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ST TNG 02x22 Shades Of Gray (Au seuil de la mort)
Crédits officiels :
- Histoire : Maurice Hurley
- Dialogues : Maurice Hurley, Richard Manning, Hans Beimler
- Réalisation : Robert Bowman
Shades of Gray sur Memory Alpha.fr
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« Science fiction is the most important literature in the history of the world, because it's the history of ideas, the history of our civilization birthing itself. Science fiction is central to everything we've ever done, and people who make fun of science fiction writers don't know what they're talking about. »
Feu Ray Bradbury
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Cote = 1
Je n'ai pas mis un 0 pointé comme pour These are the voyages parce que je ne pense pas qu'il y avait de mauvaise intention derrière ni de je m'enfoutisme derrière mais à quoi bon sert un pareil pisode?
Alors il paraît qu'il n'y avait plus de fric pour boucler la saison. Soit! Mais n'aurait il pas mieux valu de faire un épisode sans SFX ni grands décors ni maquettes. Un huit clos à la limite! Mais surtout une vraie histoire.
Et puis, même pas un digne au revoir à Pulasky...
Tamata signifie : "celui qui ne renonce jamais" en polynésien.
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Seul épisode de TNG donc on pourrait se passer... bon, l'excuse n'est pas celle du manque de budget.. Mais une grêve des scénaristes.. La raison pour laquelle cette saison n'a que 22 épisodes au lieu des 26 habituels.
Je dirais médiocre.. Même si l'utilisation des souvenirs et des émotions qu'elle engendre pour sauver Riker est plutôt une bonne idée.
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Oui, l'utilisation des souvenirs et des émotions sont une bonne idée à la base. Mais déjà ca arrive à plus de la moitié de l'épisode, trop de remplissage au début et puis aucun traitement en profondeur de cette idée.
Cet épisode a tout de même une qualité : celle de nous montrer qu'il n'y a pas qu'en France qu'il y'a des grèves et en plus c'est finalement assez régulièrement qu'on a ce type de problème à Hollywood. Ça se voit surtout sur les séries, vu qu'elles fonctionnent en flux tendu.
2 pour moi, vu qu'il y'a tout de même une bonne idée à la base. L'épisode est donc "juste" raté...
PS : Je tente ma petite Philoust ?
Bon, parmi tant d'autres inepties de cet épisode, celle qui me semble l'une des pires : Riker s'est fait mordre et c'est super grave. Geordi redescend pour essayer de trouver par quoi, mais il ne se protège pas du tout lui même, il se ballade dans la mangrove tranquillou. Même pas un truc à se mettre pour se protéger, c'était la grève des habilleurs en plus des scénaristes ?
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4/10
On sait tous le pourquoi de sa faiblesse. Mais bon Troi qui reste auprès de Riker et qui donne son avis médical. Avec toute la sympathie que peut avoir Pulaski pour Troi, elle n'a rien à foutre en salle d'intervention. Et malgré son empathie. Elle devrait intervenir plus tard je trouve. Heureusement qu'on fait pas ça avec nos proches.
Un big up à Diana Muldaur. Snif snif au revoir Kate Pulaski. Elle va manquer au show.
-"I'm a number, I'm not a free man, I'm the number NCC-1701..."
Beaucoup de choses que nous faisons tout naturellement nous deviennent difficiles dès l'instant où nous cherchons à les intellectualiser. Il arrive qu'à force d'accumuler les connaissances sur un sujet donné, nous devenions ignares.
- Texte mentat n°2 (Dune: Chapter House)
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Je l'ai revu ce week-end et je suis d'accord : cet épisode ne sert absolument à rien.
C'est typique de beaucoup de séries ce genre d'épisodes cheap, ou on réutilise les shots des précédents quand on n'a plus d'idées/d'argent. Mais totalement indigne de Star Trek, heureusement qu'il n'y en aura pas d'autres par la suite (ou alors ma mémoire me joue des tours).
On peut juste noter que c'est un poil mieux amené, qu'un bête "Ah au fait, tu te souviens quand... flashback".
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Episode médiocre tournant autour de Riker et sans vraiment d'intérêt : 3
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(Re)vu hier soir...
Tout a été dit ; épisode plus que dispensable, qui clôt cette saison en eau de boudin !
Quitte à y mettre moins d'épisodes à cause de la grève des scénaristes, ils auraient pu n'en mettre que 21 et nous éviter cette... chose !
Un bon point, tout de même : Pulaski est à l'honneur pour sa dernière apparition...
Farewell, Kate !
Live Long And Prosper
A.
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Ha, pardon, c'est encore dans le genre mini détail qui tue mais enfin! -à la fin de la 2ème saison!- voici enfin un moment de sincérité dans le jeu de Riker! Ça dure 2 secondes, à peine, quand il détourne le regard face à Geordi qui examine sa blessure. Voilà. VOILA Riker. C'est pas dur d'être sincère, fichtre bleu. On voit que tu es vexé de toi-même, on sent que tu es en colère et que tu aimerais bien qu'il en soit autrement et on sent aussi que tu sais qu'il faut te résigner à accepter que Geordi soit inquiet. VOILA. Déso. On continue.
Haaaan. On va retracer toute la vie de Riker, là? C'est l'épisode j'ai-plus-d'idée-donc-je-fais-un-épisode-de-flashback ? Ha, oui. Oui, bah... Ouaip'. Ouaip' ouaip' ouaip'.
(Oké, je vous ai lu, j'avais pas fait le rapprochement que c'était là, la grève des scénaristes de l'époque. Du coup, dans le doute, on ne casse pas un piquet de grève et on fais pas d'épisode, hein? Non, mauvais investissement? Ha.)
Une bonne idée, cette espèce de virus-bactérie qui réagit aux endorphines d'émotion, mais pas assez bien traitée et un point en plus pour les 2 secondes de sincérité de Riker au début.
Le reste, bah... En soit, p'tête que si je n'avais pas bingé TNG S01 et 02, j'aurais pu trouver un peu de plaisir à revoir de vielle scènes mais là, sur un jeu d'acteur que je n'apprécie pas en plus, nope.
Oh, je viens de lire vos commentaires, et c'était le dernier jour de Pulaski. Ha bah flûte alors, je venais de l'aimer!
"Qu'arrive-t-il à l'observateur aux yeux écarquillés, lorsque la fenêtre qui sépare réel et irréel explose et que les morceaux de verre commencent à voler en tous sens?" [Stephen King, Vue imprenable sur jardin secret]
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Une rétrospective sur le Commandeur Riker, mais c'est bien trop tôt !!
Donc assez ennuyeux.
En SF, lorsque le médecin dit "la personne va mourrir", on peut le traduire par
"le médecin est incompétent".
Lorsque souvent en fin d'épisode, le médecin dit "nous l'avons sauvé", on peut
dire "le médecin a été trop alarmiste".
Le duo Troi-Pulaski fonctionne bien.
J'ai mis 5 à cet épisode.
"Longue vie et prospérité"
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