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#1 26-12-2017 12:08:49

scorpius
Nowhere Man

Doctor Who 36x13 Twice Upon A Time (Docteur 12)

Doctor Who 36x13 Twice Upon A Time

Crédits Officiels :
- Scénario - Steven Moffat
- Réalisation - Rachel Talalay

Appréciation :

  1. 10 (top franchise)(voix 2 [66.67%])

    66.67%

  2. 9 (exceptionnel)(voix 1 [33.33%])

    33.33%

  3. 8 (excellent)(voix 0 [0%])

    0%

  4. 7 (bon)(voix 0 [0%])

    0%

  5. 6 (correct)(voix 0 [0%])

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  6. 5 (passable)(voix 0 [0%])

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  7. 4 (insuffisant)(voix 0 [0%])

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  8. 3 (médiocre)(voix 0 [0%])

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  9. 2 (raté)(voix 0 [0%])

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  10. 1 (pitoyable)(voix 0 [0%])

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  11. 0 (trahison)(voix 0 [0%])

    0%

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Dernière modification par scorpius (17-10-2019 11:02:41)

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#2 26-12-2017 13:19:16

scorpius
Nowhere Man

Re : Doctor Who 36x13 Twice Upon A Time (Docteur 12)

Un épisode exceptionnel qui flirte avec le top franchise à plus d'une occasion.

Finalement Moffat sera resté fidèle à ce qui était depuis de nombreux mois maintenant sa note d'intention : il part presque sur la pointe des pieds. On a là un épisode intimiste et mélancolique qui tranche nettement avec la grandiloquence qui aura accompagnée le départ du précédent showrunner. Un changement au premier visionnage un brin destabilisant mais très appréciable et surtout parfaitement en phase avec la teneur du run de Capaldi.

Au contraire de Smith ou Tennant, son Docteur n'aura pas eu à faire face à des enjeux impliquants la fin de l'univers et si le Moff' était allé dans cette direction juste parce qu'il s'agit de la dernière aventure de Twelve, ça aurait été pour le moins artificiel. En terme d'enjeu on a donc un épisode presque minimaliste avec une "menace" qui s'avère finalement ne pas en être une, mais au contraire quelque chose de bienveillant. Un peu comme si l'univers avait décidé de récompenser cette incarnation à bout de souffle du Doc' en se montrant sous un jour positif. C'est un aspect de l'épisode que j'ai adoré, pas de "méchants", juste un (très) vieil homme face à lui-même (métaphoriquement, mais aussi littéralement) un vieil homme qui a trop vécu, qui en a trop vu, qui a trop perdu et qui se demande si il n'est pas temps d'en finir...

Ouais, un Christmas Special de DW qui parle du suicide potentiel de son protagoniste principal c'est franchement très couillu et c'est fait avec énormément de finesse (Capaldi est immense) Moffat jonglant comme à son habitude avec la tonalité, il n'en oublie pas qu'une aventure Whovienne se doit d'avoir sa dose d'humour. C'est là qu'intervient le premier Docteur incarné par David Bradley. Un recast tout simplement parfait, Bradley ayant auparavant été William Hartnell dans le biopic "An Adventure in Space and Time". Un recast que Moffat rend d'autant plus évident et "organique" qu'avec une pirouette aussi simple qu'intelligente il parvient à expliquer pourquoi le Doc' a soudain le visage de Bradley (similaire sur le principe à ce qu'il avait pu faire sur "Time Crash" pour expliquer le vieissement de Peter Davison face à Tennant).

Un premier Docteur qui thématiquement est utilisé par Moffat pour plusieures choses. En premier lieu, il créé un parallèle puissant avec le refus de Twelve de se Régénérer. One est dans une situation similaire, non pas qu'il refuse la Régénération parce qu'il aurait le sentiment d'être arrivé au bout du voyage, mais bien parce qu'il est effrayé à la perspective de vivre pour la première fois un tel changement. Une crainte encore renforcée lorsque cette incarnation (qui n'est encore "qu'un" explorateur et scientifique) se rend compte de qui l'attends et à quel point l'avenir va l'amener à assumer d'autres roles bien moins nobles. One est également utilisé par Moffat pour mettre en perspective l'évolution de Doctor Who en externaliste depuis les 60's. Ce n'était pas forcément nécessaire et pour le coup la mise en avant du sexisme de One ne fait pas vraiment dans la finesse... Néanmoins je mentirai si je disais ne pas avoir rigolé à chaque fois. Les réactions outrées de Capaldi sont un bonheur et il est tout à fait possible de se dire que One cherche volontairement à choquer Twelve.

Quoi qu'il en soit, on sent bien que Capaldi et Bradley s'éclatent au moins autant que Smith et Tennant dans TDOTD et la qualité de leurs intéractions (les réactions de One vis à vis des équipements soniques de Twelve mdr ) sont en grande partie responsable du fun intense que procurera l'épisode à n'importe quel Whovien. Et puis ce retour est un véritable fantasme, le "pont" le plus direct et efficace qu'on puisse imaginer entre la période classique et le revival. Rien que les courts passages ou ils ont recréés "The Tenth Planet", tout simplement incroyables.
L'épisode offre aussi au premier Docteur une véritable histoire de Régénération après plus de 51 ans, ce qui est tout de même énorme. Car "The Tenth Planet" reste une (excellente) aventure ou il se trouve qu'à la fin le Docteur se régénére, rien de plus. Et c'est logique, à l'époque le concept n'était pas encore tout à fait définit et l'idée était avant tout de justifier le départ d'Hartnell et son remplacement. Pouvoir assister aux doutes de One vis à vis des nombreuses implications de la Régénération, ça amène beaucoup à son personnage, comme si son run était soudain plus "complet" et à la série dans son ensemble. 

Au bout du compte on voit que pour son dernier épisode Moffat voulait définitivement tourner la page du "Docteur de guerre" (il appartiendra à Chibnall de le suivre dans cette direction, ou pas). Symboliquement la présence du Doc' dans les tranchées au moment de la trêve de 1914 est donc très très forte. Comme si le fait d'assister à ce moment lui permettait de pouvoir enfin abandonner définitivement son passé de guerrier sur ce champ de bataille. Sans l'ombre d'un doute une des plus belles scènes du revival et du Whoniverse dans son ensemble.

Evidemment étant un épisode de Régénération, il y a pas mal de caméos surprises. Le dispositif narratif de l'épisode permettant à Moffat de ramener du monde tout en rendant la chose très fluide et thématiquement cohérente. Tout cela nous amenant de façon naturelle à la Régénération de Peter...

Un ultime monologue de Twelve forcément très méta ou Peter Capaldi tout autant que Steven Moffat disent adieux à Doctor Who.
Un monologue très poétique (cette idée - sublime - selon laquelle les enfants peuvent parfois entendre le vrai nom du Doc') et parfaitement en accord avec la personnalité de Twelve tout au long de la saison 10.

"Hate is always foolish... and love, is always wise"

J'ai chialé, puis Jodie est arrivée et je me suis enthousiasmé, bref l'habituelle montagne russe émotionnelle de la Régénération.

Dernière modification par scorpius (26-12-2017 22:45:22)

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#3 11-02-2020 00:15:49

mypreciousnico
Why ?

Re : Doctor Who 36x13 Twice Upon A Time (Docteur 12)

À la fin du run de Steven Moffat, le douzième Docteur est au bout du rouleau. Il est fatigué Peter Capaldi, il faut dire qu’il a bavé et pas qu’un peu. Loin des enjeux cosmiques phénoménaux qu’on pu traverser les dixième et onzième Docteurs, Twelve à toujours été au coeur d’évèement relativement plus intimistes, mais aussi plus douloureux.
Logique donc qu’il soit marqué dans sa chair et dans son âme et que le poids des (innombrables) années se fasse enfin sentir. À la différence de Ten qui “ne voulait pas partir”, Twelve n’a plus envie de rester.

“Oh. There it is. Silly old universe. The more I save it, the more it needs saving. It's a treadmill.”

Parcequ’il en a trop vu, trop fait, trop perdu, le Docteur, lors de son choix final se retrouve donc littéralement face à lui-même, en la personne du tout premier Docteur, incarné ici par l’excellent David Bradley.
Un choix de casting intéressant, puisque Bradley avait incarné, quelques années auparavant William Hartnell pour un téléfilm mettant en scène le tournage des premières saisons de Doctor Who dans les années 60 ("An Adventure in Space and Time") et incarné un méchant dans Dinosaurs on a Spaceship. L'interprétation de Bradley est assez impressionante, d’autant que sa différence de visage avec Hartnell est élégamment expliquée dans le scénario, ce qui rend très crédible cette improbable rencontre. La reconstitution du TARDIS de One en couleur, ou les “my boy”...on s’y croirait c'est incroyable !

“Well I suppose one more lifetime won't kill anyone... well, except me.”

Un premier Docteur qui ne souhaite pas non plus se régénérer. Non pas par lassitude ou par manque d’envie de vivre, mais par peur de se soumettre à la régénération pour la toute première fois, un processus dont il ne sait rien et qui le traumatise d’avance.
La rencontre des deux incarnation du Docteur aux spectres opposés de sa vie, alors que chacun d’eux est aux portes de sa régénération est très intéressante. D’une part parce que One, explorateur et aventurier scientifique se voit confronté à une version infiniment plus âgée de lui-même qui aura commis des actes n’ayant plus rien à voir avec l'exploration et l’aventure (le “Docteur de la Guerre”), d’autre part parce que Twelve est confronté à une version moins “évoluée” de lui-même, ce qui permet de confronter le ton de la TV d’hier avec celle d’aujourd’hui, via les sorties bien sexistes hyper choquantes de Bradley et la réaction outrée de Capaldi. J’ai trouvé ça aussi drôle que pertinent dans le cadre d’une série qui affiche plus de 50 ans d’existence. À l’image finalement de l’osmose qui règne entre Capaldi et Bradley dont les interprétations sont fabuleuses.

“Oh! It's not an evil plan! I - I don't really know what to do when it isn't an evil plan !”

Tout cela est très puissant, d’autant que l'épisode e comporte pas de méchant, mais au contraire une force positive, une fois n’est pas coutume, qui va permettre de ramener, au moins brièvement des visages bien connus : Bill bien entendu, mais aussi Nardole et même Clara que je n'avais vraiment pas vu venir. De la même manière que Amy était apparue le temps d’un caméo lors des derniers instants de Eleven, il était plutôt bien vue que Clara soit présente pour dire adieu à Twelve, qui retrouve ses souvenirs par la même occasion.
L’occasion également pour Steven Moffat de donner du poids à la régénération de William Hartnell, qui était traité très rapidement dans the Tenth Planet à l’époque (et qui faisait partie des épisodes perdu si je ne m’abuse)
Quant à Mark Gatiss, meilleur acteur que scénariste, il campe un ancêtre du Brigadier, décidément très à l’honneur durant le run de Moffat.

“Doctor, I let you go.”

Cet épisode apparaît au moins autant comme une conclusion de l’époque Capaldi que de l’époque Moffat, mais aussi d’une certaine manière de l’époque Russel T Davies : Alors qu’il assiste à la trêve de Noël dans les tranchées de la première Guerre mondiale, lors d’une scène vraiment magnifique, le Docteur laisse définitivement la Guerre du Temps derrière lui et Moffat laisse partir Doctor Who.
Même Murray Gold s’y met pour sa dernière participation à la musique de la série en faisant intervenir quelques thèmes emblématiques, l’occasion de saluer une ultime fois le travail complètement dingue qu’il a accompli pour mettre en musique le revival de Doctor Who.

Puis c'est la régénération, un moment toujours très chargé en émotions, avec l’arrivée de Thirteen et le plan, très lourd de sens, de la bague qui tombe du doigt. La suite...on verra !

En attendant, top franchise pour un épisode très beau, très sensible, très doux et très émouvant. Moffat est parti comme il est arrivé, avec panache.

“You wait a moment, Doctor. Let's get it right. I've got a few things to say to you. Basic stuff first: Never be cruel, never be cowardly, and never ever eat pears! Remember, hate is always foolish, but love is always wise. Always try to be nice, but never fail to be kind. Oh. And you mustn't tell anyone your name.
No one would understand it, anyway! Except…
Except... children. Children can hear it sometimes, if their hearts are in the right place, and the stars are too. Children can hear your name. But nobody else.
Nobody else. EVER.
Laugh hard. Run fast. BE KIND.
Doctor, I let you go.”

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#4 11-02-2020 02:39:51

matou
modérateur

Re : Doctor Who 36x13 Twice Upon A Time (Docteur 12)

Top franchise!
Une boucle se referme et Twelve, ce docteur avec qui on a tant de mal dans sa première saison, finit par une belle apothéose morale.
Un épisode plein de mélancolie et quisonne comme un beau au revoir.
Merci Peter et merci Steven.

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#5 11-02-2020 02:47:50

matou
modérateur

Re : Doctor Who 36x13 Twice Upon A Time (Docteur 12)

IMZADI a écrit :

Doctor 12: "Two once upon Time" 8/10

Malgré le déclin de la saga commencé avec le Doctor 12, ses 3 saisons étant passables, je reconnais ici que ce spécial Noël est vraiment bon.
Alors certes connaissant le Doctor 1, j'ai vraiment une idée des mœurs de l'époque dans lesquelles il a été "développé", mais ici entre le "doux choc" de mœurs justement entre lui et la compagne, il y a aussi D12, qui essaie de se rappeler cette époque, et D1 qui semble ne pas savoir qu'il va y avoir une régénération, se sent perdu en voyant son futur moi, tout ça pour venir à une double régénération qui n'est pas anecdotique puisque ce sont là: la première vue ainsi que l'incroyable franchissement de la douzième
Et on voit qu'à chaque époque le Doctor n'est pas serein.

Un super moment.

Superbe travail de ressemblance en tout cas entre les deux D1

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#6 11-02-2020 09:50:49

scorpius
Nowhere Man

Re : Doctor Who 36x13 Twice Upon A Time (Docteur 12)

mypreciousnico a écrit :

Un premier Docteur qui ne souhaite pas non plus se régénérer. Non pas par lassitude ou par manque d’envie de vivre, mais par peur de se soumettre à la régénération pour la toute première fois, un processus dont il ne sait rien et qui le traumatise d’avance.

La novélization (signée Paul Cornell, rien que ça) ajoute quelques détails qui permettent de cerner plus précisément l'état d'esprit de One. Notamment le fait que le Doc' espère revoir Susan et que si ça doit se produire, il veut la retrouver avec le visage qu'elle identifie comme celui de son grand-père. Il est terrifié à l'idée qu'elle puisse le voir comme un inconnu après sa régénération et qu'elle le rejette.

La rencontre des deux incarnation du Docteur aux spectres opposés de sa vie, alors que chacun d’eux est aux portes de sa régénération est très intéressante. D’une part parce que One, explorateur et aventurier scientifique se voit confronté à une version infiniment plus âgée de lui-même qui aura commis des actes n’ayant plus rien à voir avec l'exploration et l’aventure (le “Docteur de la Guerre”), d’autre part parce que Twelve est confronté à une version moins “évoluée” de lui-même, ce qui permet de confronter le ton de la TV d’hier avec celle d’aujourd’hui, via les sorties bien sexistes hyper choquantes de Bradley et la réaction outrée de Capaldi. J’ai trouvé ça aussi drôle que pertinent dans le cadre d’une série qui affiche plus de 50 ans d’existence. À l’image finalement de l’osmose qui règne entre Capaldi et Bradley dont les interprétations sont fabuleuses.

Cette rencontre fait tellement sens. Ils sont l'un comme l'autre la première incarnation d'un cycle de vie du Doc' et sur certains aspects ils ont eu un arc similaire. One est une incarnation pas encore tout à fait à l'aise avec la notion d'être le Docteur. D'un point de vue moral, en particulier, il lui arrive d'être violent et même de parfois faire preuve de lacheté. C'est au contact de Ian & Barbara qu'il va affiner/affirmer sa moralité. Ce qui bien sur renvoie à l'arc de Twelve et à sa propre quête identitaire.

Tout cela est très puissant, d’autant que l'épisode e comporte pas de méchant, mais au contraire une force positive, une fois n’est pas coutume, qui va permettre de ramener, au moins brièvement des visages bien connus : Bill bien entendu, mais aussi Nardole et même Clara que je n'avais vraiment pas vu venir. De la même manière que Amy était apparue le temps d’un caméo lors des derniers instants de Eleven, il était plutôt bien vue que Clara soit présente pour dire adieu à Twelve, qui retrouve ses souvenirs par la même occasion.
L’occasion également pour Steven Moffat de donner du poids à la régénération de William Hartnell, qui était traité très rapidement dans the Tenth Planet à l’époque (et qui faisait partie des épisodes perdu si je ne m’abuse)
Quant à Mark Gatiss, meilleur acteur que scénariste, il campe un ancêtre du Brigadier, décidément très à l’honneur durant le run de Moffat

J'ai toujours trouvé ça très intéressant que la perspective finale de l'ère Moffat sur l'humanité d'un point de vue chronologique soit aussi positive. Surtout quand on compare ça à celle très nihilliste de Davies avec les Toclafanes. L'humanité est finalement devenu une civilisation au moins aussi avancée que les Time Lords d'un point de vue technologique (voir plus avancée) tout en paraissant beaucoup plus éclairée. Utilisant la technologie du voyage dans le temps pour offrir une forme d'immortalité à toutes les générations ayant précédées. Magnifique et une superbe récompense pour Twelve quand on considère à la fois son rapport conflictuelle avec la dite humanité au début de son run et son combat acharné pour la défendre, elle et ses valeurs.

Ce final concrétise/finalise tellement d'éléments du run de Twelve le renforçant lui donnant encore plus de profondeur, bluffant !

La novélization apporte également quelque détails supplémentaires concernant Bill & Nardole. L'avatar de Bill n'a pas accès à tous ses souvenirs parce que Testimony voulait étudier ses réactions à partir de l'époque ou elle a connue le Doc'. L'avatar finit par avoir tous ses souvenirs de restaurés. On découvre qu'après avoir passé une période indéfinie avec Heather à explorer l'univers elles ont décidées de revenir sur Terre et de vivre comme des mortelles. Sur son lit de mort, Bill demande à Heather qu'elle reparte vers les étoiles :

"She now recalled every Christmas with Heather, every birthday, the cats they'd owned, the decision to live by the sea, the decision to grow old as humans, the moment she, on her deathbed, had told Heather to go back to the stars and be free of these old bodies once again. She'd recalled the last kiss, and the whisper of water against her face, and that she had never seen Heather leave, because Heather had waited until after hope."

Quand à Nardole, il a passé 738 ans à repousser les Cybermen, il a eu 6 épouses différentes. Testimony a commis une erreur avec lui, ils ont cru qu'il était humain raison pour laquelle ses souvenirs/sa conscience a  été été préservée en dépit du fait qu'il soit un alien.

Dernière modification par scorpius (11-02-2020 10:25:26)

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#7 11-02-2020 22:24:41

mypreciousnico
Why ?

Re : Doctor Who 36x13 Twice Upon A Time (Docteur 12)

Ouais très belle dernière ligne droite pour le run de Capaldi : 3 top franchise d'affilé !

Merci pour les précisions issue de la novélisation, ça rend le truc encore plus dingue. En particulier j'adore ça :

scorpius a écrit :

Quand à Nardole, il a passé 738 ans à repousser les Cybermen, il a eu 6 épouses différentes. Testimony a commis une erreur avec lui, ils ont cru qu'il était humain raison pour laquelle ses souvenirs/sa conscience a  été été préservée en dépit du fait qu'il soit un alien.

Nardole quoi hello

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