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#1 07-11-2019 21:36:27

mypreciousnico
Why ?

Doctor Who 30x17+30x18 The End of Time (Docteur 10)

Doctor Who 30x17+30x18 The End of Time (La Prophétie de Noël - Docteur 10)

Crédits officiels :
- Scénario - Russell T Davies
- Réalisation - Euros Lyn

Appréciation :

  1. 10 (top franchise)(voix 2 [50%])

    50%

  2. 9 (exceptionnel)(voix 0 [0%])

    0%

  3. 8 (excellent)(voix 0 [0%])

    0%

  4. 7 (bon)(voix 1 [25%])

    25%

  5. 6 (correct)(voix 0 [0%])

    0%

  6. 5 (passable)(voix 0 [0%])

    0%

  7. 4 (insuffisant)(voix 1 [25%])

    25%

  8. 3 (médiocre)(voix 0 [0%])

    0%

  9. 2 (raté)(voix 0 [0%])

    0%

  10. 1 (pitoyable)(voix 0 [0%])

    0%

  11. 0 (trahison)(voix 0 [0%])

    0%

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#2 07-11-2019 21:38:35

mypreciousnico
Why ?

Re : Doctor Who 30x17+30x18 The End of Time (Docteur 10)

Un double épisode important puisqu’il marque le retours du Master et la première apparition des Seigneurs du Temps dans le revival. Par ailleurs, il s’agit de la dernière aventure mettant en scène David Tennant dans le rôle du Docteur.

On ne vas pas y aller par quatre chemin, il faut que je le dise d’emblée : je trouve ce double épisode très décevant !
Certes, il y a la toute fin, qui me prend à la gorge, mais tout le reste ou presque me déçois... En fait, je garderais volontiers les 10 ou 20 dernières minutes de cet épisode pour les coller à la fin de Doctor Who 30x12+30x13 The Stolen Earth / Journey's End.

“For the end of time itself !”

Ok, la scène d’ouverture avec les Oods est excellente, mais ensuite on embraye avec le Master et ça ne m’emballe pas. Un Master qui me fatigue à voler partout, à lancer des éclairs et à rigoler bêtement. John Simm, je t’en conjure, calme toi, assied toi et respire un coup.

Quant au retours des Times Lords, c’est très capillotracté et philosophiquement déplaisant. Je veux dire, je vois ce que Davies a voulu dire, à propos de la Guerre, qui salirait même l'esprit le plus pur, en montrant des Seigneurs du temps rendus fous par une Guerre sans fin, sur tous les fronts physiques et métaphysiques avec en ligne de mire la perspective de la chute de Gallifrey, de la destruction de la réalité, du Temps lui-même.
Mais, une espèce entière rendue folle et sanguinaire, qui non seulement ne garde plus le temps, mais envisage carrément de le détruire (et toute la vie dans les univers avec), j’ai du mal à l’avaler dans une série de Science-fiction, fut-elle de light SF comme Doctor Who. Pour le compte c’est trop comic book dans l’esprit, c'est un concept qui ne fonctionne pas ici. Même Rassilon, apparemment ressuscité pour les besoins de la Guerre du Temps, pourtant campé par (excusez du peu) Timothy Dalton...bof bof tout ça.

Et puis Davies nous avait déjà fait le coup de la menace sur la réalité lors des évènements de Doctor Who 30x12+30x13 The Stolen Earth / Journey's End. Non seulement je trouve qu’il y a redite aussi rapidement après, mais je trouve que les Seigneurs du Temps sont bien peu crédibles dans leur folie. Et puis comme pour le diptyque susmentionné, on dirait encore un Event Marvel/DC, mais dans ses mauvais côtés cette fois.

C’est le problème quand on met en scène des enjeux cosmique aussi fous, il y a risque de surenchère et c'est là que Davies me perd, c'est dommage, parce qu'il avait réussi jusque là à conserver cet équilibre très délicat. Détruire la réalité ça n’était pas assez, désormais il faut détruire le temps et s’élever à la manière des Anciens.

“Where are you going ? To get my reward”

Mais…
Mais, il y a Bernard Cribbins.
Le formidable Bernard Cribbins.

Rien que pour lui et pour David Tennant, ce double épisode mérite d’être visionné. Cet acteur, ce personnage. Woooow. Ses yeux, regardez les émotions qu’il arrive à faire passer dans ses yeux, c'est incroyable.
Le personnage de Wilfred Mott est un des plus émouvant et juste que j’ai pu voir en audiovisuel. Son duo avec Ten est parfait. Quand le Docteur s’étonne d’être encore en vie après le départ de Rassilon et qu’il entend Wil taper timidement quatre fois sur la vitre, comme c’était prophétisé. Son soupir, sa résignation et pour finir sa colère…

Wilfred: I’m sorry. Look, just leave me.
The Doctor: Okay, right then. I will. ‘Cause you had to go in there, didn’t you? You had to go and get stuck! Oh yes! ‘Cause that’s who you are, Wilfred.
You were always this… waiting for me all this time.
Wilfred: No really. Just leave me. I’m an old man, Doctor. I’ve had my time.
The Doctor: Well exactly! Look at you. Not remotely important! But me? I could do so much more! So much more! But this is what I get. My reward. Well it’s not fair! {silence}. Oh… I’ve lived too long.
Wilfred: No. No no please don’t. No no! Please don’t! Please!
The Doctor: Wilfred. It’s my honor.

On retrouve l’amour que Davies porte aux êtres humains en cet ultime instant. Le Docteur, tellement focalisé sur des prophéties et des évènements à la portée cosmique ne s’est jamais douté que celui qui taperait quatre fois ne serait pas le Master ou Rassilon, mais Wilfred Mott, le très humain et très simple Wilfred Mott.

C’est ça qui est frustrant dans cet épisode : tous les éléments cosmiques phénoménaux sont risibles et ne m’intéressent pas, mais tout ce qui se rapproche du sol, qui touche à l’humain, au vrai, c'est de l’or en barre. Peut-être est-ce dû aux interprétations de John Simm et Timothy Dalton qui sont outrées et caricaturales quand celles de Bernard Cribbins et David Tennant sont plus sobres et retenues ?

Quoi qu’il en soit, Davies s’accorde un dernier petit tour de piste nostalgique, une dernière visite à des personnages emblématiques, un dernier adieu à des situations marquantes. Il profite des derniers instants de son run pour dire adieu à Sarah jane Smith, à Rose Tyler, à Martha Jones, à Donna Noble, à Wilfred Mott, à Mickey Smith, au Captain Jack Harkness et même à Joan Redfern. Il s’amuse à faire apparaître une dernière fois des créatures extraterrestres tels qu’un Raxacoricofallapatorien (je suis allé regarder l'orthographe), un Judoon, un Hath, le tout sur l’air du Music Hall “My Angel Put the Devil in Me” du diptyque Doctor Who 29x04+29x05 Daleks in Manhattan / Evolution of the Daleks… Bref, Russel T Davies fait un rappel dans la grande tradition du théâtre.

Il fait mouche le bougre, les toutes dernières minutes sont touchantes. Ok, c’est un truc de pleureuse, c'est larmoyant à souhait, Davies en fait des tonnes et des tonnes. Mais ça fonctionne. La régénération de Ten est d’une mélancolie infinie, on sent toute la tristesse et l’impuissance dans les yeux de Tennant.
“I don’t Want to go”...Sur le coup je n’avais pas envie qu’il parte non plus.

Et puis il y a l’apparition de Matt Smith (dont les premiers dialogues ont été écrits par Moffat, ais-je lu je ne sais-ou) et la période suivante qui s’apprête à m’offrir des choses extraordinaire. La période Russel T Davies, c’est terminé, mais c’était vraiment fantastique de chez fantastique !

S’il n’y avait que la toute fin, pour des raisons émotionnelles, j’aurais pu mettre 8 ou 9. Mais l’ensemble de l’épisode ne m’emballe pas. Je trouve ça raté et même agaçant par moments, alors je vais mettre 4. C'est bien dommage.

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#3 07-11-2019 22:48:25

scorpius
Nowhere Man

Re : Doctor Who 30x17+30x18 The End of Time (Docteur 10)

mypreciousnico a écrit :

En fait, je garderais volontiers les 10 ou 20 dernières minutes de cet épisode pour les coller à la fin de Doctor Who 30x12+30x13 The Stolen Earth / Journey's End.

Ou à la fin de "The Waters of Mars" qui aurait pu être un excellent départ pour Tennant, plus discret.

Ok, la scène d’ouverture avec les Oods est excellente, mais ensuite on embraye avec le Master et ça ne m’emballe pas. Un Master qui me fatigue à voler partout, à lancer des éclairs et à rigoler bêtement. John Simm, je t’en conjure, calme toi, assied toi et respire un coup.

Pas forcément très fan moi non plus. Sur le principe j'aime bien, le Master qui est tellement "aristo'" contraint à la misère, devenant un SDF, même l'antropophagisme je trouve ça cool. Montrer jusqu'ou le personnage en est rendu parce qu'il est pret à tout pour échapper à la mort. J'aime bien aussi que le conflit avec le Doc' se déroule dans des environnements un peu minables/quelconques, il y a un espèce de naturalisme qui me plait. Le problème est que tout cela aurait mérité un traitement viscéral, une certaine retenue et du sérieux. Là on a Skeletor et effectivement Simm sous cocaine... C'est pas terrible...   

Quant au retours des Times Lords, c’est très capillotracté et philosophiquement déplaisant. Je veux dire, je vois ce que Davies a voulu dire, à propos de la Guerre, qui salirait même l'esprit le plus pur, en montrant des Seigneurs du temps rendus fous par une Guerre sans fin, sur tous les fronts physiques et métaphysiques avec en ligne de mire la perspective de la chute de Gallifrey, de la destruction de la réalité, du Temps lui-même.
Mais, une espèce entière rendue folle et sanguinaire, qui non seulement ne garde plus le temps, mais envisage carrément de le détruire (et toute la vie dans les univers avec), j’ai du mal à l’avaler dans une série de Science-fiction, fut-elle de light SF comme Doctor Who. Pour le compte c’est trop comic book dans l’esprit, c'est un concept qui ne fonctionne pas ici. Même Rassilon, apparemment ressuscité pour les besoins de la Guerre du Temps, pourtant campé par (excusez du peu) Timothy Dalton...bof bof tout ça.

Et puis Davies nous avait déjà fait le coup de la menace sur la réalité lors des évènements de Doctor Who 30x12+30x13 The Stolen Earth / Journey's End. Non seulement je trouve qu’il y a redite aussi rapidement après, mais je trouve que les Seigneurs du Temps sont bien peu crédibles dans leur folie. Et puis comme pour le diptyque susmentionné, on dirait encore un Event Marvel/DC, mais dans ses mauvais côtés cette fois.


Ce n'est pas l'espèce entière qui est devenue folle. Parmis les Gallifreyiens, les Time Lords sont une élite aristocratique. Tous les Time Lords sont des Gallifreyiens, mais tous les Gallifreyiens ne sont pas des Time Lords. Ensuite, comme viendra le confirmer "Day of the Doctor" le plan de Rassilon n'est validé que par le Haut-Conseil qui est sous sa coupe. D'autres Time Lords, tels que le Doc' ou le Général/le Haut-Commandement, envisagent d'autres solutions pour mettre fin à la Time War.

Alors certes on pourrait affirmer qu'une bonne partie de tout cela vient de Moffat, mais un peu comme avec  "The Parting of the Ways" j'estime préférable de juger l'oeuvre sur son ensemble et prendre en compte les autres niveaux de lectures, les nuances et précisions que des opus ultérieurs peuvent amener.

Puis j'aime bien le fait que Rassilon est pour ainsi dire pret à sacrifier toute la création pour assurer sa propre survit (puisque ça lui permettrait d'acceder à une forme de transcendance). Il y a un parallèle avec le Master assez sympa (lui aussi fera tout ou presque pour écghapper à la mort). Il y a cette idée que ces Time Lords ont vécus tellement de vies, ont eu tellement de visages différents, que la mort n'est plus une option, quelque soit les conséquences.

Et puis il y a l’apparition de Matt Smith (dont les premiers dialogues ont été écrits par Moffat, ais-je lu je ne sais-ou) et la période suivante qui s’apprête à m’offrir des choses extraordinaire. La période Russel T Davies, c’est terminé, mais c’était vraiment fantastique de chez fantastique !


Ouaip, Moffat a logiquement écrit les premières secondes de son Doc'. Tout comme Chibnall écrira les premières seconndes de Jodie à l'écran.

Sinon globalement je te rejoins, même si je suis largement moins négatif : On sent bien que c'est la partie humaine et intimiste du récit qui intéresse le plus Davies. En fait je pense que cet équilibre dont tu parles il aurait pu le trouver si la menace n'avait été que le retour des Time Lords/de Rassilon et si il avait condensé tout cela en un seul épisode. Le retrour du Master, malgré quelques bonnes idées, est au final très superflu et redondant, ça tire pas mal l'ensemble vers le bas.

Dernière modification par scorpius (08-11-2019 09:42:54)

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#4 07-11-2019 22:55:26

matou
modérateur

Re : Doctor Who 30x17+30x18 The End of Time (Docteur 10)

Top franchise pour moi.
Depuis le début du revival j’attendais d’en savoir plus sur les seigneurs du temps. Tout ce poids que bine et Ten ont porté. Enfin on le voit.
Et le Master! Moi l’interprétation de Simm me plait. Oui c’est dans le surjeu mais c’est généreux et juste.
Car in fine, ce final permet de le montrer en victime.
Les enjeux fonctionne avec moi, j’aime justement que l’on touche à une grande catastrophe tout en restant dans les relations entre personnages.
Le docteur, qui n’utilise jamais d’arme, ici on le voit devoir en avoir. Une arme donnée par Wilfred. Toute une symbolique.
Ce dernier échange avec Rassilon, le doc et le master je me le suis revu au bas mot 50 fois.
La theatralisation, la résolution, l’interprétation, le rythme, je trouve tout parfait.

Le rappel fonctionne parfaitement avec moi et montre le chemin accompli et quel chemin!
Tout cela est généreux.
Moi Davies c’est un plat de pâtes ou de gnocchis. Oui c’est copieux mais on peut m’en servir tant est plus, si c’est bon je mangerai tout.

Tout ici, est bon.

Je reste un fan de ce run, sa générosité, son style, son interprétation, tout me va et je ne jette rien.
La régénération de Ten avec cette musique, cette dernière phrase qui me soulève le cœur tant elle dit de chose meta et intra.

Je le dis souvent, savoir réussir une fin est difficile. Et y arriver mérite louange.
Top franchise pour moi et merci Russel, ton passage m’aura marqué pour toujours.

La suite sera moins à mon goût mais bienvenue à Moffat (on en aura des choses à se dire!).

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#5 08-11-2019 14:57:21

mypreciousnico
Why ?

Re : Doctor Who 30x17+30x18 The End of Time (Docteur 10)

scorpius a écrit :

Le problème est que tout cela aurait mérité un traitement viscéral, une certaine retenue et du sérieux. Là on a Skeletor et effectivement Simm sous cocaine... C'est pas terrible...

Sur le papier c’est clair que c’est intéressant. Mais le traitement me fait grincer des dents.

scorpius a écrit :

Ce n'est pas l'espèce entière qui est devenue folle. Parmis les Gallifreyiens, les Time Lords sont une élite aristocratique. Tous les Time Lords sont des Gallifreyiens, mais tous les Gallifreyiens ne sont pas des Time Lords. Ensuite, comme viendra le confirmer "Day of the Doctor" le plan de Rassilon n'est validé que par le Haut-Conseil qui est sous sa coupe. D'autres Time Lords, tels que le Doc' ou le Général/le Haut-Commandement, envisagent d'autres solutions pour mettre fin à la Time War.

Alors certes on pourrait affirmer qu'une bonne partie de tout cela vient de Moffat, mais un peu comme avec  "The Parting of the Ways" j'estime préférable de juger l'oeuvre sur son ensemble et prendre en compte les autres niveaux de lectures, les nuances et précisions que des opus ultérieurs peuvent amener.

Je te confesse que j'ai un souvenir très flou de tout ça. Ce sera d'autant plus intéressant de tout revoir smile
Et puis j'impatiente l'épisode des 50 ans pour revoir Ten une ultime fois.

scorpius a écrit :

Puis j'aime bien le fait que Rassilon est pour ainsi dire pret à sacrifier toute la création pour assurer sa propre survit (puisque ça lui permettrait d'acceder à une forme de transcendance).

Ouais, mais un mec comme ça, tu le suis pas...
Quand il désintègre une nana parce qu'elle a osé le contredire. Tu ne peux pas suivre quelqu'un comme ça.

scorpius a écrit :

On sent bien que c'est la partie humaine et intimiste du récit qui intéresse le plus Davies.

Oui, c’est pour ça que c’est le seul truc vraiment réussi.

scorpius a écrit :

En fait je pense que cet équilibre dont tu parles il aurait pu le trouver si la menace n'avait été que le retour des Time Lords/de Rassilon et si il avait condensé tout cela en un seul épisode. Le retrour du Master, malgré quelques bonnes idées, est au final très superflu et redondant, ça tire pas mal l'ensemble vers le bas.

Carrément, à la rigueur ça aurait beaucoup mieux fonctionné. Toute la partie avec le Master ne sers à rien.

matou a écrit :

Tout ce poids que nine et Ten ont porté. Enfin on le voit.

Je ne trouve pas que ça rende plus tangible le poids porté par le Docteur. C'était déjà bien assez de porter le deuil de son espèce entière.

Il n'y a qu'une réplique que je conserve, pour sa puissance d'évocation qui me fascine :
"You weren’t there. In the final days of the war. You never saw what was born. But if the time lock’s broken then everything is coming through. Not just the Daleks, but the Star of Degradations. The Horde of Travesties. The Nightmare Child. The Could-Have-Been King with his army of Meanwhiles and Neverweres. The war turned into hell! And that’s what "

matou a écrit :

Et le Master! Moi l’interprétation de Simm me plait. Oui c’est dans le surjeu mais c’est généreux et juste.

C’est bien simple, au bout d'un moment j'étais sur mon téléphone. Absolument insupportable mad
Du coup je me suis fait avoir, j'ai du revoir au moins 20 minutes du second épisode parce que je n'avais rien suivi^^

matou a écrit :

Les enjeux fonctionne avec moi, j’aime justement que l’on touche à une grande catastrophe tout en restant dans les relations entre personnages.

C'était parfait dans Doctor Who 30x12+30x13 The Stolen Earth / Journey's End, parceque le sdeux parties étaient équilibrée et s'enrichissaient l'une et l'autre.

matou a écrit :

Le rappel fonctionne parfaitement avec moi et montre le chemin accompli et quel chemin!

En l’occurrence le rappel fonctionne aussi sur moi.
La toute fin de l'épisode est géniale. S'il n'y avait eu que ça, j'aurais mis 9.

matou a écrit :

Je reste un fan de ce run, sa générosité, son style, son interprétation, tout me va et je ne jette rien.

Je suis fan du run de Davies, je le trouve formidable. À l'époque, j'avais préféré à celui de Moffat. J'attend de voir comment se conclu ce run du coup (et je veux redonner sa chance à Twelve)

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#6 08-11-2019 17:33:54

scorpius
Nowhere Man

Re : Doctor Who 30x17+30x18 The End of Time (Docteur 10)

mypreciousnico a écrit :

Ouais, mais un mec comme ça, tu le suis pas...
Quand il désintègre une nana parce qu'elle a osé le contredire. Tu ne peux pas suivre quelqu'un comme ça.

Je suis pas totalement en désaccord, mais il faut prendre en compte que Rassilon est pour ainsi dire une figure religieuse. Il est carrément le fondateur de la société des Time Lords. Aussi impressionnant que soit Dalton, en tant qu'acteur de chair et de sang il confère au personnage une dimension tangible qui nuit un peu à la nature mythologique du personnage et tout ce qu'il est censé représenter. Dans la période classique, c'est presque Sauron le gars mdr

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#7 09-11-2019 14:19:24

mypreciousnico
Why ?

Re : Doctor Who 30x17+30x18 The End of Time (Docteur 10)

scorpius a écrit :

Je suis pas totalement en désaccord, mais il faut prendre en compte que Rassilon est pour ainsi dire une figure religieuse. Il est carrément le fondateur de la société des Time Lords. Aussi impressionnant que soit Dalton, en tant qu'acteur de chair et de sang il confère au personnage une dimension tangible qui nuit un peu à la nature mythologique du personnage et tout ce qu'il est censé représenter. Dans la période classique, c'est presque Sauron le gars mdr

Oui, je suis allé me renseigner après coup, effectivement Dalton galvauderait presque le personnage.
M'enfin le seul moyen de ne pas le galvauder, c’est de ne pas le montrer du tout à l'écran. Les légendes supportent très mal l'épreuve de la vérité^^

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#8 09-11-2019 16:51:14

matou
modérateur

Re : Doctor Who 30x17+30x18 The End of Time (Docteur 10)

Perso et encore plus avec Dalton, ce Rassilon me séduit.
Son plan est assez fou. Mais il ne faut pas oublier le contexte simple(DW oblige) mais pas simpliste (DW oblige), de la guerre.
Les seigneurs du temps sont face à un scénario non gagnable. Dans ces cas là, tel le noyé ont de raccroche à tout, y compris un serpent.
Et la solution de Rassilon, c’est parfaitement en accord avec certaines tensions des dirigeants. En gros si je ne peux gagner, tout le monde doit perdre...
Enfin sa solution c’est aussi de dire merde à cette réalité pour évoluer vers une autre forme, encore plus évoluée.

Je comprends qu’on puisse le suivre quand on est dans une guerre ingagnable et sans fin.

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