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Doctor Who 37x03 Rosa (Docteur 13)
Crédits officiels :
- Scénario - Malorie Blackman & Chris Chibnall
- Réalisation - Mark Tonderai
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Mmmmmh….
mmmmhhhh…
pfffffff
“We don't serve Negroes. Good. Because I don't eat them.”
Bon on commence à voir le problème avec la nouvelle direction du show : on s’ennui. Bon sang que tout cela est terne et mou !
C'est pas que c'est mauvais en soi, c'est juste que tout est survolé, l’épisode ne creuse rien, n'approfondit rien au delà de quelques clichés. Il y avait pourtant quelques chose à faire tant le revival Doctor Who avait toujours soigneusement traité par une pirouette la question des compagnons noirs qui voyagent avec le Docteur dans des époques pas forcément amicales à leur égard. Très récemment on nous avait refait le coup avec Bill lors de l’épisode Thin Ice.
On sent une certaine volonté de rectifier le tir, quoi de plus logique en pleine ségrégation, avec un personnage aussi iconique que Rosa Park sur un tel sujet.
Un personnage qui est ici plutôt bien campé par Vinette Robinson qui inscrit sa performance dans un soucis de réalité historique qu'il faut saluer. Aussi la reconstitution du Montgomery des années 50 est plutôt réussie, bien que très terne à l’image de la nouvelle direction artistique de la série.
“Education makes you unstoppable.”
Hélas, en dehors de ces deux points de détails remarquable, tout le reste n'est pas à la hauteur. En Particulier tout cela manque cruellement de subtilité, souligné trois fois au stylo rouge, saupoudré d’une certaine bien pensance. Même le type qui essaie de changer le cours de l’histoire est un suprémaciste blanc du futur...pfff
L’épisode se plaît à nous mettre ostensiblement le nez dans le caca : “t’a vu ils sont racistes, c'est pas bien !”. Oui, en effet, le racisme c'est mal. Mais encore ?
Il y a bien quelques petites références au passé de la série, la prison de Stormcage (ou était enfermée River Song) et le manipulateur de Vortex de Jack Harkness fortement critiqué par Ten comme étant un moyen tout cheap de voyager dans le temps. On remarque aussi quelques détails funs comme le portable que le Docteur a donné à Elvis et qu’il a prêté à Franck Sinatra ou les références à Bansky et Steve Jobs.
J’aime bien aussi la relation entre Ryan et Graham, c’est assez cliché.
Mais voilà, c'est peu, c’est très peu, c'est trop peu. Le climax de l’épisode c’est d’arriver à remplir un bus pour que l’histoire suive son cours. Le reste du temps on essaie de me faire la morale, comme aux débuts de la série dans les années 60. Il y avait mieux à faire avec ce sujet.
4.
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2 pour moi.
Un épisode salué en par la critique. Comme quoi une femme docteur c’est bien’ en soi. Un méchant supremaciste c’est pertinent en soi. Une figure historique montrée c’est bien en soi. Dénoncer le racisme c’est bien en soi.
Bref ce n’est pas une histoire mais un catalogue des éléments qu’aiment les critiques.
Superficiel, narrativement pauvre, sans aucune force historique, plein de bien pensance.
Mauvais, simplement mauvais, encore plus pour du Doctor Who.
Mention au mechant en bois défait par Ryan...
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Un épisode salué en par la critique.
Ha bon il est salué par la critique cet épisode ? oO
D'ailleurs est comment est reçue la série depuis l'arrivée de Chibnall ? C’est pas terrible pour le moment (épisode 6 au moment ou j'écris ces lignes).
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Critique enthousiaste, DW innove et retrouve sa vertue pédagogique. Voilà en gros la position de la critique.
Rosa et Démon of the Penjab classé parmi les meilleurs épisodes DW de tous les temps.
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Rosa et Démon of the Penjab classé parmi les meilleurs épisodes DW de tous les temps.
Haha...misère
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