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ST TNG 04x16 Galaxy's Child (L'enfant stellaire)
Crédits officiels :
- Histoire : Thomas Kartozian
- Dialogues : Maurice Hurley
- Réalisation : Winrich Kolbe
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« Science fiction is the most important literature in the history of the world, because it's the history of ideas, the history of our civilization birthing itself. Science fiction is central to everything we've ever done, and people who make fun of science fiction writers don't know what they're talking about. »
Feu Ray Bradbury
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8
Une belle fable sur la vie différente. Scénario bien agréable, avec un Picard touché par la mort de la mère. Comme quoi, pas besoin de « kaboum » dans ST, au contraire, l’utilisation des armes est en tout dernier recours. Jar Jar n’a pas du voir non plus cet épisode. L’intrigue secondaire avec Geordi est intéressante et en contrepoids du précédent opus avec Brams.
L'être humain a deux vies. La seconde commence quand il se rend compte qu'il n'en n'a qu'une...
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8/10
Un très bel épisode sur la découverte de nouvelle forme de vie et la critique de l'usage des armes en 1er recours.
Nous navigons dans l'espace, dans l'espoir de rencontrer des formes de vie, d'établir des relations pacifiques sans pour autant intervenir. Ni sous aucun prétexte, chercher à les détruire... et regardez ce que nous avons fait !
Puis le bébé de l'espace qui prend l'Enterprise pour sa mère, simple et joli.
L'histoire secondaire de La Forge est jolie aussi car elle n'est pas baveuse de sentimenys à la con, au contraire cette suite est logique et le comportement de La Forge également.
Cela vient critiquer que le tout techno est pas si top, un avant-gardisme que l'on retrouve aujourd'hui avec les relations virtuelles d'internet.
Je trouve aussi que cette 2nde histoire finalement vient appuyer la 1ère: rien ne vaut un vrai contact humain, réel et non-virtuel ou distant en lieu et place de la techno: arme - holodeck
Un épisode parfaitement trekkien.
Alors j'ai adoré l'actrice qui joue Leah Brahms, que ce soit la colère, la tristesse, l'incompéhension, la joie, le rire, son jeu d'expressions est incroyable, elle m'a hypnotisé. Et puis une beauté simple, aucune sophistication, un charme fou... Vivement les holodecks que je la reproduise
Dernière modification par IMZADI (09-12-2013 09:53:30)
-"I'm a number, I'm not a free man, I'm the number NCC-1701..."
Beaucoup de choses que nous faisons tout naturellement nous deviennent difficiles dès l'instant où nous cherchons à les intellectualiser. Il arrive qu'à force d'accumuler les connaissances sur un sujet donné, nous devenions ignares.
- Texte mentat n°2 (Dune: Chapter House)
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L'histoire secondaire de La Forge est jolie aussi car elle n'est pas baveuse de sentimenys à la con, au contraire cette suite est logique et le comportement de La Forge également.
Cela vient critiquer que le tout techno est pas si top, un avant-gardisme que l'on retrouve aujourd'hui avec les relations virtuelles d'internet.
& bien là tu vois pour moi désormais, c'est ça Star Trek , ça doit être ça, finalement cela a toujours été ça . L'histoire principale de cet épisode , c'est la relation Geordi / Leah Brahms. L' enfant de la galaxie est désormais l'intrigue secondaire, le prétexte.. un excellent prétexte au demeurant qui enflamme l'imagination..
Comme tu le dis, c'était à l'avant garde , ça préfigurait les futures relations virtuelles et leur drôle de déconvenue & de codes sociaux.
Mais c'est aussi un truc terriblement humain , universel.. Qui n'a pas un jour mis une personne sur un piédestral & découvert derrière une tout autre personne?
Elle pose aussi des questions sur les libertés individuelles au sein de cette utopie .. Tout de même en se servant d'informations sur Leah Bhrams , Geordie crée un double virtuel ( presque) parfait.. Leah Bhrams a tout les droits d'être offusqué par l'utilisation faîtes des ses informations personnelles et de son image..
Dernière modification par Buckaroo (09-12-2013 17:42:40)
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Qui n'a pas un jour mis une personne sous un piédestal
Dessus oui mais jamais dessous
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Journée chargée que voulez vous.. Ce n'est pas ma première coquille, ni ma dernière .
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Elle pose aussi des questions sur les libertés individuelles au sein de cette utopie .. Tout de même en se servant d'informations sur Leah Brahms , Geordi crée un double virtuel ( presque) parfait.. Leah Brahms a tous les droits d'être offusquée par l'utilisation faîte des ses informations personnelles et de son image..
oui tout à fait ! Je suis passé à côté. C'est hyper violent en fait je trouve. Étonnant d'ailleurs que Geordi le gentil soldat faillisse dans cette humanité aseptisée et moralisée. D'ailleurs elle lui pardonne bien facilement
Eh Buck ! Que se passe-t-il ? De plus en plus de fautes...
Dernière modification par IMZADI (09-12-2013 18:09:02)
-"I'm a number, I'm not a free man, I'm the number NCC-1701..."
Beaucoup de choses que nous faisons tout naturellement nous deviennent difficiles dès l'instant où nous cherchons à les intellectualiser. Il arrive qu'à force d'accumuler les connaissances sur un sujet donné, nous devenions ignares.
- Texte mentat n°2 (Dune: Chapter House)
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On peut effectivement s'étonner du manque de tact de Laforge mais il faut se remettre dans le contexte de l'épisode : L' Enterprise subie une crise majeure avec une possibilité non négligeable de destruction ( comme dirait Data ^^ ); faire appel à cet hologramme représentait la dernière chance de trouver une solution et il fallait non pas une reproduction à minima du docteur mais au contraire une représentation entière pour faciliter dans le peu de temps imparti leur interaction et leur stimulation professionnelle. Après tout Laforge n'a utilisé qu'une base de données existante.
Quand il y va de la survie de tout un vaisseau et équipage on laisse au vestiaire ce genre de " détails " quitte à le regretter plus tard ; nécessité fait loi !
7/10 et puis comme Imzadi j'ai un gros faible pour Léah Brahms aussi bien dans sa version virtuelle que réelle
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Alors j'ai adoré l'actrice qui joue Leah Brahms, que ce soit la colère, la tristesse, l'incompéhension, la joie, le rire, son jeu d'expressions est incroyable, elle m'a hypnotisé. Et puis une beauté simple, aucune sophistication, un charme fou... Vivement les holodecks que je la reproduise
C'est intéressant de noter que Susan Gibney a aussi joué dans deux épisodes de DS9, mais qu'elle avait aussi été pressentie pour les rôles de Kathryn Janeway, puis de Seven of Nine, puis de la Reine Borg ! Sacrée "presque filmographie"...
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C'est dommage que le rôle de Katryn Janeway lui ait échappé .. Cela aurait été l'occasion de renouer avec les capitaines jeune à la James T. Kirk..
Quel soit une femme et jeune qui plus est , aurait donner une dimension différente avec les autres capitaines des Séries Berman âgé de 40 / 50 ans ..
Voyager aurait été différent et la tension de faire de Janeway un Picard au féminin aurait moins évidente.
Susan Gibney est craquante en Leah Brahms & dans cet épisode , je préfère la réelle que le fantasme holographique de Geordi .. Cela doit être mon côté maso ..
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Dad introduced me to Trek with TMPHe loved TOS. He hated Captain Picard. LOL How dare Picard surrender to Q on the first 10 minutes of Farpoint ???? He would say Kirk would never do that and só forth. He only made peace with the TNG cast with the TNG movies, specially GEN and FC LOL love you dadGus
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Okay alors si j'avais vu l'ensemble de la franchise, j'aurais peut-être pu voter pour un top franchise pour celui-ci. Je fais un retour alors que je l'ai vu depuis un moment mais je n'arrête pas d'y penser aujourd'hui.
Cette rencontre avec une espèce inconnue, la tristesse de Picard quand il se rend compte qu'ils l'ont tué... Tout est juste dans cette rencontre et le conte est tendre. Que l'Enterprise fasse naître un petit par une opération improbable, que ce bébé s'accroche à l'Enterprise pour s'y nourrir et enfin, aller jusqu'à le tracter parmi les siens, c'est pile ce que je sens être du Star Trek.
En vous lisant, je me rappelle que c'était aussi l'épisode gênant de Geordi... Oh, Geordi. Tu te comportes de manière parfaitement malaisante. Tu pars du principe qu'une femme t'es acquise par ta seule expérience qui, disons-le, navigue dans les eaux un peu troubles du stalking. Tu lui reproche d'être outrée d'avoir été "dupliquée", tu lui fais croire que le problème vient d'elle alors que, mec, je t'aime bien mais là, c'est toi, le problème, dans l'histoire. Tu n'as pas su faire la différence entre ton fantasme et la réalité. Et cette "instrumentalisation" de Brahms a été un peu dérangeante. J'ai été gênée pour Geordi et j'aurais bien aimé que Brahms le secoue un peu plus. Le larmoiement final "je suis coupable blablabla d'avoir voulu être votre ami"... Nope.
Gardons en tête ce petit alien bizarre qui tête l'Enterprise.
"Qu'arrive-t-il à l'observateur aux yeux écarquillés, lorsque la fenêtre qui sépare réel et irréel explose et que les morceaux de verre commencent à voler en tous sens?" [Stephen King, Vue imprenable sur jardin secret]
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J'ai moi aussi beaucoup aimé l'intrigue du bébé. Encore une fois, c'est original et bien amené. De jolies sfx. La scène de "mise à mort" est terrible et touchante.
Je ne veux pas excuser LaForge mais, franchement, c'est un bon gars, sûrement maladroit avec les femmes, mais qui ne demande qu'à bien faire. Il s'agit de la représentation de l'image caricaturale de tous les "pauvres geek, petit génie à lunettes, pas doué avec les filles". Il se l'est un peu joué sur le mode du film "Une créature de rêve", rien de bien méchant et il me semble que Brahms apporte de très bonnes réponses face à ses "agissements".
Sa seule erreur selon moi, ne pas lui avoir tout de suite fait la démonstration au holodek pour être totalement transparent. Mais là encore, on sent bien que Geordi a été déstabilisé par le comportement plutôt peu aimable de Brahms à son arrivée. C'est un énorme malentendu qui à la toute fin trouve un jolie écho avec Geordi, au bar, seul, face à l'immensité de l'espace.
Je suis tout à fait d'accord avec les précédents commentaires. C'est fou comme cette intrigue raisonne avec les problématiques actuelles : confidentialité des informations personnelles, usages frauduleux, relations virtuelles/réelles,...
Il est vrai qu'on sent depuis quelques épisodes un "esprit trekkien" mis en avant, allant un peu au-delà d'intrigues classiques. C'est difficile à définir. Il me semble que cet "esprit" est un peu différent de la S3 notamment. Cette S4 repose sur un équilibre particulier, peut-être moins homogène que la S3 mais peut être également, plus intéressant.
Dernière modification par Ftiqz46d (28-03-2021 10:43:37)
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