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ST TNG 06x03 Man Of The People (Le tribun)
Crédits officiels :
- Histoire & dialogues : Frank Abatemarco
- Réalisation : Winrich Kolbe
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« Science fiction is the most important literature in the history of the world, because it's the history of ideas, the history of our civilization birthing itself. Science fiction is central to everything we've ever done, and people who make fun of science fiction writers don't know what they're talking about. »
Feu Ray Bradbury
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Aïe, 4.
A part permettre de voir Troi dans des vêtements ultra-sexy (sa robe blanche magnifique !), et à Sirtis de s’exprimer sur un autre registre, cette nouvelle variation de vieillissement accéléré et son effet rétro-actif ne prend pas. Même avec le morphing de fin, je n’ai pas accroché. Et pourquoi Beverly est-elle toujours aussi monocorde ? Les maquillages sont mauvais et l’affaire de diplomatie n’intéresse personne !
Raté!
L'être humain a deux vies. La seconde commence quand il se rend compte qu'il n'en n'a qu'une...
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Une énième variation sur le thème de la mort d'une personne pour en sauver des milliers.
Il y'a bien la jolie diatribe de Picard sur la lâcheté du gentil/méchant qui relève le tout, mais pour un thème pareil TNG nous avait plutôt habitué à des épisodes magistraux depuis le matriciel The survivors en début de saison 3.
4/10
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Oui une variation mais pas des plus inspirée. Un épisode bien maitrisé cependant.
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6/10
Utilisation d'un système alien qu'il soit naturel ou technologique pour exprimer "the need fo the few". Sacrifier un petit nombre au profit du plus grand nombre reste intolérable et encore plus dans cet épisode, puisque le "méchant de service" en plus de mettre sa victime dans un état de souffrance, se sert de l'amour pour tromper la confiance et satisfaire son ego.
Apparemment tous les peuples de la fédération n'ont pas assimilé des valeurs "humaines" (terme générique aux humanoïdes). Égocentrisme et cette erreur de jugement sur "la fin justifie les moyens".
Realm of fire et cet épisode Man of the people présentent un futur où les cas isolés ne doivent pas le rester, que les angoisses de Barclay ou les angoisses d'échec de Alkar doivent être aidées, corrigées, afin que tout cas, toute situation, tout peuple, tout individu se bonifie... que la fédération soit réellement cette entité de meilleur pour tous.
-"I'm a number, I'm not a free man, I'm the number NCC-1701..."
Beaucoup de choses que nous faisons tout naturellement nous deviennent difficiles dès l'instant où nous cherchons à les intellectualiser. Il arrive qu'à force d'accumuler les connaissances sur un sujet donné, nous devenions ignares.
- Texte mentat n°2 (Dune: Chapter House)
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Utilisation d'un système alien qu'il soit naturel ou technologique pour exprimer "the need fo the few".
C'est pour ça que je pense que le «The needs of the many outweight the need of the few» de Spock est destiné à s'appliquer à soi-même quand on fait partie de the few. Dans les autres cas, c'est le genre de concept qui est rapidement dangereux, comme le montre cet épisode.
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Comme tout principe, c'est dans les conditions d'application que résident les éléments importants.
Dans le cas de cet épisode, il existe des alternatives, on n'est pas devant un cas avec deux seules options.
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J'ai mis du temps à comprendre ce qu'il faisait, mais le gus, là, il puise dans la force vitale des femmes (et les transformer en vieilles femmes malveillantes) mais c'est un peu débile de faire ça dans un environnement restreint dans lequel sa victime est plus que connue et dont les effets seront forcément détectés à un moment... Nan mais sérieusement? Le gars avoue dans le plus grand des calmes l'abus de pouvoir qu'il fait subir aux femmes? Tu es gerbant, mec. Révoltant. Beurk. J'suis outrée. Je suis énervée. Cela dit, ça explique pourquoi il n'a pas peur de faire ça dans un milieu confiné, puisqu'il s'en bat les steaks et qu'en plus, il a l'immunité diplomatique.
Que Troï est bien quand elle n'est pas cantonnée à son rôle de conseillère ! J'allais dire quand elle n'est pas cantonnée à son rôle de réceptacle à émotions, mais ça colle pas vraiment puisque c'est ce qu'elle vit, littéralement, dans cet épisode...
A part permettre de voir Troi dans des vêtements ultra-sexy (sa robe blanche magnifique !)
Sa robe bleu! Mazette! Mais au delà de ça, voir une Troï un peu plus hargneuse, comme lorsqu'elle était possédée par ce criminel, là, dans Power Play, c'est vraiment bien et ça me réconcilie doucement avec elle et la passivité forcée dans laquelle on a tendance à l'enfermer.
Un bon épisode dans le sens où je suis énervée, une émotion est donc passée et pour ça, oké.
"Qu'arrive-t-il à l'observateur aux yeux écarquillés, lorsque la fenêtre qui sépare réel et irréel explose et que les morceaux de verre commencent à voler en tous sens?" [Stephen King, Vue imprenable sur jardin secret]
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