent ? Certainement pas.

Oui je sais mais comme je te dis, bq dans les media le disent...

Parce que JJ est un copiste qui sait reproduire l'emballage mais pas le contenu.

Dernière modification par dvmy (07-04-2020 19:36:31)


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#36 16-08-2020 14:01:39

matou
modérateur

Re : L’industrie, l’artisanat cinématographique

Une rumeur donnerait un changement de nom, certainement pour une ouverture à l’international de CBS All Accès.
https://trekmovie.com/2020/08/14/cbs-al ? paramount/

A savoir que le groupe fusionné est très endetté et donc soumis à la tension des actionnaires. Mais comme la majorité des actions est détenue par une famille, cela permet d’être moins exposé.
Cela me permet un commentaire.
Desilu qui produisait des séries a été racheté par Paramount en 1967 (c’est un peu plus compliqué que ça mais passons). Droits ensuite aux mains de Viacom (qui possédait CBS et Paramount). Prix d’achat 17 millions de l’époque. 130 millions actuels environs.
Les droits de mission impossible et Star Trek ont été ainsi achetés.
Depuis cet investissement a rapporté énormément !
Et jeu de l’esprit, racheter les droits de Star Trek coûterait environ 4 milliards de dollar ! Et ceux de mission impossible augmenteraient encore plus le prix à payer...

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#37 04-12-2020 16:10:39

Pok
vétéran

Re : L’industrie, l’artisanat cinématographique


♫ space maybe the final frontier but it's made in a Hollywood basement ♫

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#38 01-06-2022 11:30:04

Prelogic
Legaliste

Re : L’industrie, l’artisanat cinématographique

Un documentaire très intéressant sorti il y a quelques jours sur l'évolution de la couleur au cinéma : choix politique / idéologique / technique ? Peut-être tout cela à la fois...

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Dernière modification par Prelogic (01-06-2022 11:30:35)


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