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Doctor Who 27x08 Father's Day (Fêtes des pères)
Crédits officiels :
- Scénario - Paul Cornell
- Réalisation - Joe Ahearne
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Il a bonne presse cet épisode, un des rares à mettre en scène une histoire de paradoxe temporel. C’est un truc qui m’a étonné quand j’ai découvert Doctor Who : voilà une série qui parle de voyage dans le temps, mais qui ne s’embarrasse jamais (ou presque) des paradoxes.
“Now Rose, you’re not going to bring about the end of the world. Are you?”
Pourtant, je ne suis pas un grand fan de ce Father’s Day. Je n’en aime pas l’ambiance, j’ai l’impression de regarder une adaptation M6 de Stephen King (Yrad citait les Langolliers de King comme inspiration pour cet épisode) et je trouve l’attitude de Rose tellement con que ça me fait sortir du délire.
Non pas que son action soit incompréhensible ou incohérente. Mais, l’épisode précédent c’était attaché à nous montrer que n’importe quel péquin n’était pas accepté dans le TARDIS, surtout s’il entendait utiliser la possibilité de voyager dans le temps à son propre profit…et paf, un seul épisode après cette cruciale leçon, voilà qu’un autre compagnon récidive…mais sans conséquences cette fois-ci !
Rose fait purement et complètement de la merde dans cet épisode, une bourde autrement plus grave que celle de David dans Doctor Who 27x07 The Long Game, mais en dehors de la tancer vaguement, le Doctor ne donne pas suite à ce comportement. Pourtant Rose est directement responsable d’une déchirure dans la réalité, rien que ça !
Il y a une leçon à apprendre pour Rose ici. La jeune femme est impulsive et doit apprendre le poids et les conséquences de ses actions. Pour reprendre l’accroche de l’Effet Papillon « changer une chose, change tout ».
“It’s so weird. The day my father died. I thought it’d be all sort of grim and stormy. It’s just another day"
Plus intéressant, l’épisode désacralise la vision fantasmée de ce père qu’elle n’a pas connu. Idéalisé, plus grand que la vie, forcément porté aux nues en raison de sa mort (on ne critique pas un mort, il parait que ça ne se fait pas), le père de Rose n’était en fait qu’un homme parfaitement normal.
Il n’empêche que tout cela reste insuffisant.
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Rose fait purement et complètement de la merde dans cet épisode, une bourde autrement plus grave que celle de David dans Doctor Who 27x07 The Long Game, mais en dehors de la tancer vaguement, le Doctor ne donne pas suite à ce comportement. Pourtant Rose est directement responsable d’une déchirure dans la réalité, rien que ça !
Assez logique au vu de leur relation ce manque de "conséquences" pour Rose. Ils sont émotionnellement très dépendant l'un de l'autre, il y a un peu une relation père/fille qui évidemment trouve un échos particulier ici. Avec tout ce qu'il a perdu, Nine voit probablement en Rose autant Susan que Romana (d'ailleurs après cet épisode leur relation prend un tournant légérement romantique/pas dénuée de tensions sexuelles, avec forcément Moffat à la barre ).
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d'ailleurs après cet épisode leur relation prend un tournant légérement romantique/pas dénuée de tensions sexuelles
Exact, je pensais en parler dans les critiques ultérieures.
À partir d'ici la relation est pleine de tensions héhé
C’est peut-être du à Harkness non ? Des fois on a l'impression qu'il se tape les deux le petit coquin.
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C’est peut-être du à Harkness non ? Des fois on a l'impression qu'il se tape les deux le petit coquin.
Ouaip, Jack devient une sorte de catalyseur. Il fait remonter pas mal de choses à la surface et comme lui et le Doc' sont l'un comme l'autre pansexuel forcément ça fait des étincelles. Surtout quand au millieux tu ajoutes une jeune femme de 19 ans forcément très à l'écoute de ses hormones... Après évidemment tout cela est traité sous l'angle du sous-entendu et de la métaphore, mais on en reparlera probablement entre autre avec le double épisode de Moffat.
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