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dl500

TOS Forever

Re : Blu-ray : The Next Level, la série ST TNG remasterisée

A part Némésis, le gain n'est donc pas à la hauteur du support, y compris en terme d'interactivité et de suppléments.

J'enrage de ne pas pouvoir totalement profiter de la HD sur mon univers préféré à part quelques exceptions (TNG, ENT S4...).

Dl500, j'avoue que je ne vois pas comment tu as pu tirer de mon compte-rendu (certes laconique) et du post de Mypreciousnico des conclusions aussi négatives sur les Blu-ray des films TNG !

Pour info, mon barème de notation technique des Blu-ray est le suivant :
- 0/10 c'est de la VHS SECAM (c'est à dire ce qui existe de pire),
- 1 à 4/10 c'est de la SD (4/10 représentant le meilleur du standard DVD),
- 5 à 10/10 c'est de la HD (avec notamment 5/10 pour "un peu mieux que du DVD", 8/10 pour un bon 1080p, et 10/10 pour le maximum possible du standard Blu-ray).

Bonsoir Yrad, Bonsoir Nico.
Oups! je me suis mal exprimé. Mea Culpa.
Alors, en fait, je ne suis pas forcément sur le bon post pour parler des Blu-ray des films en général.
Par extension, je parlais des 10 films et pas uniquement des TNG. J'ai bien compris que leur rachat pour les 4 derniers apportera un gain significatif et s'impose même si on ne tirera pas toute la quintessence du support. Je ne suis pas d'accord avec ta notation Yrad, parce que mettre 4 maxi pour un dvd c'est dur. Certains sont supérieurs à des Blu-ray...Je n'ose imaginer la note pour un laserdisc. Tient, encore une de ces fameuses madeleines. Si sur un projo full HD ça pique, sur un SD (que j'ai encore en 800 par 600) ça passe bien mieux. Ca, c'est la magie de l'électronique.
Mais ça rejoint notre conversation précédente.

[Par ailleurs, je ne m'étais pas exprimé sur l'interactivité, or celle-ci est justement plutôt satisfaisante : chaque Blu-ray des films TNG reprend l'intégralité des bonus des éditions doubles DVD correspondantes et les enrichit de plusieurs nouveaux suppléments en HD.

Idem. 
Ma déception concerne principalement les tosiens.
Les coffrets collectors regorgent de suppléments. Bon en même temps je suis comme Nico, ce n'est pas pour ça que je vais les regarder, j'ai parfois du mal avec le décorticage et donc la perte du secret de fabrication. Je regarde plutôt les interviews.

Et comme j'ai décidé finalement de me les procurer ces 4 films... ( Je suis pardonné non?  )
Principalement aussi parce qu'il n'existe qu'un seul montage.

Collectionneur des versions longues ou alternatives, je suis frustré sur les premiers films.

Dernière modification par dl500 (30-01-2015 20:19:35)

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L'être humain a deux vies. La seconde commence quand il se rend compte qu'il n'en n'a qu'une...

yrad

admin

Re : Blu-ray : The Next Level, la série ST TNG remasterisée

Bonsoir Yrad, Bonsoir Nico.

Bonsoir Dl500.

Je ne suis pas d'accord avec ta notation Yrad, parce que mettre 4 maxi pour un dvd c'est dur. Certains sont supérieurs à des Blu-ray... Je n'ose imaginer la note pour un laserdisc. Tient, encore une de ces fameuses madeleines.

Mon barème est pourtant logique et objectif (mais "madeleine-incompatible" il est vrai ). Il correspond d'ailleurs conceptuellement aux barèmes des bancs d'essai sérieux de la presse et du web (mais qui utilisent généralement des échelles sur 5 quoique incrémentées par palier de 0,5 ce qui revient au même qu'une échelle sur 10 incrémentée par paliers entiers).
Il faut bien comprendre qu'il s'agit d'un barème Blu-ray... ayant donc vocation à non seulement intégrer mais également dépasser le barème DVD. Car il existe une hiérarchie technique objective et linéaire entre les supports DVD et Blu-ray. Ainsi, ce qui correspond à un 10/10 dans le barème DVD ne peut pas correspondre à plus de 4/10 (qui est la partie entière de 4,9999...) dans le barème Blu-ray, car un Blu-ray recevant la moyenne (5/10) est sémantiquement une édition qui possède une raison d'être, donc qui propose forcément quelque chose que le support DVD ne peut offrir sur le plan technique.
Maintenant, si un Blu-ray s'avère inférieur à un DVD, cela signifie juste que ledit Blu-ray est une escroquerie technique & commerciale (et il y en a en effet beaucoup trop dans ce cas-là )... Ou alors cela signifie que le DVD initial était lui-même une escroquerie technique et commerciale qui aurait simplement dû être upgradé par un nouveau DVD cette fois à la hauteur de son format (et non par un "faux Blu-ray" ne proposant rien de plus que ce que peut déjà proposer un excellent DVD par exemple Superbit).
Pour enfoncer le clou, mon barème Blu-ray est mathématiquement trop favorable aux DVD puisque le standard Blu-ray (1920 x 1080) offre le quadruple (et non simplement le double) de la définition maximale possible du standard DVD (720 x 576)... ce qui aurait arithmétiquement dû faire plafonner les DVD à du 2/10 (partie entière de 2,4999) dans le barème Blu-ray.
Mêmes observations pour le Laserdisc qui en vidéo partage la définition maximale du DVD.

Si sur un projo full HD ça pique, sur un SD (que j'ai encore en 800 par 600) ça passe bien mieux. Ca, c'est la magie de l'électronique.
Mais ça rejoint notre conversation précédente.

Si une image SD (qu'elle vienne d'un DVD, d'un LD, d'une DVHS SD, d'une DV SD, d'un DivX low def, etc...) "pique" en full HD, c'est que l'upscale employé laisse à désirer. Le service minimum* d'un scaler est de reproduire homothétiquement une image dans une définition supérieure... au prix d'une baisse proportionnelle en résolution (l'image ne parait donc pas plus nette mais simplement identique en dépit de la définition accrue). Si ce travail est effectué sans artefact (et notamment sans aliasing), le gain en définition (et donc en résolution à diagonale identique) du vidéoprojecteur apporte alors le bénéfice d'une grille de pixels moins visible (surtout pour qui aime s'immerger dans l'image).

[*Au-delà du service minimum, il existe des scalers (matériels et/ou logiciels) plus sophistiqués (et plus chers) qui s'emploient à faire monter la définition sans (trop) perdre en résolution... Mais là, le résultat est fatalement imparfait car il est impossible d'interpoler (donc d'inventer) à la perfection de façon automatisée - même au moyen d'algorithmes très complexes - des informations qui n'existent pas à la source.]

Bon en même temps je suis comme Nico, ce n'est pas pour ça que je vais les regarder, j'ai parfois du mal avec le décorticage et donc la perte du secret de fabrication. Je regarde plutôt les interviews.

Oui, les secrets de fabrication tuent la suspension d'incrédulité. C'est comme les goodies.
Il faut une "schizophrénie parfaitement maitrisée" (lol) pour pouvoir passer sans cesse de l'internalisme à l'externalisme (et réciproquement) sans jamais y perdre de plumes.

Suite sur le home-cinema et la technologie vidéo dans ce topic-là

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« Science fiction is the most important literature in the history of the world, because it's the history of ideas, the history of our civilization birthing itself. Science fiction is central to everything we've ever done, and people who make fun of science fiction writers don't know what they're talking about. »
Feu Ray Bradbury