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#51 12-08-2020 20:35:52

scorpius
Nowhere Man

Re : Le DCU, grandeur et misère

Birds of Prey

C'était très mauvais.

Le souci principal de ce film est qu'il a choisit de transformer le personnage d'Harley Quinn, au point qu'elle en est méconnaissable. On sent qu'il veulent en faire une héroine trash à la Deadpool, qui servirait de vecteur à un humour irrévérencieux (qui se le voudrait du moins). 

Le problème étant que Harley Quinn n'est pas une héroine, elle est une victime du Joker, sa vitime préférée parce qu'elle est assez "résistante" pour supporter la constante torture mentale et physique que lui inflige son amant. Mais bon, Suicide Squad ayant transformé cette relation en une simple romance "interdite", un truc un peu edgy pour les mamies façon 50 Shades of Grey, fallait pas s'attendre à des miracles. On notera tout de même que le montage original de Suicide Squad était bien différent, avec notamment toute une sous-intrigue ou le Joker de Jared Leto utilise de pauvres femmes ressemblant à Harley durant leur séparation. Mais elles ne sont pas aussi "résistante" qu'elle et il finit par les buter froidement... C'était bien plus fidèle à la nature complètement niquée de leur relation (j'espère qu'on le verra un jour ce montage).

Ce qui amène à l'un des soucis majeurs de ce film, jamais il n'assume l'implication morale de la relation entre le Joker et Harley telle qu'elle est décrite dans le DCEU. Harley n'est pas une victime, elle est donc pleinement complice des actions criminelles du Joker, sans aucune justification/"excuse" psychologique. Mais ça le film s'en branle, nan, Harley est une "femme forte" puisqu'elle échappe à la masculinité toxique du Joker et basta... A gerber!

Reste quand même Margot, qui si on oublie toute forme de contexte, livre une prestation excellente, pleine de charme et d'énergie tout en ayant ce vrai grain de folie qui aurait pu rendre le truc fun (dans un bon film). A saluer également, la prestation d'Ewan McGregor, impérial comme d'habitude (même si bon, il crève comme une merde et son personnage aurait mérité d'être beaucoup plus développé).

Dernière modification par scorpius (12-08-2020 22:04:31)

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#52 23-08-2020 05:11:31

scorpius
Nowhere Man

Re : Le DCU, grandeur et misère

w0kr0aszomi51.jpg

Bande annonce :

https://www.youtube.com/watch?v=z6512XK ? =emb_title

Ce sera diffusé sur HBO Max sous la forme d'une mini-série de 4 épisodes d'une heure chacun. Snyder laisse néanmoins entendre qu'un montage de 4 heures sera disponible en blu ray à un moment ou à un autre.

Wonder Woman 1984 : https://www.youtube.com/watch?v=1c2LU-n ? =emb_title

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#53 23-08-2020 07:59:46

dl500
TOS Forever

Re : Le DCU, grandeur et misère

J'ai aimé les 3 bandes annonces... Et cette fois, on a bien l'impression que les 3 films ont leur propre identité.
The Batman finalement me fait envie. L'ambiance est à tomber. En espérant que le film tiendra la route.
Wonder woman ça peut le faire aussi si une redite en terme de construction narrative, d'humour balourd ou de gros(se) méchant (e) à la fin n'est pas pas dangereusement à prévoir.
Et enfin Justice League, le vrai, celui qui conclut une trilogie, la bande annonce montre clairement que le film n'aura rien à voir avec le brouillon livré en 2017.

DC a l'air d'enfin accepter sa propre identité, plus adulte que Marvel.


L'être humain a deux vies. La seconde commence quand il se rend compte qu'il n'en n'a qu'une...

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#54 23-08-2020 12:43:57

scorpius
Nowhere Man

Re : Le DCU, grandeur et misère

dl500 a écrit :

The Batman finalement me fait envie. L'ambiance est à tomber. En espérant que le film tiendra la route.

Ah, ça fait plaisir smile

Edit : b9lfi769oli51.jpg

Concept art de Flashpoint, avec Bat-Keaton en costume !

Impossible à dire avec ce concept-art, mais je me demande si ils ne vont pas rajeunir Keaton. Ainsi, Barry et le "jeune" Keaton ont une aventure dans la timeline Flashpoint et une fois qu'elle est restaurée, le "vieux" Keaton devient le Bruce Wayne du DCEU (si Affleck est out).

Dernière modification par scorpius (23-08-2020 13:03:48)

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#55 23-08-2020 13:03:34

matou
modérateur

Re : Le DCU, grandeur et misère

Vu la bande annonce de Batman.
Gros travail sur l’image pour faire année 70 80 (lumière blafarde et cadrage, architecture).
Et des ambiances lumineuses des années 2010 (le rouge).
Mais pour en faire quoi ?

A mon avis un film qui a un train de retard. Ce Batman qui semble dérangé et qui parle de vengeance, c’est à l’opposé de ce que les années 2020 vont mettre en avant.

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#56 23-08-2020 13:13:48

dl500
TOS Forever

Re : Le DCU, grandeur et misère

Moi je vois un DCEU qui enfin ne veut plus plagier (en moins bien) Marcel, et qui essaie des films plus adultes et plus "d'auteur".
Je laisse sa chance aux prochains films, les super héros de DC étant quand même les meilleurs personnages à développer au cinéma (à condition qu'on ait des auteurs à la hauteur).


L'être humain a deux vies. La seconde commence quand il se rend compte qu'il n'en n'a qu'une...

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#57 23-08-2020 13:55:33

scorpius
Nowhere Man

Re : Le DCU, grandeur et misère

matou a écrit :

Ce Batman qui semble dérangé et qui parle de vengeance, c’est à l’opposé de ce que les années 2020 vont mettre en avant.

Ce n'est pas à pendre au premier degré.

Dans cette scène, il s'adresse à une bande de criminels. Il ne cherche pas à se venger à proprement parler, mais il se fait passer pour "l'esprit de la vengeance" son incarnation, une créature surnaturelle dont la présence sur Terre n'a pas d'autres buts que de punir les criminels. D'ailleurs, ils chient lttéralement dans leurs frocs, t'en a même un qui est carrément en pleurs mdr

D'ores et déjà une des meilleurs scènes mettant en scène Batman jamais portée à l'écran (ce film va être dément).

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#58 23-08-2020 14:04:23

matou
modérateur

Re : Le DCU, grandeur et misère

Ben justement, vu l’ensemble cents bien plus premier degré.
Puis Batman, défonce carrément un type. Oui j’en connais qui vont dire « trop bon » de ce Batman equalizer.
C’est ce qui montre que ce Batman est à contre temps. Et qu’il suit une des bêtises actuelle: il faut taper fort sur la pègre et se mettant à son niveau de sauvagerie.
On verra. Je suis sur d’apprécier la plastique du film. Pour le fond, cela sera une autre paire de manche.

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#59 23-08-2020 17:13:57

scorpius
Nowhere Man

Re : Le DCU, grandeur et misère

Je trouve ça important de montrer que Batman peut être brutal. Ca fait partie de son arsenal et c'est une chose que les films ont toujours plus ou moins ignorés (c'est même constamment hors-champ chez Nolan). Il y avait un peu de ça chez Affleck, mais le traitement par Snyder était catastrophique, sans nuances, transformant Batman en tueur, pur et simple.

Là, j'ai vraiment le sentiment que le film va explorer en profondeur l'éthique qui anime Batman : jusqu'ou est-ce qu'il peut aller ? Quelle est la limite à ne pas franchir ? Par exemple, j'aime beaucoup cette ligne de dialogue du Riddler dans le trailer "si tu représentes la justice, alors ne ment pas". Est-ce que Batman peut vraiment servir la justice, caché derrière un masque ? On peut aussi penser qu'indirectement ça s'adresse au GCPD, à la corruptions et aux mensonges qui gangrènent les forces de l'ordre de Gotham.

Ca va être un film passionnant.

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#60 09-10-2020 15:44:49

mypreciousnico
Why ?

Re : Le DCU, grandeur et misère

Jutice League | Whedon Cut

Finalement vu, des années après sa sortie. C’était pas génial cette histoire…

"Tell me, do you bleed ?"

Alors, bien entendu, ce film possède des circonstances atténuantes : il y a eu les fameux problèmes de production, Snyder qui quitte le tournage en catastrophe pour des raisons parfaitement compréhensibles, Whedon qui reprend tant bien que mal le projet en le modifiant de manière conséquente et se retrouvera blâmé pour le résultat.

La vérité, c’est que l’origine foutraque du projet se décèle dans chaque seconde de cet objet étrange, le cul entre deux capes, qui possède les défauts du cinéma de Snyder (du numérique absolument dégueulasse, du soap dark emo-teubé…) et de Whedon (visuel hyper télévisuel, à commencer par un cadrage en 1,85 de TV pas du tout raccord avec le reste du DCEU, humour parfois lourdingue…)
Quand aux reshoots, ils se voient à mort, en particulier la moustache de Henri Cavill effacée numériquement (j’en avait entendu parler, mais je pensais pas que c’était à ce point).
Une chose au moins est certaine : ce film ne correspond pas à la vision d’origine de Zack Snyder. Que l’on aime ou pas ce qu’il avait voulu mettre en place depuis son Man of Steel, c’est toujours dommage de constater qu’il n’a pas pu mener son projet au bout.

Pourtant, même en ayant en tête les points que je viens d’énumérer, difficile de passer outre l’aspect général hyper toc, notamment sur certains points qui étaient déjà présents dans les autres films du DCEU (les costumes en particulier celui de Flash sont vraiment ratés). Quant aux scènes d’action, elle sont mooooooooooles et sous prozak...Bon sang, Batman se bas avec le tronc et les effets du Flash sont 100 fois moins crédibles que dans la série TV de la CW !

"It's like this layer of dimensional reality that seems to manipulate space-time. I call it the Speed Force. It causes me to burn a tremendous amount of calories, so I am just a black hole of snacks. I am a snack hole."

D’ailleurs, Barry Allen est foiré à tous les niveaux : son interprète est mauvais comme un cochon, le costume est (j’invente des mots) powerangesque (ou mal mis en valeur ?) et le personnage est réduit à la triste fonction de comic relief qui bave devant les nichons de Wonder Woman (et ça à mon avis le Snyder Cut ne va rien y changer).
On ne s’attardera pas trop sur la scène postgénérique presque gênante, son Deathstroke en cosplay (avec cache oeil scotché au velcro qui se barre…) et son Lex Luthor en mode (in)Justice League.

Quant au scénario, il est sans importance, mais ça s’explique sûrement par le fait que Snyder avait un projet de trilogie et que Stepenwolf devait être un prélude, j’imagine, à l’arrivée de Darkseid. Un peu comme si dans Avengers Infinity War n’avait mis en scène que l’Obsidian Order et que Thanos n’était arrivé que dans la seconde partie… Logique, puisque le DCEU n’a pas eu, à l’instar du MCU, une vingtaine de films pour se développer avant le gros finish qu’était sensé représenter Justcice League.

"Arthur Curry. Also known as Protector of the Oceans. The Aquaman. I hear you can talk to fish"

Il y a pourtant bien quelques rares passages sympas, quelques images cool (le Green Lantern au détours d’un plan ça fait quand même bien plaisir) mais, globalement, ce Justice League monté de bric et de broc est un foirage fascinant...il n’y a quasiment rien qui va...même l’iconisation de Jason Momoa est ridicule en diable...à l’image de cette improbable scène dans laquelle il vide cul sec une bouteille de Whisky avant de plonger dans une tempête…
À l’origine pourtant, Justice League au cinéma c’est quelques chose de fantasmatique, d’homérique, d’impensable. Aujourd’hui évidement, les Avengers s’affrontent au cinéma et les univers partagés ont la côte...mais on ne peux que déplorer qu’un tel film soit aussi...quelconque...au point de ne le voir que des années après sa sortie originale ! Au final, un film d’équipe qui n’émule jamais, des personnages qui n’interagissent pas vraiment, tant tout paraît forcé, plat et sans conséquences.

Par ailleurs, et c’est une position que je défends depuis des années, on peux bien s’en moquer, mais l’univers partagé de la CW (Arrow, Flash, Legend of Tomorow, Supergirl...etc) est nettement plus intéressant. En particulier, leur Flash qui parait plus crédible, même visuellement dans les effets spéciaux, leur Superman aussi (Tyler Oelshin dans Supergirl)...alors que c’est de la TV à très (très) petit budget...

Quoi qu’il en soit, je suis curieux de voir ce que Zack Snyder va livrer comme montage pour sa version complète de Justice League. Il semble, contre toute attente que ce "Snyder cut" ait pris une ampleur inédite : rallonge budgétaire, tournage de nouvelles scènes, retours de Darkseid au premier plan, durée finale de plus de 4H… à voir (j’ai aussi voulu voir le Whedon Cut pour pouvoir comparer les deux). Ceci étant dit, je ne suis pas hyper confiant je dois bien l’admettre, même si ça sera plus sombre et très certainement davantage raccord avec ce qui a précédé. Pour les spectateurs qui ont accrochés à cette vision depuis Man of Steel, c’est quand même une chouette nouvelle.

"The Kryptonian's death plunged this timid world into such terrors. Amazons, Atlanteans, each stands and falls alone."

Pour le reste, je l’ai déjà moult dit, je trouve que le DCEU est un bordel sans nom, qui n’a absolument aucun sens. Signe des temps, les films ne se déroulent même plus clairement dans un univers ou un autre...La réalisatrice du prochain Wonder Woman elle-même est incapable de dire si son film est une suite, un reboot, un seboot… Au final on s’en fout.
Reste ces histoires de différents Batman (celui de Keaton et celui de Affleck) dans le film Flash. J’avoue que l’idée d’un multivers DC m’intéresse grandement, d’autant qu’il permettrait d efaire coexister tout ce bazar (y compris donc le Arrowverse qui fait déjà du multivers sont fond de commerce, avec le succès que l’on connaît). Malgré tout, c’est Flash et Ezra Miller ne m’emballe pas du tout...nous verrons bien !

Je n’ai revu aucun film du DCEU récemment, mais en gros, voici mon classement qui n’a pas davantage de sens que cet univers qui prend l’eau de partout :

1- Man of Steel  / Wonder Woman (les seuls qui restent pas trop mal)
2- Batman v Superman
3- Justice League Whedon Cut
4- Suicide Squad (lui n’a aucun scène rédemptrice, c’est mauvais de A jusqu’a Z)

Pas vu :
Aquaman (interrompu à la moitié)
Shazam et Birds of Prey

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#61 10-10-2020 16:56:43

scorpius
Nowhere Man

Re : Le DCU, grandeur et misère

mypreciousnico a écrit :

La vérité, c’est que l’origine foutraque du projet se décèle dans chaque seconde de cet objet étrange, le cul entre deux capes, qui possède les défauts du cinéma de Snyder (du numérique absolument dégueulasse, du soap dark emo-teubé…) et de Whedon (visuel hyper télévisuel, à commencer par un cadrage en 1,85 de TV pas du tout raccord avec le reste du DCEU, humour parfois lourdingue…)

Pour le cadrage, ça vient au départ de Snyder, sa Justice League sera également en 1:85. En 2016 il avait tourné dans ce format pour facilter une conversion en IMAX, mais bon sa Justice League ne sortira jamais dans les salles IMAX.

Une chose au moins est certaine : ce film ne correspond pas à la vision d’origine de Zack Snyder. Que l’on aime ou pas ce qu’il avait voulu mettre en place depuis son Man of Steel, c’est toujours dommage de constater qu’il n’a pas pu mener son projet au bout.

Raison pour laquelle même si j'en attends pas grand chose, l'existence du Snyder Cut reste assez cool, en tout cas pour ceux qui ont aimé sa vision de l'univers DC (puis au train ou vont les choses, ce sera le seul gros projet super-héroique qu'on verra en 2021).

Pourtant, même en ayant en tête les points que je viens d’énumérer, difficile de passer outre l’aspect général hyper toc, notamment sur certains points qui étaient déjà présents dans les autres films du DCEU (les costumes en particulier celui de Flash sont vraiment ratés). Quant aux scènes d’action, elle sont mooooooooooles et sous prozak...Bon sang, Batman se bas avec le tronc et les effets du Flash sont 100 fois moins crédibles que dans la série TV de la CW !

De ce qu'on voit du trailer de la Snyder Cut, Flash a l'air nettement plus mis en valeur (tout ce qui touche à la Speed force du moins) et Batman semble bad ass (ce plan ou il renvoie du point des tirs de Paradémons, c'était classe). Toujours ça de pris...

D’ailleurs, Barry Allen est foiré à tous les niveaux : son interprète est mauvais comme un cochon, le costume est (j’invente des mots) powerangesque (ou mal mis en valeur ?) et le personnage est réduit à la triste fonction de comic relief qui bave devant les nichons de Wonder Woman (et ça à mon avis le Snyder Cut ne va rien y changer).

J'ai de gros doute sur le Flash de Snyder et je trouve que Ezra est une grosse erreur de casting (bien que je puisse l'apprécier dans d'autres roles) cela dit on sait que dans le Snyder Cut il y a Iris et une sous intrigue avec le père Allen en prison, j'imagine donc qu'au moins le personnage y sera un peu plus "complet" et ne sera pas juste un sidekick comique foirée. D'autant que les gags avec Wonder Woman ça vient de Whedon.

On ne s’attardera pas trop sur la scène postgénérique presque gênante, son Deathstroke en cosplay (avec cache oeil scotché au velcro qui se barre…) et son Lex Luthor en mode (in)Justice League.

Ouais à l'origine cette scène était censé uniquement teaser le film Batman solo d'Affleck (ou il aurait affronté Deathstroke). Whedon l'a en partie retournée avec Luthor pour annoncer une suite avec la "Legion of Doom" abandonnant tous les plans de Snyder rapport à Darkseid, au Superman maléfique et au futur apocalyptique "Knightmare" (ce qui aurait été le sujet des suites de Snyder).

Un beau bordel qui résume bien toute l'entreprise.

Quoi qu’il en soit, je suis curieux de voir ce que Zack Snyder va livrer comme montage pour sa version complète de Justice League. Il semble, contre toute attente que ce "Snyder cut" ait pris une ampleur inédite : rallonge budgétaire, tournage de nouvelles scènes, retours de Darkseid au premier plan, durée finale de plus de 4H… à voir (j’ai aussi voulu voir le Whedon Cut pour pouvoir comparer les deux). Ceci étant dit, je ne suis pas hyper confiant je dois bien l’admettre, même si ça sera plus sombre et très certainement davantage raccord avec ce qui a précédé. Pour les spectateurs qui ont accrochés à cette vision depuis Man of Steel, c’est quand même une chouette nouvelle.

Exactement. Ca reste fou de se dire que Warner/HBO investi encore 70 millions là-dedans... Au final, entre Snyder et Whedon, je crois que le buget combiné de BVS et des différentes versions de Justice League, ça dépasse les 600 millions eek

Aquaman (interrompu à la moitié)

Tu devrais lui redonner une chance. La seconde moitié (en gros à partir du moment ou Arthur et Mera atteingnent Atlantis) ça reste un enchainement de moments de cinés fantasmés complètement fous. Et c'est hyper-pulp, t'as vraiment un feeling de grand film d'aventure exotique qui s'installe avec un climax qui part dans l'horreur Lovecraftienne et la bataille aquatique digne de TCW dont je ne me suis toujours pas remis.

(J'adore ce film).

Dernière modification par scorpius (10-10-2020 16:57:49)

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#62 10-10-2020 18:52:14

mypreciousnico
Why ?

Re : Le DCU, grandeur et misère

Merci pour les précisions smile
Je suis très étonné pour le cadrage. Pour le compte ça faisait tellement "patte Whedon"...
Quand à Ezra Miller oui très grosse erreur de casting. Alors effectivement, si son histoire personnelle est davantage développée dans le Snyder Cut, peut-être que ça sauvera les meubles. Il ne faudrait pas grand chose pour Flash devienne ce gamin avec des pouvoirs qui raconte des conneries parce qu’il est littéralement présences de héros divins et surpuissant.
Franchement je n'ai quasiment aucun espoir de vraiment me régaler devant le Snyder Cut. Mais par contre je le souhaite ardemment. J'espère un grand film !

scorpius a écrit :

Tu devrais lui redonner une chance. (...) enchainement de moments de cinés fantasmés(...) hyper-pulp (...) grand film d'aventure exotique (...) horreur Lovecraftienne et la bataille aquatique digne de TCW (...)

Je te déteste !

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#63 13-10-2020 21:49:41

mypreciousnico
Why ?

Re : Le DCU, grandeur et misère

Aquaman

Après une première tentative de visionnage, lors de la sortie du film, qui s’était soldée par un abandon au bout d’une grosse heure, j’avais tiré une croix sur le Aquaman de James Wan. Évidement, l’ami Scorpius a su trouver les mots comme à son habitude...alors j’ai retenté le coup et j’ai réussi à finir le film !

Avec sa première heure laborieuse, son Arthur Curry badass mais alocolo et son humour au rabais, j’ai fini par me dire que Aquaman était effectivement bien un ratage, que Scorpius s’était en fait moqué de moi et qu’il devait bien rire dans sa forteresse de solitude.

Mais...MAIS !
Il s’avère que, en effet, la seconde partie est bien meilleure et dévoile en fait un film en forme de blockbuster ultime : aventures exotiques, paysages époustouflants et mythologie arthurienne se cachaient en fait au bout d’une heure d’exposition.

"Permission to come aboard"

Car, le spectacle est TO-TAL : je pense que les éruptions de mon caisson de basse ont littéralement détruit toute forme de vie aux alentours de mon domicile ! Pour la première fois depuis les films de Georges Lucas (et dans une moindre mesure les Chroniques de Riddick et Avatar), un film me propose quelques chose de visuellement vraiment époustouflant, grandiose et épique. Des architectures folles, des couleurs chatoyantes, des décors à couper le souffle, une inventivité visuelle digne de la prelogie Star Wars et de The Clone Wars, qui tire astucieusement partie de nombreuses scènes en IMAX (les passages en IMAX remplissant la totalité de l’écran, c’est plutôt impressionnant, même si ça n’atteint pas le degré d’immersion ressenti dans la version IMAX de Hunger Games Part 2) et regorge de petits détails (les cheveux qui flottent dans l’eau) qui donnent de la texture à l’ensemble.

Aquaman est donc une épopée au scénario infiniment classique qui met en scène le roi Arthur Curry qui va chercher le trident qui fera de lui le maître de l’Atlantide, accompagné par une version ultra badass de la petite sirène. Une épopée donc, qui déborde de toute part, grandiloquente à n’en plus finir au milieu des royaumes oubliés, des chevaliers à dos d’hippocampes géants, des combats de tridents, des batailles homériques, des océans et déserts sans fin, sans parler des visions de cauchemars issue de l’imaginaire Lovecraftien…c’est beau, c’est coloré, c’est chatoyant, difficile de ne pas avoir le vertige en découvrant l’Atlantide et un mouvement de recul quand chaque attaque résonne comme un coup de tonnerre.

"The ocean is more than our life soul. It’s who we are."

Il y a une forme de folie baroque complètement jouissive qui fonctionne par on ne sais quel mystère d’équilibriste, alors que ça devrait se casser la figure. Il faut dire que, depuis le film Green Lantern, je n’avais pas vu d’adaptation de comics qui ose se rapprocher autant de son modèle de papier (voir les costumes finaux de Aquaman et Ocean Master pour s’en convaincre). Lorgnant sans vergogne du côté du run de Geoff Johns sur le personnage (Aquaman New 52), le film prend le risque de trop en faire, voir d’exaspérer le spectateur qui aurait aimé plus de mesure. Car de retenue il n’est jamais question ici, que ce soit dans le visuel éclatant ou dans les scènes d’actions furieuses et violentes, mais toujours lisibles, dans un rythme (dans la deuxième partie) échevelé et brutal, dans un montage nerveux ponctués de plans séquences virtuoses, ce film est aussi éblouissant que extrêmement fatiguant !
Aussi, les moments de bravoures cultes se succèdent : la baston homérique en Italie, la visite de la fosse et de ses créatures immondes, la découverte du sceptre et la bataille finale absolument dantesque dont la folie visuelle évoquera furieusement l’ouverture de la guerre de Clones sur Geonosis.

"I’m no leader. I came because I had no choice. I came to save my home, and the people that I love."

Quant aux personnages, Momoa campe un Aquaman simple bourru et gentil, qui souhaite surtout qu’on lui foute la paix. Sauver le monde, l’Atlantide et éviter la guerre avec la Surface, il s’en fout ! Et parcequ’il ne réclame pas le pouvoir, c’est bien entendu lui qui le méritera. Pour autant il parcourra le film sans vraiment trop comprendre ce qui se passe. Quelques part, le cerveau de l’affaire, c’est Mera (et Vulko). C’est elle qui prend tous les risques, qui renonce à son héritage, à son royaume et à son « destin » au nom d’une cause qu’elle crois juste. C’est encore elle qui rattrape les conneries d’un Arthur Curry qui ne comprend pas grand-chose à ce monde complètement étranger auquel il est rattaché par le sang plus que par l’affect.

"...If that’s not good enough…then screw you"

Évidemment, tout n’est pas parfait, on déplorera un humour en mode 90’s qui tombe souvent à plat à base de scato pas rigolo, un Ocean Master falot, sans parler d’un Black Manta dont l’interprète joue comme un cochon à grand renfort de mâchoire crispée.
Mais, le gros défaut du film, c’est surtout son manque d’équilibre : parfois, Wan veux trop en mettre et par moments il n’en met pas assez. La première heure est brouillonne, Black Manta ne sert à rien (mais le fight en Italie vaut le coup donc je suis partagé) et pleins d’aspects auraient mérité qu’on s’y attarde davantage, en particulier la Fosse, l’emprunt le plus direct à la mythologie de Geoff Johns.

Bref, en fonction de sa sensibilité ou peut-être de l’humeur du moment, on pourra voir dans cet Aquaman une fresque épique démesurée ou une boursouflade outrancière. Pour ma part, j’avoue m’être finalement beaucoup amusé devant ce qui reste un des spectacles de super-héros les plus définitif que l’on nous ait offert sur grand écran.

À la lumière de ce qui précède et parce que le DCEU m’a enfin offert un bon film, voici mon classement réajusté :

1- Aquaman
2- Man of Steel  / Wonder Woman
3- Batman v Superman
4- Justice League Whedon Cut
5- Suicide Squad

Pas vu : Shazam et Birds of Prey

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#64 13-10-2020 23:35:38

scorpius
Nowhere Man

Re : Le DCU, grandeur et misère

Tu vantes les mérites de cet Aquaman avec bien plus d'éloquence que moi, Nico smile

Si je devais faire un classement du DCEU, ça donnerait ça :

1 - Aquaman
2 - Shazam
3 - Wonder Woman
4 - Josstice League
4 - BVS
5 - Man of Steel
6 - Suicide Squad
7 - Birds of Prey

Quel univers ciné de l'angoisse quand même, même Shazam que je mets en deuxième position c'est assez médiocre damn (mais bon, je les ai tous acheté en steelbook quand même oops)

Dernière modification par scorpius (13-10-2020 23:37:18)

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#65 14-10-2020 15:22:29

mypreciousnico
Why ?

Re : Le DCU, grandeur et misère

scorpius a écrit :

Josstice League

Héhé lol

scorpius a écrit :

Quel univers ciné de l'angoisse quand même, même Shazam que je mets en deuxième position c'est assez médiocre damn

Ha ouais c'est clair que c'est vraiment pas la noce cet univers...
Bon sang, tu met Birds of Prey derrière Suicide Squad...vu le niveau de ce dernier...Après l'avoir vu je crois bien avoir boycotté les film de superslip pendant quasiment deux ans...Encore aujourd'hui je conserve une défiance vis à vis du DCEU (raison pour laquelle il y a encore certains films que je n'ai pas vu).

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#66 14-10-2020 19:22:27

scorpius
Nowhere Man

Re : Le DCU, grandeur et misère

mypreciousnico a écrit :

Bon sang, tu met Birds of Prey derrière Suicide Squad...vu le niveau de ce dernier...Après l'avoir vu je crois bien avoir boycotté les film de superslip pendant quasiment deux ans...

Pour être tout à fait équitable, BOP est probablement un "meilleur" film, il me saoule juste beaucoup plus. Au delà de mon rejet pour cette version de Quinn, Je trouve ce film atrocement opportuniste, ça tente de bouffer à tous les râteliers, mais ça ne réussi qu'à s'étouffer. Suicide Squand, c'est naze mais au moins parfois il y a une petite singularité ici ou là, ou alors ça vire dans un délire mongoloïde digne de Batman & Robin

Encore aujourd'hui je conserve une défiance vis à vis du DCEU (raison pour laquelle il y a encore certains films que je n'ai pas vu).

Tu peux zapper BOP, mais si un jour de pluie t'as l'occaz' de jeter un oeil sur Shazam, ça se tente. C'est très influencé par la version de Johns, il y a quelques influences sympa (le Chronicle de Trank, notamment) et Strong en bad guy est toujour un bonheur. C'est juste que la sauce ne prend jamais vraiment, la dramaturnie est particulièrement maladroite.

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#67 15-10-2020 15:25:39

mypreciousnico
Why ?

Re : Le DCU, grandeur et misère

Je note pour BoP et Shazam. Je finirait surement par voir les deux un jour ou l'autre, peut-être à l'occasion d'une revoyure de l'intégralité du DCEU. Pour l'instant, j'ai un manque d'envie totale, donc ce sera pas pour tout de suite^^

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#68 16-10-2020 01:44:28

Enterprise-Parameters
membre

Re : Le DCU, grandeur et misère

Soyons dans la tolérance, on sait que Marvel a conquis le grand public au Cinéma mais DC Comics
ne s'en sors pas mal, je vais citer quelques uns des meilleurs :
- Toute la Série Superman : depuis le 1er en passant par Superman Returns
et "Man of Steel"
- La Série Justice League : Batman contre Superman, Justice League, Aquaman,
bémol sur Wonder Woman, j'attends le 2 (Wonder Woman 1984)
- Pour les amateurs : les Batmans (mon préféré est "Batman et Robin")

Côté Marvel, oubliez les Avengers, préférez plutôt les X-Men (les 1ers avec
Patrick Stewart sont excellents), Black Panther, Captain Marvel,
Iron Man (1,2 et 3).

Voilà, vous avez sûrement un avis différent du mien, en tout cas
vous savez ce que j'en pense ... de ces films de Super-Héros.

a+


"Longue vie et prospérité"

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#69 21-10-2020 23:05:50

scorpius
Nowhere Man

Re : Le DCU, grandeur et misère

Jared Leto sera de retour en Joker pour le Snyder cut de Justice League.

Une sacrée surprise, même si ça avait été le plan original d'utiliser le personnage. En gros, l'idée de départ était que le Joker et Batman son des "alliés" de circonstances dans le futur post-apocalyptique "Knightmare" (un peu à "Last Knight on Earth"). Le Joker y est une sorte de trafiquant d'armes qui profite du spectacle apocalyptique, c'est lui qui fournie les armes qu'utilise Batman pour flinguer du Paradémons.

A voir si ce plan de départ n'a pas changé. En tout cas, ça peut potentiellement annoncer le director's cut de Suicide Squad cette affaire (le Joker y tient un rôle bien plus important).

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#70 21-10-2020 23:24:59

Enterprise-Parameters
membre

Re : Le DCU, grandeur et misère

Cette version à l'air vraiment différente de l'original.


"Longue vie et prospérité"

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#71 27-10-2020 16:32:45

scorpius
Nowhere Man

Re : Le DCU, grandeur et misère

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#72 27-12-2020 13:56:16

scorpius
Nowhere Man

Re : Le DCU, grandeur et misère

Wonder Woman 1984

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"Yo, Ho, Yo, Ho! A pirate's life for me."

Bon ben c'était quand même très (très) laborieux tout ça sad

Je vais commencer par le positif, parce qu'il y a des choses positives à relever même si le film est un bordel sans nom. L'ambiance 80's qui a réussie (parfois) à me faire triper, c'est assez inconstant tout au long du film et les références cinématographiques sont maladroites dans le sens ou le film n'est jamais à la hauteur de ses modèles mais lorsqu'il n'hésite pas à être ouvertement cheesy ben ce Wonder Woman peut être charmant. Je pense principalement à cette scéne d'introduction de Wonder Woman dans un centre commercial. C'est au passage la seule scène d'action réussie du film, elle n'a pas du tout d'ampleur (un énorme souci ce cet opus) mais elle est amusante et dégage une énergie ma foi fort sympathique.

Un charme qu'on retrouve dans ce qui est le gros point fort du film : la romance entre Diana et Steve. Là-aussi, il y a pas mal de trucs cheesy, mais c'est du bon cheese. Chris Pine et Gal Gadot sont adorables, c'est structuré de façon assez similaire à Superman II (par amour Diana est prête à renoncer à ses pouvoirs, lorsque l'avenir de la planète est en jeu elle est forcée avec le soutien de son partenaire à choisir de devoir de super-héros). Il y a un renversement vis à vis du premier film ou cette fois, Steve est celui qui "hors du temps" contraint de s'adapter au monde moderne. Certains gags sont un peu lords mais ça fait partie de ce charme cheesy. Puis il y a un vrai lyrisme qui se dégage de la romance avec le coup du jet invisible et cette très belle idée que Steve sert d'inspiration au "first flight" de Wonder Woman.

Tout cela étant dit, la romance a des implications qui laissent très mal à l'aise. Je vais pas rentrer dans les détails pour ne pas spoiler mais disons que si un mec avait mis en scène un Superman agissant de la même façon que Diana avec une Lois dans la même situation que Trevor, il se serait probablement retrouvé blacklisté d'Hollywood plus vite qu'il n'en faut pour dire "me-too".

Dans l'ensemble le film tente clairement de référencer le Superman de Donner, ou la série avec Lynda Carter mais à tendance à surtout faire du Lester. Ca se ressent surtout dans le traitement des méchants. Je vais même pas m'attarder sur Cheeta, c'était navrant de connerie et pas crédible pour un sous, en revanche j'ai bien aimé le Maxwell Lord de Pedro Pascal.

Pedro en fait des tonnes, mais vu que le personnage semble avoir été conçu comme une sorte de caricature de Trump, je trouve que ça passe. C'est pas finaud pour un sous (le coup du mur :mdr) et tout le truc avec son gamin est un brin embarrassant mais Pedro se donne à fond sans virer dans le grotesque (alors que ça aurait vraiment pu).

Un grotesque qu'on retrouve malgré tout dans la résolution du film. J'aime sur le principe l'idée de mettre en avant la nature inspirante de Wonder Woman, le film précédent avait quelques moments du genre sympathiques, mais en 2020 s'imaginer que toute l'humanité est capable de faire preuve d'une telle responsabilité, dans un tel contexte, tout cela est d'une niaiserie affigeante ! Il aurait fallu un peu plus de nuances ici ou là pour que ça tienne un tant soit peu la route.

C'est clairement pas le film qui va relever le niveau du DCEU et je pense sincèrement que dans un monde sans Covid ça aurait été une grosse déception au box office. Il est bien trop long, alors que ça raconte pas grand chose. Il n'a aucune ampleur, mais alors aucune. A ce niveau on dirait un film de super-héros du début des années 2000, type les Fantastic Four de Tim Story. Si encore l'action était un tant soit peu inventive, mais hormis cette scène dans le centre commercial (et l'intro chez les Amazones) c'est d'un chiant... Nico parlait des costumes moches du DCEU, la tradition est ici respectée, l'armure d'or de Diana est d'une laideur sans nom (en plus elle sert pas à grand chose). La transformation de Cheeta, j'en parle même pas.

Un film qui tient vraiment sur ses trois comédiens. Gal Gadot, toujours aussi charmante, pleine d'énergie, capable d'être à la fois bad ass et fragile (la parfaite Wowo, quoi). Un Chris Pine qui a quand même fait de sacré progrès depuis ST2009 et bien entendu Pedro.

Un film qui tient aussi sur sa demi-guibolle fragile, parce qu'on sent que la Patty Jenkins elle voulait surtout réaliser une comédie romantique et que sur cet aspect, mais si ce n'est pas Superman Returns, ça n'en a pas la sensibilité, ben ça tient la route (en dehors du facteur craignos déjà évoqué).

Loin, très loin d'être suffisant cependant.

Top DCEU :

1 - Aquaman
2- Shazam!
3 - Wonder Woman
4 - Josstice League
5 - Wonder Woman 1984
6 - BVS
7 - Man of Steel
8 - Suicide Squad
9 - Birds of Prey

(Puatin, vivement que James Gunn vienne mettre un peu de folie là-dedans quand même)

Dernière modification par scorpius (27-12-2020 14:03:35)

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#73 27-12-2020 14:52:05

matou
modérateur

Re : Le DCU, grandeur et misère

Scorpius, tu verras, Nico sera fan.

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#74 27-12-2020 15:33:49

scorpius
Nowhere Man

Re : Le DCU, grandeur et misère

Pas impossible. Il aime parfois des trucs un peu déviants Nico. Pas mon genre de sortir les dossiers mais on peut citer les Resident Evil d'Anderson ou le premier AvP toujours d'Anderson (un vrai fan décidément). Possible que ce Wonder Woman devienne son film préféré !

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#75 27-12-2020 16:40:18

matou
modérateur

Re : Le DCU, grandeur et misère

Captain Kirk et le Mando autour de Gadot, Ouais, il va pas pouvoir résister. La preuve il ne répond pas. Il doit être bloqué devant son projecteur à revoir les extraits du film en boucle.

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