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ST TOS 01x01 Where No Man Has Gone Before (Où l'homme dépasse l'homme)
Crédits officiels :
- Histoire & dialogues : Samuel A. Peeples
- Réalisation : James Goldstone
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« Science fiction is the most important literature in the history of the world, because it's the history of ideas, the history of our civilization birthing itself. Science fiction is central to everything we've ever done, and people who make fun of science fiction writers don't know what they're talking about. »
Feu Ray Bradbury
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10 pour moi top franchise
Gary Mitchell le mutant qui se voit Dieu, un personnage fascinant !
J'aime beaucoup comment Kirk traine les pieds refusant de tuer son ami, une faiblesse bien humaine, que Mitchell comdamne...
Et Spock en mode "bad-ass" le fusil phaser pret à bousiller du mutant
La relation entre Mitchell & Denher, les Adam & Eve mutant est particuliérement intéressante, alors qu'ils sont sur le point de batir
un "paradis", le serpent/kirk viendra pour "corrompre" Denher non pas avec la connaissance, mais bien avec les pauvres sentiments humains
que Mitchell considére comme désormais inutile...
Dernière modification par scorpius (11-05-2012 03:47:25)
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8.
Que ferions nous avec les pouvoirs de dieux ? Ne serais-ce pas a l'occasion de mettre en pratique les fantasmes les plus obscures que nous possédons tous, mais que nous réprimons ?
Un meilleur pilote que The Cage à mon avis.
Le personnage de Mitchell est fascinant. Sa relation avec Kirk fonctionne bien, notamment quand ce dernier éprouve toutes les difficultés du monde à envisager une solution radicale.
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Allez, c'est parti!
Quel bonheur j'ai de retrouver enfin Kirk!
Shatner tout en finesse installe son personnage, le vit même.
Je n'ai mis que 7 parce que ce revisionnage met en lumière quelques défauts liés au fait que ce soit un pilote.
D'abord Spock n'est pas encore celui qi'on connait, n'a pas sa froideur habituelle. Il crie, sourit, son maquillage (ses sourcils!) n'est pas encore trouvé.
La chronologie pas placée (ils parlent de 200 ans par rapport au poème de 1996, hors ils sont au 23ième siècle!)
Les nouveaux sfx sont superbes mais trop lisses et vraiment cgi et ça tranche avec le grain de la peliculle.
La morale de l'histoire est connue (le pouvoir absolu corrompt totalement) et nous amène à se poser la question: que ferions nous si on avait le pouvoir de devenir des dieux? Serions-nous aussi sectaire aussitôt?
Ensuite tous nos personnages ne sont pas encore présents. Piper n'est pas Bones.
A regrets de ne pas avoir Kelso par la suite et Denner, car ces personnages auraient mérités de continuer l'aventure.
Les décors "peints" à la fin de l'épisode tranchent avec le reste.
Bref, un bon épisode, qui reste encore un "essai".
L'être humain a deux vies. La seconde commence quand il se rend compte qu'il n'en n'a qu'une...
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Top Franchise
Des archives de Buckaroo
Moins définitif que The Cage, WNMHGB reste néanmoins un grand moment de Star Trek . Roddenberry change peut être son fusil d'épaule , mais pas les balles de son chargeur. Au final , il gardera tout le meilleur parti du précédent pilote, mais ne fera qu'iconiser un maximum ses personnages principaux pour rentre plus accessible son concept.
Cela passe évidemment par l'éviction du falot Cpt Pike au profit du charismatique Cpt James R. Kirk. Archétype du héros des sixties , beau gosse, frimeur & bagarreur, Kirk est un véritable "bad motherfucker" qui cache ici en réalité un homme détermineé, mais sans cesse en proie au doute. James West ne doute jamais, John Steed ne doute jamais, le numéro 6 ne doute jamais ! Kirk lui le peut, et c'est qui fait la différence au finish & le rend 47 ans après toujours aussi... Youman .
Le second couteau , Spock détourne lui aussi les clichés du parfait petit sidekick de l'époque. Loin d'être au "second degré" du héros principal, il est quasi son égal et d'un sérieux aussi froid et tranchant que peut l'être son intelligence. Spock est d'emblée présenté comme un marginal au sein du vaisseau, que seul Kirk semble comprendre & apprécier à sa juste valeur. Nous noterons aussi que Spock possède encore des attributs humains comme des sourires, le sens de l'ironie & une nonchalance qu'il perdra par la suite. Rappelons qu’il cherche à être (vainement ) plus Vulcain durant son existence.
La célèbre partie d'échec. Ce n'est pas forcément le plus intelligent qui gagne:
Les deux hommes se complètent assez parfaitement . On sent que leur amitié est forte et concrète dés le départ. La partie d'échec du teaser, qui montre Kirk vaincre Spock avec son ego nonchalant et son sens aigu de l'improvisation , sans que l'un ne cherche à prendre le dessus sur l'autre ou n'en garde nulle rancune . Spock le marginal qui fait preuve de familiarité avec lui ( il l'appelle d'emblée Jim ). On remarquera aussi que si Gary Mitchell semble apprécier Spock, c'est juste parce qu'il est un ami de Kirk.
Très révélateur aussi , Kirk qui monte au crénéau pour défendre Spock quand celui ci est attaqué par la psychiatre Dehner sur son manque d'émotions ( sa différence raciale ) lors d'un briefing sur le sort de Mitchell. Kirk mettant justement en avant ce que Dehner lui reproche: son objectivité ( qu'elle n'aura jamais dans l’épisode ) .
L'intrigue est un classique de la SF sur le thème du "pouvoir absolu corrompt absolument", mais c'est aussi entre les lignes, un récit terriblement tragique. Celle d'assister à la dégénérescente mentale et irréversible d'un être cher. Gary Mitchell (excellent Gary" 2001" Lockwood" ) le jeune coq qui rappelle furieusement la niak de Kirk, son ami et mentor .Gary qui restera toujours dans l'ombre de Kirk THE man , en garde une forme de ressentiment larvé depuis les années , à l'académie , comme il le suggère lui même d'ailleurs : " La première chose que j'ai entendu des élèves supérieurs était. Prend garde au Lt Kirk, dans sa classe, avec lui soit tu marches ou tu créves" .
Gary Mitchell , un côté James T.Kirk qui lui sera fatal ..
Cela en dit long non seulement sur le caractère bien trempé de Kirk, mais aussi sur le point de départ tendancieux que leur amitié a pris : Une rivalité. Une relation électrique donc basée entre deux fortes personnalités . Le contraire de celle que Kirk a établi avec Spock ou justement l’ego n’entre jamais en jeu. Ainsi quand Mitchell se voit investir du pouvoir d'un Dieu, il ne peut que s'enfoncer dans une spirale fatale, mûrit sous une mégalomanie galopante qui le confinera à la folie. Kirk qui essayera de retarder l'échéance le plus possible. Car tout le long de l'épisode ,vous ne vous en rendez pas compte , mais on nous parle ni plus ni moins que d' euthanasie & du dilemme moral que l' on hérite avec. Un sujet dur et déprimant toujours d'actualité.
Se prendre pour un Dieu, détruire Dieu pour nous protéger ? ou un homme frappé par la maladie et que l'on doit euthanasier pour son bien et celui de tout les autres ? ..
peut être les deux à la fois...
Car à l'instar de The Cage , on ne nous présente pas une vision idyllique du futur, mais quelque chose de plus naturaliste et précaire, maîtrisé à force de détails dramatiques. La traversée de la grande barrière, malgré les avertissements , se vit sous la peur, est un échec flagrant. 9 morts d'entrée, deux qui vont mentalement se détériorer, un personnage secondaire qui meure assassiné ( le sympathique Kelso ) et Kirk qui n'hésite pas à pointer la face sombre de l'homme pour réveiller chez un demi Dieu ( Elisabeth Dehner) une parcelle d'humanité :
"Vous étiez une psychiatre autrefois Vous connaissez les choses laides, sauvages que nous gardons tous enterrés, qu'aucun de nous n'ose exposer. Mais il osera. Qui doit l'arrêter ? Il ne s'en soucie pas . Soyez un psychiatre pendant encore une minute . Que lui voyez-vous arrivé ? Quel est votre pronostic, Docteur ? "
La folie est irréversible , Kirk n'a plus le choix . Gary Mitchell est devenu un danger pour lui même et pour les autres . Kirk tuera donc son vieil ami_ pour le côté humain et dramatique de l'histoire , autant qu'il écrase la notion d'un pouvoir absolu sans compassion qu'il incarnait ( ça pour la métaphysique ). Gary Mitchell le premier dieu à abattre d'une longue liste qui attend James T. à l'orée de l'ultime frontière.
La fin est douce amère & montre encore une fois l'humanité de Kirk & son mépris des règles , puisse qu'il préférera cacher dans son journal de bord la triste déchéance de son ami au profit de la gloire du service.
" Je préfère que cela finisse comme ça , il ( Gary ) n'a jamais demandé ce qui lui est arrivé " et Spock d'acquiescer. Effectivement, il y a toujours un brin de l'espoir dans cette vision imparfaite d'humanité.
Difficile de prétendre que La Série Originale n'est pas character driven..
Que ferions nous avec les pouvoirs de dieux ? Ne serais-ce pas a l'occasion de mettre en pratique les fantasmes les plus obscures que nous possédons tous, mais que nous réprimons ?
Cela se sont les questionnements de bases.. Le vrai dilemme de l'épisode.. C'est de voir un être aimé sombré dans la folie et de façon irréversible.. & de devoir le tuer , l'euthanasier..
je trouve ce dilemme beaucoup; plus intéressant.. Nous ne serons jamais des Dieux.. Par contre être confronter à ce type de drame. Ca pourra nous arriver.
Bref, un bon épisode, qui reste encore un "essai".
Un essai transformé !
Dans le cas de Kirk et Spock.. Toute l'essence de leur relation est contenu dans la partie d'échec.. Même le fait que Spock sourit, fasse de l'humour ..
Tout le long de la série, en tant que métisse, il cherche à être plus Vulcain qu' Humain .. Il manque Bones pour compléter le tableau & l'humour.. WNMHGB en manque cruellement.
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Buck, tu te refais toi aussi TOS?
Bienvenu au club des amateurs de pyjamas!
L'être humain a deux vies. La seconde commence quand il se rend compte qu'il n'en n'a qu'une...
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Retrouvez le comics reboot en VF sur uss-saga
star-trek.be
http://star-trek.be/data/Fiche/C2/C2D/017.html
Dernière modification par IMZADI (08-12-2012 08:52:54)
-"I'm a number, I'm not a free man, I'm the number NCC-1701..."
Beaucoup de choses que nous faisons tout naturellement nous deviennent difficiles dès l'instant où nous cherchons à les intellectualiser. Il arrive qu'à force d'accumuler les connaissances sur un sujet donné, nous devenions ignares.
- Texte mentat n°2 (Dune: Chapter House)
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Retrouvez le comics reboot en VF sur uss-saga
star-trek.be
La traduction est faite par USS SAGA et j' héberge la BD sur mon site à la rubrique star trek et le lien indiqué par Izmadi vous y mène tout droit et j' assume complètement
Épisode : 8 / 10
Dernière modification par KIRK (08-12-2012 18:42:17)
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Merci Kirk, ainsi qu'a Saga de rendre cette histoire dispo
Du coup j'ai parcouru cette première partie et c’est bof bof. Le dessin est très inégal. Certaines cases sont réussies, d'autres complètement raté. C’est surement une question de délais compressé qui font que la partie graphique a été bâclée.
Quand au scénario...Mouais. Le coup de Mitchel qui sort des blagues à Kirk qui était d'un an son cadet à l'académie et se retrouve Capitaine maintenant...
Du coup j'ai une impression générale de bâclage, à l'image de l'horrible couverture composée d'un photomontage du film de 2009 avec un vague effet aquarelle de photoshop.
J'ai bien fait de faire l’impasse sur cette série quand Imzadi en à parlé il y a quelques mois. Je ferais aussi l'impasse sur le Coutdown to Darkness
Dernière modification par mypreciousnico (08-12-2012 15:57:03)
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10/10
Là où Planète interdite montrait un danger invisible, un monstre énergétique, là où The cage montrait un danger via l'illusion talosienne mais se matérialisait via la présence angoisse et observatrice des TalosionsWhere no man has gone before continue de présenter un danger invisible via une force, mais cette fois sa matérialisation est totale via la possession de Mitchell et Dehner...
Pike qui était vidé par cet inconnu, aurait certainement démissionné s'il avait vécu les évènements à la place de Kirk...
Finalement ces 3 histoires représentent nos peurs, nos angoisses les plus profondes face à l'inconnu et la différence et Kirk ici est la force personnifiée de l'homme capable d'affronter cette peur, ce démon intérieur et cela via un geste de ce qu'il y a plus d'humain, un combat contre son meilleur ami grâce à un instinct de survie et son simple sens du sacrifice pour la survie du plus grand nombre... Une force qu'il démontrera de nouveau 20 plus tard contre Sybok.
Un épisode qui met immédiatement en place comme the cage ce concept que dévelopera Star Trek: la nature humaine mise à nu
-"I'm a number, I'm not a free man, I'm the number NCC-1701..."
Beaucoup de choses que nous faisons tout naturellement nous deviennent difficiles dès l'instant où nous cherchons à les intellectualiser. Il arrive qu'à force d'accumuler les connaissances sur un sujet donné, nous devenions ignares.
- Texte mentat n°2 (Dune: Chapter House)
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Revu en HD. Pour ses 50 ans cette année.
Soit l'épisode a été particulièrement soigné, soit les matériaux d'origine étaient mieux conservés que la moyenne de la série.
A part un plan très granuleux voire même peut-être en SD juste après le passage de la grande barrière et quelques plans de moindre qualité (certains gros plans sur les visages notamment), c'est ici tout simplement magnifique, qu'on imagine difficilement regarder un épisode d'un demi siècle. Le super pistolet laser de la fin trahit l'âge mais sinon c'est un ravissement visuel.
L'éclairage et la photographie sont un peu différents de ce que sera la série par la suite, mais c'est finalement plus soft (à l'inverse de ce que donnera les éclairages ombres/lumère sur les visages lors des 2 premières saisons).
Shatner y est excellent et impose sa présence et son charisme dès le départ, bien plus que ne le faisait Hunter dans "The Cage". Un opus que je revois à la hausse dans mes notations.
Le docteur y est transparent et on attend vite DeForest Kelley pour y créer l'alchimie entre les 3 acteurs de tête.
Seul regret que les sfx numériques soient aussi lisses et finalement desservent quelque peu cette remasterisation.
Un bon 8.
Dernière modification par dl500 (22-02-2015 21:52:40)
L'être humain a deux vies. La seconde commence quand il se rend compte qu'il n'en n'a qu'une...
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Le thème du générique de fin est aussi différent non?
Bien aimé ce second épisode pilote, ils ont bien fait de changer les uniformes par la suite car c'était vraiment pas top!
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ils ont bien fait de changer les uniformes par la suite car c'était vraiment pas top!
Un détail non ?
Le fond prime toujours sur la forme dans le ST << originel >> ; c est primordial de le préciser dorénavant
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Spécial 50 ème Anniversaire
Je revois TOS en ce moment. Pas de longue analyse donc , juste des avis sur ce que vaut ces épisodes 50 ans plus tard , leur sens nouveau ou pas aujourd'hui en 2016 , un monde qui n'a plus rien à voir avec les années 60..
Ce qui choque au premier abord avec WNMHGB , par rapport à l'idée kischt et campy que se font les gens , est de constater que ce second pilote est dur et déprimant dans le fond.
Le pitch SF de l'homme devenant un super Dieu , le pouvoir absolu corrompt absolument ne serait cacher longtemps un sujet de fond plus tortueux et bien trop humain:
Voir un proche sombrer peu à peu dans la folie meurtrière et devoir le tuer pour son propre salut et le nôtre.
Réaliser notre impuissance devant la cause accomplie.
Un drame Shakespearien tout autant qu'il est universel & de nature éternellement humaine : " Ces choses laides que nous sommes ( et seront ) toujours capables de faire ".
Ces choses que Gary Mitchell ne peut plus longtemps cacher avec les pouvoirs d'un Dieu, comme d'autre le font aujourd'hui avec le soit disant pouvoir que leur accorde le Coran ou un clavier d'ordinateur..
Mitchell obligeant par la force Kirk à le prier comme un dieu : " vous aimez ce que vous voyez aujourd'hui ? "
Gary Mitchell peut être lut ainsi en 2016.. Une lente et pernicieuse plongée dans le fanatisme & la monstruosité humaine .. Un profond dédain pour la vie humaine , des liens d'amitié & familiale brisés..
Oui hélas , WNMHGB n'a rien perdu de sa modernité , que dis je de son esprit visionnaire. Aidé en cela par un scénario en béton armé qui distille au alentour tout un lot de petits drames personnels :
La psychiatre trop proche de son sujet , un Kirk qui tarde à prendre une décision qu'il connaît d'avance , la rivalité entre Spock et Mitchell , Kelso le bon copain que Mitchell assasine froidement ect ...
Du character driven avant l'heure qui dépasse largement son cadre SF .
& la touche Star Trek comme nulle autre n'a son pareil pour regonfler le moral derrière une histoire tragique.. L'idée de l'exploration et de repousser les frontières de l'inconnu nous enivre ..Aller toujours de l'avant malgré le drame & l'adversité ..
Au final , une touche d'espoir dans le log falsifié de Kirk à la fin qui ne veut pas ternir la mémoire de Dehner et Mitchell.. un final , humble humain , empathique , compatissant aprés avoir affrontrer pendant 55 minutes les choses laides que nous nous cachons..
Where No Man Has Gone Before est un classique prêt à affronter les cinq prochaines décénnies .
Repousser les limites de l'imaginaire et affronter les choses laides que certains ose exposer, That"s My Star Trek !
Dernière modification par Buckaroo (02-12-2016 15:36:37)
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Très bon ! Autant je ne doutais pas d'apprécier Spock, autant j'avais quelques a priori sur Kirk, et bien la partie d’échec du teaser ma directement convaincu ! Kirk crève l'écran et son exposition (personnage vif d'esprit, déterminer mais en proie au doute) est d'une efficacité chirurgicale, l'alchimie avec Spock est immédiate. Gary Mitchell est également très bien interprété, avec une désinvolture glaçante. Je rejoins Buck sur le fait que le thème principale de l'épisode est le sort réservé a Mitchell, le dilemme morale vécu par Kirk avec Spock en voie de la raison, cruelle mais nécessaire. Kirk vise juste lorsqu'il donne la réplique à Mitchell, j'aime ce côté fossoyeur de divinité . C'est à la fois triste mais l'humanité de Kirk (et de l'UFP ?) transparait pleinement. Bref je suis conquis, même si on sent que tout n'est pas encore en place.
7/10
(par contre c'est normal que sur Netflix WNMHGB soit l'épisode 4 ?)
Dernière modification par Amiboshi (16-11-2017 17:04:01)
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(par contre c'est normal que sur Netflix WNMHGB soit l'épisode 4 ?)
Il me semble que Netflix suit l'ordre de diffusion US (et non pas l'ordre de production). Hors s'il est bien le second pilote, cet épisode n'a été diffusé que plus tard, le premier diffusé étant "The Man Trap". Mais c'est à vérifier, je n'ai pas Netflix et je me base sur mes souvenirs de ce que j'ai vu chez ma parmaqqay.
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Surtout Amiboshi , là c'est l'amoureux transi de TOS qui te parle..
Regarde la série dans l'ordre de production , l'ordre de diffusion l' a rend incohérente & masque beaucoup de détails..
L'ordre de diffusion devrait être condamné à disparaître AMHA.
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OK c'est ce que je pensais, je vais continuer à suivre la numérotation indiqué sur le forum
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Sympa le pilote. Tout n'est pas encore en place, mais le fond est là.
Et les sourcils de M. Spock, ils sont même sacrément là eux !
J'ai bien aimé l'humanité représenté par Elizabeth, un personnage intéressant, dommage.
Le truc qui m'a un peu dérangé, c'est pourquoi vouloir absolument buter Gary ? Si c'était un tyran sanguinaire, je comprendrais qu'on ait quelques réticences à ce qu'il ait des super pouvoirs, mais Gary était un brave type non ? Pourquoi aurait-il utilisé ses pouvoirs pour de mauvaises choses ?
Au nom de l'humanité, il ne devrait pas avoir le droit d'être supérieur ?
Certes il y a le vaisseau d'avant qui est détruit, mais je trouve que c'est trop peu pour me faire croire a la motivation générale de se débarrasser de lui. Surtout qu'il devient hostile seulement quand il comprend ce qu'ils veulent faire de lui.
Sinon Gary a seulement 23 ans et Elizabeth 21. Mais bien sûr...
Visuellement c'était assez intéressant, proche de la suite mais avec quand même quelques différences qui ne manquent pas de charmes.
J'ai bien aimé quand Gary lit des livres sur un écran. Kindle de 1966.
Bon.
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I personally would have gone with the second pilot - Where No Man Has Gone Before instead of The Man Trap. It would have been confusing to most people back then in 1966 to have one episode suddenly change the looks and go back again.
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I would still stick with Where No Man Has Gone Before - it fits well with things. They should have aired that one first as opposed to The Man Trap.I never knew The Man Trap was the first TOS episode that aired until the late 1990s. Heck, I thought for a while that they actually aired The Cage back then. Of course, they didnt. We never got to see the pilot in full until that Trek special with Patrick Stewart back in 1988.
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Un second pilote bien moins réussi et ambitieux que le premier mais c'est pas mal du tout en définitive même si je préfère de loin le traitement du même sujet dans la saison 1 de TNG.
Par contre de gros soucis de rythme qui me font décrocher à chaque visionnage.
6
Dernière modification par ufologue (16-02-2020 12:29:45)
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Bonjour Ufologue.
Cet épisode a 55 ans... et pour rentrer dans TOS, il faut que tu privilégies le fond au delà de la forme, sinon tu n'y arriveras pas.
C'était en plus un un pilote plein de compromis pour arriver à valider le show (bagarres, lasers...place des femmes etc).
C'est effectivement un peu raide, mais TOS démarre vraiment après les épisodes "Janice Rand" et reste encore aujourd'hui une leçon de télévision.
Bon visionnage.
L'être humain a deux vies. La seconde commence quand il se rend compte qu'il n'en n'a qu'une...
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Les couleurs, le look, les costumes et les décors de TOS ne sont pas ce qui me dérangent le plus même si parfois cela prête à sourire. J'ai surtout un gros problème avec l'interprétation. Mis à part DeForest Kelley et quelques guest stars je trouve quasiment tous les interprètes mauvais ou catastrophiques.
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C'est un épisode intéressant.
Après avoir vu TNG, je me suis un peu étonné qu'il y ait pas eu pour ce premier épisode une introduction
où les personnages s'installent et découvrir comment cet équipage part pour sa première mission.
C'était le cas dans TNG et Star Trek Entreprise.
J'ai mis 7.
"Longue vie et prospérité"
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