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ST VOY 03x06 Warlord (Le seigneur de la guerre)
Crédits officiels :
- Histoire : Andrew Shepard Price, Mark Gaberman
- Dialogues : Lisa Klink
- Réalisation : David Livingston
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« Science fiction is the most important literature in the history of the world, because it's the history of ideas, the history of our civilization birthing itself. Science fiction is central to everything we've ever done, and people who make fun of science fiction writers don't know what they're talking about. »
Feu Ray Bradbury
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Bon.
Un épisode intéressant qui vaut surtout pour la prestation de Jennifer Lien. Excellente ici dans un (double) rôle schizophrénique . Warlord est une intrigue qui fleure bon le drame Shakespearien et la théatralité.. Le problème viendrait surtout des acteurs de seconds rôles, visiblement pas à la hauteur des ambitons du script. Néanmoins la direction artisitique et la réalisation de David Livingston réhaussent le niveau. Comme cette séquence " état d'esprit ", un astucieux champ/ contre champ entre Kes et Tieran, ou le seul point de vue de jeune Ocampa prend le dessus sur son adversaire :
"I'll find every little crack in your defences. You'll feel yourself crumbling from within, your sanity slipping away. I won't stop until you're broken and helpless. There's nowhere you can go to get away from me. I'll be relentless and merciless, just like you. "
Kes à Tieran.
Warlord est aussi l'épisode de la rupture ( inévitable) entre Neelix et Kes.. Jennifer Lien est encore une fois excellente.. Mais nous avons la désagréable impression que Voyager désincarne une séquence clé dans l'évolution du personnage. En effet, Kes rompt t'elle de son propre chef avec Neelix ? ou est ce finalement Tieran qui le fait ? Puisse qu'à ce stade du récit, elle est possédé par ce dernier. J'aime le personnge de Kes & je n'ai pas trop aimer la façon donc on la spolie ce moment là.
Malgré tout, Warlord marque définitivement le passage de Kes vers l'âge adulte.. Moins innocence et espiégle qu'elle ne l'était au début de l'aventure , elle aura gouté par deux fois aux fleurs du mal ( cf. Cold Fire.VOY.2 ), plus moyen désormais de faire machine arrière, juste à s'adapter aux émotions les plus noires de l'âme humaine :
KES: Everything seems so different now. My thoughts and perceptions, even my relationships with my closest friends - you, the Doctor, Neelix. How can I go back to my normal life as if nothing ever happened?
TUVOK: You cannot. This experience will force you to adapt. You are no longer the same person, and the course of your life will change as a result. Where that new course leads is up to you.
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6.
Plutôt pas mal.
L'histoire est intéressante même si pas forcément originale. L'intérêt principal se situe sur Jenifer Lien, qui malheureusement force ici bien trop son jeu. C'est dommage car son personnage gagne énormément à se battre contre son envahisseur.
Les décors sentent un peu TOS c'est amusant.
Pas indispensable mais finalement récréatif.
L'être humain a deux vies. La seconde commence quand il se rend compte qu'il n'en n'a qu'une...
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7/10
Un méchant parce que méchant, une énième possession, une Janeway qui veut récupérer un membre d'équipage, un ennemi de mon ennemi qui est donc mon ami... Bref du réchauffé et pourtant l'épisode est bon...
Bien que le Voyager soit amené à avoir des ennemis, cette adversité ici est une prise de pouvoir d'un tyran fou des plus classiques mais voilà, on peut comprendre ce genre d personnalité comparée au comportement des Kazons qui font un peu bourrins.
C'est marrant comme les épisodes guerriers sont différents de ceux de DS9. J'apprécie.
Un bon moment qui m'a surpris aussi par la qualité de jeu de Jennifer Lien vraiment excellent, son regard, son côte bille en tête/fonceuse dans ses décisions.
Dernière modification par IMZADI (17-06-2016 13:46:37)
-"I'm a number, I'm not a free man, I'm the number NCC-1701..."
Beaucoup de choses que nous faisons tout naturellement nous deviennent difficiles dès l'instant où nous cherchons à les intellectualiser. Il arrive qu'à force d'accumuler les connaissances sur un sujet donné, nous devenions ignares.
- Texte mentat n°2 (Dune: Chapter House)
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Le scénario est bateau, mais enfin une Jennifer Lien qui sort du rôle totalement plat de la douce mais sans relief Kes ! Et elle se débrouille plutôt bien je trouve, même si c'est surjoué par moment.
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