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The Orville 02x03 Home
Crédits officiels :
- Histoire et dialogues : Cherry Chevapravatdumrong
- Réalisation : ?
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« Science fiction is the most important literature in the history of the world, because it's the history of ideas, the history of our civilization birthing itself. Science fiction is central to everything we've ever done, and people who make fun of science fiction writers don't know what they're talking about. »
Feu Ray Bradbury
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Un peu déçu du départ d'un des personnages les plus intéressants. La saison 2 est correcte jusqu'à maintenant, on a toujours l'impression d'écouter du bon vieux TNG. J'ai hâte par contre à un épisode qui me jetterait en bas de ma chaise...
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AAAAAAAAAAArg non, non, non !!!
Mon personnage préféré tire sa révérence et je suis triste
Quel est le motif << réel >> de son départ ? si quelqu un a des informations je voudrais bien les connaître...
Sinon c est toujours un réel plaisir de revoir des anciens de ST comme Robert Picardo et John Billingsley ( docteur Phlox ).
Un 7
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L'actrice serait en demande et manquerait de temps, selon ce que j'ai pu lire. Mais ce sont des rumeurs, rien d'officiel.
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L'actrice serait en demande et manquerait de temps, selon ce que j'ai pu lire. Mais ce sont des rumeurs, rien d'officiel.
Tant que cela ne soit pas des demandes déplacées...
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Ma 1ère bonne note de la saison (quand je pourrai techniquement voter).
C'est pour moi l'un des tout meilleur épisode d'adieu de tout ST (Ou de ses adaptations, si vous voulez). Oui je sais je balance du lourd. Même pas peur. La typo d'Alara, depuis le début, c'est la force et la fragilité réunies. La force physique dans un corps frêle, et la fragilité psychologique avec une volonté féroce.
Revenue dans son foyer, le personnage si brillament écrit est plus que jamais puissament respecté, avec une fragilité tout court et on comprend pourquoi. Mais c'est sans compter le fruit du voyage, heureux qui comme Ulysse... Étude de caractère, étude sociologique, avec une intégration de toutes ces composantes dans l'intrigue of the week, pour finir sur un bouleversant constat de papa Picardo : "Je ne te connais pas" à sa fille.
Une histoire familiale si commune, mais si bien intégrée dans un contexte SF, jusqu'aux rebondissements et la résolution finale.
"Tu peux le faire". On a un problème et on le résoud par le haut, en franchissant un seuil de connaissance et de compréhension.
Un Mbuna bouleversé, un épisode avec quelques vibrations IRL....
9
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6.
J'ai bien aimé mais sans plus.
A part les caméos des anciens ST, le départ du personnage est une perte pour la série. Il aurait mérité un plus grand développement, mais comme c'est un souhait de l'actrice…
Bon maintenant j'attends vraiment de vraies histoires trekkiennes pour la suite.
L'être humain a deux vies. La seconde commence quand il se rend compte qu'il n'en n'a qu'une...
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le départ du personnage est une perte pour la série. Il aurait mérité un plus grand développement, mais comme c'est un souhait de l'actrice…
Je suis quasi certain que tu seras conquis par sa remplaçante mais je peux me tromper ^^
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fragilité psychologique avec une volonté féroce.
Pas du tout d accord ! elle fait preuve d une grande force psychologique au contraire en quittant sa planète et en embrassant une carrière dans l Union contre la volonté de ses parents, surtout son père. Elle a une grande volonté psychologique ! Sa démission de son poste pour retourner dans sa famille renforce encore davantage ce sentiment . Elle fait front et assume.
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Concernant la volonté je ne dis pas autre chose que toi. Je ne comprends pas très bien la différence que tu fais entre ta "volonté psychologique" (kesako ?) et ma "volonté féroce"...
Lorsque je parle de fragilité psychologique, je rappelle ses doutes qu'elle a exprimés à maintes reprises à Mercer sur ses facultés à son poste et sur ses aptitudes (et notamment très clairement en début de série, ou encore comme de ses appréhensions à donner des ordres jusqu'à en vomir). Et c'est justement sa volonté (féroce ou psychologique, comme tu veux) qui lui permet d'affronter sa part fragile.
Et je me permets d'en faire une analogie avec son physique d'apparence frêle, mais de capacité hors norme. Elle apparaît physiquement un peu gauche et empruntée, alors qu'on pourrait presqu'attendre l'excès inverse d'une personne avec tant de supériorité physique. Le coeur de mon analogie est là : ce personnage autant psychologiquement que physiquement, c'est une apparence fragile mais un fond très fort.
C'est aussi pour cela que j'adore cet épisode, on comprend d'où vient son manque de confiance ou d'affirmation en groupe et par ailleurs la volonté qui lui a fallu justement pour s'en affranchir et boucler la boucle dans ce dialogue si émouvant avec papa Picardo et sa décision finale. C'est en cela que je trouve le personnage si bien écrit de bout en bout.
Après, chacun sa vision du truc.
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Je suis d'accord avec toi.
Le personnage était bien écrit, et l'épisode aussi.
Visiblement je ne suis pas rentré dans le truc autant que toi...
Mais au moins dans the Orville, tout est développé et cohérent.
J'attends donc avec impatience la remplaçante.
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Cela me permet de faire un autre parallèle, cette fois-ci avec Tilly de Discovery. Elle a une grande volonté et ambition, tout en étant elle même rabaissée par sa famille, qui se base sur ses faiblesses préjugées.
Quand on voit la manière dont est écrit Tilly avec des moufles et des gros sabots, sans aucune subtilité pour montrer ses "faiblesses", au point qu'on ne sait plus si c'est un élément comique, de faire valoir ou simplement gênant, la différence de qualité d'écriture, de cohérence et de profondeur saute littéralement aux yeux.
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La différence pour moi entre The Orville et DIS, c'est vraiment le fond et la forme. Cela pourrait être un cas d'école.
La forme pour The O, je trouve qu'elle lorgne trop sur le TNG like, un peu trop figé dans les 90's, même si j'aime bien. On ne voit pas fondamentalement d'évolution en 20 ans.
Pour DIS, s'en est même trop moderne au point de devenir très rapidement démodé et dépassé, pas sur que cette forme dynamique supporte de multiples visionnages (et ne comptez pas sur moi pour m'y coller).
Sur le fond, c'est exactement l'inverse: The O se permet même de l'humour jamais vu dans ST, avec des histoires développées, de la réflexion, et des personnages approfondis et surtout cohérents.
Je ne reviens pas sur DIS, l'épisode 3 de la seconde saison est une démonstration à lui tout seul. Il n'y a aucun suivi, pas d'écriture programmée...pour moi, aucun gardien du temple n'a été gardé au profit...du profit justement.
Pour en revenir à ce personnage, je l'aimais vraiment bien, il y avait encore pleins d'histoires à raconter avec.
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Rien à faire de savoir si c'est moderne ou pas. Je n'étalonne pas du tout mon jugement la dessus.
Cet état d'esprit me permet de faire des grands écarts entre le visionnage de productions classiques (comme forbidden planet avant hier) à d'autres actuelles qui sont pour certaines de grandes qualité.
C'est justement ça qui fait la différence : la qualité. Et ça tu en trouves à toutes les époques. C'était pas mieux avant ni mieux maintenant. Me concernant, les critiques denigrantes axées vieux vs modernes ne jouent en aucun cas sur mon propre jugement.
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La forme du ST historique c'est d'être intemporel. Et d'avoir cette continuité internaliste aussi. Un vrai travail de qualité.
DIS va se démoder très vite. A vouloir faire trop moderne...regardons les visuels des années 70's, trop marqués par exemple.
Je ne suis pas nostalgique non plus, même si je dois avouer que les productions musicales, tv, cinéma des années 2010 m'ont laissé en grande partie sur ma fin, peut être à cause d'une trop grande production de "jetables" au détriment d'œuvres passées inaperçues.
...
J'aime beaucoup la forme de The O, on ne sait pas trop comment la situer dans le temps. On verra tout au long de cette nouvelle saison si elle sait cependant se démarquer des ses ainées.
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Je suis d'accord avec toi sur The Orville : le prochain challenge sera sa capacité de couper le cordon. Et c'est très exaltant. C'est pour cette raison d'ailleurs que mis à part cet épisode, mes dernières notes sont assez faibles.
Si je tente de prendre un peu de hauteur, il y'a 5 ou 6 séries SF de cette décennie qui me semblent vraiment pouvoir prétendre à une certaine intemporalité (pour des raisons différentes chacune des autres). J'en cite 2 : Black mirror et real humans. 5 ou 6, c'est finalement ni plus ni moins que les autres décennies.
Je pense que pour des raisons diverses (historiques, histoires internes, qualité pure, angle de vue, etc) si quelqu'un regarde ces séries dans 40 ans il pourra encore en tirer quelque chose.
Discovery, une fois que tu sauras d'où vient l'ange rouge ou si Tilly va devenir capitaine, qu'en restera t'il ? Les sujets abordés n'ont aucune chance de traverser les révisionnages ni les années à venir. Comme tu le dis, c'est du jetable, dans son synopsis même et ses ressorts scénaristiques.
The Orville a en elle au moins la qualité d'écriture, sa discipline dans les prémisses et les enjeux qu'elle propose, tout en s'affirmant de plus en plus comme une alternative crédible. Ce qui est déjà très fort en soi. Ce n'est pas la série de l'année, mais au moins ça replace le débat.
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Superbe échange entre DL et Mbuna.
J'ai trouvé cet épisode très cool, très prenant et très triste sur le final.
Du coup j'ai fais des recherches sur Halston Sage et, ça y est, je viens de passer l'âge où les acteurs et actrices sont plus jeunes que moi... C'est une expérience désagréable.
Je ne sais pas trop quoi rajouter si ce n'est que oui c'est un personnage que j'aurai aimé voir se développer plus, mais il en est ainsi...
Par contre c'était cool de revoir le HUM et Phlox dans un crossover fou
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Puis même si c’est très secondaire, il y a un traitement SF avec la gravité.
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C'est vrai ! Et visuellement le fauteuil volant est super cool.
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