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Doctor Who 36x07 The Pyramid at the End of the World (Docteur 12)
Crédits officiels :
- Scénario - Peter Harness & Steven Moffat
- Réalisation - Daniel Nettheim
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“The end of your life has already begun (...) And somewhere, unnoticed, in silence or in darkness, it has already begun.”
Il y a un petit côté “Menace Andromède” dans cet épisode qui réutilise astucieusement le twist final de l’épisode précédent, la fameuse Doomsday Clock qui annonce l’apocalypse à mesure qu’elle se rapproche de Minuit et le fait que le Docteur avait été désigné “président de la Terre” durant les évènements de Dark Water/Death in Heaven.
“Oh my God.
No, I'm the Doctor. It's an easy mistake to make. The eyebrows.”
L’épisode est très plaisant, même s’il est moins impactant, moins définitif, moins marquant que le précédent dont la révélation finale prenait vraiment aux tripes.
Toutefois, il y a quelques chose de très intéressant autour de cette notion d’esclavage “volontaire” : la servitude, la vraie, devrait-être désirée, acceptée, aimée et pour finir...défendue, car nous aurons toujours une excellente raison de nous tourner vers une forme ou une autre de totalitarisme, comme le prouve Bill à la fin de cet épisode. Le vrai sujet était là et il est plutôt bien traité.
You could take this planet in a heartbeat. Why do you need consent ?
We must be wanted. We must be loved. To rule through fear is inefficient.
Of course… fear is temporary, love is… slavery.
Ha et puis j’adore le running gag de Bill dans son salon avec son rencard qui se fait déranger par des personnages improbables (le Pape puis le Secrétaire général des Nations Unies)
7.
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