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The Orville 02x14 The Road Not Taken
Crédits officiels :
- Histoire et dialogues : Brannon Braga, Seth MacFarlane
- Réalisation : Gary S. Rake
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« Science fiction is the most important literature in the history of the world, because it's the history of ideas, the history of our civilization birthing itself. Science fiction is central to everything we've ever done, and people who make fun of science fiction writers don't know what they're talking about. »
Feu Ray Bradbury
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Un très bel épisode, conséquence direct du précédent, qui conclue magnifiquement cette saison.
Je ne développerais pas plus histoire de ne rien spoiler, mais perso j'ai adoré!
« Nous rêvons de voyages à travers l'univers; l'univers n'est-il donc pas en nous? »
(Novalis)
♫ space maybe the final frontier but it's made in a Hollywood basement ♫
(Red Hot Chili Peppers)
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Une conclusion explosive, où le budget effets spéciaux a du taper les plafonds.
Un hommage appuyé en musique à Star Wars (et visuellement pour cette première) et Star Trek, au point que j'ai trouvé cette fois que la limite du plagiat était franchie. j'ai quand même bien aimé, même si je trouve la solution choisie un peu trop facile.
Un caméo d'Alara de grande classe, j'espère la revoir dans la série dans la trame historique classique.
Vite une saison 3 M Fox, pardon M Mickey…
Un 6.
L'être humain a deux vies. La seconde commence quand il se rend compte qu'il n'en n'a qu'une...
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Aïe aïe aïe, sortir d'un trou noir.... pourquoi...
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S'ils se sont arrêté à la sphère de photons du trou noir ils sont invisible et ils n'ont pas franchis l'horizon, ils peuvent ressorti, enfin avec une propulsion surpuissante et exotique comme un quantum drive par exemple. Le soucis qu'ils auraient du être "spaghettifiés" (déchirés) par les force de marées (et encore on pourrait dire qu'ils ont résisté grâce à leur bouclier (deflector screens)).... Mais bon The Orville n'a pas la prétention d'être un show de hard SF.
Dernière modification par Selek (08-05-2019 11:59:27)
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J’ai tiqué sur cette scène mais elle a deux intérêts.
Comme le dit Selek, ils ont pu rester en bordure, protégé par une bulle de distorsion comme on dirait dans ST.
Le Quantum drive aurait du être cité et cela aurait permis de mettre une contrainte temporelle et renforcer le suspens.
Mais la série fait le choix de ne pas le dire tout en le sous entendant (que le quantum drive peut faire sortir le vaisseau).
Pour les effets de marée, tout dépend de la taille du trou noir. Un assez gros peut avoir des effets de marée gérables.
Le second c’est que c’est symbolique. L’équipage veut sortir de cette ligne temporale aussi sombre...
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Mais bon The Orville n'a pas la prétention d'être un show de hard SF.
Je ne suis pas certain que l'explication de la "sortie" d'un trou noir ou de sa périphérie soit uniquement du domaine de la hard SF, surtout dans ce contexte de scène... le phénomène a suffisamment imprégné les œuvres et la connaissance communément admise pour qu'il doive être au moins justifié avec crédibilité pour qu'on puisse y croire le temps de la séquence. Ne pas expliquer explicitement la manœuvre avec un peu de sérieux (il me semble bien qu'il est dit qu'ils vont just inside l'horizon, à revoir et confirmer) en revient à basculer dans un autre type de show.
Pour moi :
- un traitement hard SF de la scène serait d'expliquer clairement la manœuvre, en s'appuyant sur des Lois physiques réelles ou potentielles (cad in universe), causes de la décision
- un traitement SF serait d'évoquer suffisamment le principe (avec un petit technoblabla qui va bien) afin qu'on adhère par confiance aux décisions des personnages
Si on ne prend pas la peine de tenter une explication plausible, AMHA on sort vraiment du cadre.
En l'état, cela ressemble à un pari fou puisque Kelly ne connait même pas le principe. Pour un numéro 1, ne pas connaitre un tel procédé tactique m'oblige à considérer 2 cas :
- elle n'a pas pas suivi ses cours, elle est nulle, elle ne connait pas la sphère de photons
- c'est réellement un pari et comme il est réussi, alors on s'affranchit de toute volonté d'explication rationnelle vis-à-vis d'un objet de science (le trou noir). Dans ce cas, plus que de la hard SF, à mon sens on sort carrément d'un processus SF
Vu la scène, je penche plutôt pour la 2ème solution. Pour résider dans la sphère de photon, il me semble qu'il faut orbiter à la vitesse de la lumière, et donc la propulsion est inopérante. Après, svp convainquez-moi, afin que je puisse me libérer de cette scène et me détendre en revoyant l'épisode
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Je ne suis pas certain que l'explication de la "sortie" d'un trou noir ou de sa périphérie soit uniquement du domaine de la hard SF, surtout dans ce contexte de scène... le phénomène a suffisamment imprégné les œuvres et la connaissance communément admise pour qu'il doive être au moins justifié avec crédibilité pour qu'on puisse y croire le temps de la séquence. Ne pas expliquer explicitement la manœuvre avec un peu de sérieux (il me semble bien qu'il est dit qu'ils vont just inside l'horizon, à revoir et confirmer) en revient à basculer dans un autre type de show.
Pour moi :
- un traitement hard SF de la scène serait d'expliquer clairement la manœuvre, en s'appuyant sur des Lois physiques réelles ou potentielles (cad in universe), causes de la décision
- un traitement SF serait d'évoquer suffisamment le principe (avec un petit technoblabla qui va bien) afin qu'on adhère par confiance aux décisions des personnagesSi on ne prend pas la peine de tenter une explication plausible, AMHA on sort vraiment du cadre.
En l'état, cela ressemble à un pari fou puisque Kelly ne connait même pas le principe. Pour un numéro 1, ne pas connaitre un tel procédé tactique m'oblige à considérer 2 cas :
- elle n'a pas pas suivi ses cours, elle est nulle, elle ne connait pas la sphère de photons
- c'est réellement un pari et comme il est réussi, alors on s'affranchit de toute volonté d'explication rationnelle vis-à-vis d'un objet de science (le trou noir). Dans ce cas, plus que de la hard SF, à mon sens on sort carrément d'un processus SFVu la scène, je penche plutôt pour la 2ème solution. Pour résider dans la sphère de photon, il me semble qu'il faut orbiter à la vitesse de la lumière, et donc la propulsion est inopérante. Après, svp convainquez-moi, afin que je puisse me libérer de cette scène et me détendre en revoyant l'épisode
Oui tu as probablement raison, il faudrait que je revois l'épisode et que j'analyse la scène en détails (ce qui sera fait mais pas tout de suite, je sors d'un run Doctor Who Classic + 2007 (c'est le 1er et le dernier), je fais une pause avant de refaire en boucle des runs Star Trek + The Orville). Du coup j'ai bien peur de ne pas pouvoir t'aider à te détendre.
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Bon, je n'ai pas revu l'épisode mais moi ça me va comme explication (à 15m05):
C'est pas mal de voir l'épisode 1 avant:
Les trous noirs (1/2)
« Nous rêvons de voyages à travers l'univers; l'univers n'est-il donc pas en nous? »
(Novalis)
♫ space maybe the final frontier but it's made in a Hollywood basement ♫
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