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ST TOS 03x11 Day Of The Dove (La colombe)
Crédits officiels :
- Histoire & dialogues : Jerome Bixby
- Réalisation : Marvin J. Chomsky
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« Science fiction is the most important literature in the history of the world, because it's the history of ideas, the history of our civilization birthing itself. Science fiction is central to everything we've ever done, and people who make fun of science fiction writers don't know what they're talking about. »
Feu Ray Bradbury
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8.
Un épisode Klingon et quel épisode Klingon !
Les jeux du cirque réinventé, réimaginés pour le bon plaisir nutritif d'une entité extraterrestre.
Au final, c'est à une première alliance historique que l'on assiste, et voir Kang et Krik rire de conserve est un grand moment de Star Trek.
Pour le reste, l'intrigue est plutôt bonne, quelques passages sont carrément épiques, à l'image de cette scène frappante ou les Klingons prennent le contrôle de la salle des machines.
Comme toujours dans Star Trek, la solution au conflit se devra d'être pacifique, toute notion de violence rendant l'ennemi plus fort et la résistance plus dure. Même les Klingons le comprendront, c'est l'épisode des miracles
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9
Il aurait pu être un top franchise si le ridicule des maquillages et des combats au sabre ne transparaissaient pas aussi violement à l’écran, empêchant de totalement adhérer. Reste Kang, certainement le meilleur klingon de TOS. Une nouvelle fois un être immatériel est au centre de l’intrigue, qui se nourrit ici de haine. Un parallèle avec la dichotomie du monde de l’époque.
L'être humain a deux vies. La seconde commence quand il se rend compte qu'il n'en n'a qu'une...
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J'écoute les épisodes TOS remasterisés dans l'ordre qu'ils ont été diffusés sur "Space Channel", et l'ordre diffère légèrement que celui qui est présenté sur ce forum, je me demande d'où provient la différence (7e épisode alors qu'il est noté 11e ici).
Un épisode klingon, il est plus facile d'accepter ceux de TOS après avoir vu Enterprise (qui explique leur différence d'apparence). Il faut avouer que ces klingons sont biens plus chétifs que ceux qu'on verra dans le reste de la franchise.
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Il y a l'ordre.de production et l'ordre de diffusion datant des années 60, il semblerait que les Okuda aient remasterisé la série comme bon il leur semblait, si bien que la remasterisation a son propre ordre de diffusion. Il doit bien y avoir une explication dans leur petite tête: les épisodes + faciles à remasteriser en 1er ? Les + appréciés du fandom.? Leurs préférés personnels ? Les moins chers en 1er ?...
-"I'm a number, I'm not a free man, I'm the number NCC-1701..."
Beaucoup de choses que nous faisons tout naturellement nous deviennent difficiles dès l'instant où nous cherchons à les intellectualiser. Il arrive qu'à force d'accumuler les connaissances sur un sujet donné, nous devenions ignares.
- Texte mentat n°2 (Dune: Chapter House)
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Il y a l'ordre.de production et l'ordre de diffusion datant des années 60, il semblerait que les Okuda aient remasterisé la série comme bon il leur semblait, si bien que la remasterisation a son propre ordre de diffusion. Il doit bien y avoir une explication dans leur petite tête: les épisodes + faciles à remasteriser en 1er ? Les + appréciés du fandom.? Leurs préférés personnels ? Les moins chers en 1er ?...
C'est tout le problème de cette remasterisation bancale. Certains épisodes jugés arbitrairement "meilleurs" que les autres ont fait l'objet d'un gros travail au niveau des SFX, et d'autres récoltent les miettes. La différence de traitement entre les épisodes est flagrante lorsqu'on regarde la série en entier.
On peut rire de tout, mais pas avec tout le monde. (Desproges)
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Ahhh des bon vieux combats à l'arme blanche ! Même si je préfère les Lirpa vulcaines ou les Bat'leth klingons, je ne peux m'empêcher d'être sous le charme épique de ces combats au sabre.
Ces Klingons "humanisés" ont quelque chose de pathétique quand on les compare aux fiers guerriers qu'ils étaient, et seront à nouveau.
Un bon épisode qui montre qu'on peut faire de l'action/spectacle sans tomber dans le ridicule scénaristique.
Dernière modification par DrAg0r (21-02-2014 10:44:55)
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Revu récemment,
Il y a un détail que j'ai énormément apprécié, en tant que pratiquant d'Arts-Martiaux Historiques Européens, et passionné d'armes blanches : Ils n'ont pas fait l'erreur pourtant très courante concernant la claymore que trouve Scotty. Il s'agit d'une véritable claymore, une broadsword écossaise.
N'importe quelle autre série ou film aurait mis une grosse épée à deux mains, et appelé ça "claymore" sans trop réfléchir. Là non, et ça témoigne à mon avis d'une véritable recherche documentaire (parce qu'en faisant une recherche rapide, on tombe souvent sur l'erreur, que j'ai même dans des bouquins chez moi, comme quoi...)
Bref, c'est le genre de souci du détail qui me fascine dans Star Trek.
Pour mieux comprendre de quoi je parle, je conseille de lire ce très bon article : https://ognblog.wordpress.com/2015/03/1 ? h-farrell/
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Revu en hd:
Ah ces Klingons... Oui ENT permet de mieux les apprécier. Même si leur maquillage se retrouve sur les murs des couloirs après que Chekov ait touché la femme de Kang.
Sur la forme la remastérisation est simple et discrète. Quant à l'histoire elle reste basique et trop binaire pour remporter le top franchise. Le jeu des acteurs est présent pour qu'on se fasse plaisir tout comme eux et ça se voit à l'écran. Shatner cabotine en professionnel, du pur plaisir.
L'être humain a deux vies. La seconde commence quand il se rend compte qu'il n'en n'a qu'une...
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L'entité de la semaine est fan de castagne et elle n'hésite pas à faire combattre des gens contre leur gré pour s'assurer le spectacle. Moi je préfère regarder un film avec Billy Blanks, mais chacun ses goûts.
Mais si on veut du spectacle de qualité et pas juste des combats de gladiateurs désintéressés, il faut prendre de vrais ennemis. Donc Kirk VS Klingons semble un choix judicieux.
De plus l'entité boostera la haine des protagonistes à coup de faux souvenirs. Rien de mieux pour transformer un gringalet comme Chekov en gros bourrin prêt à aller péter des mouilles pour venger sa sœur.
L'épisode est assez rigolo à suivre mais malheureusement comme souvent ne cherche à aller un plus loin que ce qu'il raconte. La raison fictive de ce conflit fait que ça résolution l'est tout autant, aucune leçon ou réflexion à en tirer.
Par contre c'est assez agréable de voir que les auteurs commencent à développer les Klingons. Cette fois on a moins l'impression d'être face à la bande de méchant du dimanche juste bon à se faire battre par Kirk, mais plus à un vrai peuple.
Les prémisses de ce que seront vraiment les Klingons par la suite, ça fait plaisir.
Correct.
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7/10
Étrangement je prends du plaisir devant cet épisode.
Tout est kitsch, l'histoire est abusée, un classe Constitution abordé qui y croirait, surtout quand on sait que les Klingon sont techno-kif-kif
J'aime la Klingonne, on pourrait croire qu'elle sans personnalité, mais après ENT, on sait qu'en fait sa couardise la fait réfléchir et amène le raisonnement et la confiance.
Le rire final est ridicule mais un bon plaisir
-"I'm a number, I'm not a free man, I'm the number NCC-1701..."
Beaucoup de choses que nous faisons tout naturellement nous deviennent difficiles dès l'instant où nous cherchons à les intellectualiser. Il arrive qu'à force d'accumuler les connaissances sur un sujet donné, nous devenions ignares.
- Texte mentat n°2 (Dune: Chapter House)
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Boh! Les klingons sont déjà différents que dans la saison 2! Leur maquillage alterne entre la blackface et le vulcainface, c'est un peu perturbant..!
Intéressante, cette alliance humano-klingonne! Mais je crois que c'est à peu près tout ce que je retirerais de cet épisode. Je ne sais si c'est parce que je les enchaine depuis ce matin ou si c'est relatif à celui-ci en particulier, mais je l'ai trouvé prévisible et un peu longuet.
Son propos néanmoins sur la haine raciale est important. Non voilà ce que je retiens principalement de cet épisode. Le fait que la guerre ne soit pas l'option principale enseignée chez Starfleet et que la haine ne soit pas le côté vers lequel on doit basculer (le côté Obscur de la Force , toussa toussa!).
J'apprécie le fait qu'on mette quand même en exergue la propension de l'humanité à sombrer dans la haine de l'autre, cela évite l’écueil d'un monde de bisounours et permet au spectateur de faire son propre travail sur-soi. Nier le racisme n'est pas lutter contre lui et j'apprécie qu'on en parle régulièrement (néanmoins, le prochain qui insulte Spock, je le mange).
"Qu'arrive-t-il à l'observateur aux yeux écarquillés, lorsque la fenêtre qui sépare réel et irréel explose et que les morceaux de verre commencent à voler en tous sens?" [Stephen King, Vue imprenable sur jardin secret]
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Cette question rebondira pour le dernier film de l’épisode de l’équipage de TOS.
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Bonjour à toutes et à tous.
C’est le premier message que je poste sur ce forum, après déjà un petit paquet de mois à suivre avec intérêt les innombrables débats qui existent encore actuellement sur cette vénérable franchise qu’est Star Trek. Mais s’il m’est venue l’idée de franchir le pas, c’est suite au revisionnage récent de cet épisode. À mon humble avis, ce dernier résonne plus que jamais avec l’actualité de ces derniers mois. Je précise aussi que je me refais toute la franchise en allemand afin de joindre l’utile à l’agréable, donc je m’excuse d’avance pour les éventuelles imprécisions.
L’idée qui m’a traversé l’esprit en regardant cet épisode est à quel point le conspirationnisme couplé à une défiance à la base est à la source de la haine qui peut corrompre même les moins exposés à priori (les officiers de Starfleet) et les ramener aux bas instincts de violence de l’humanité. Ces histoires de colonie fantôme ou de frère disparu (suggérées par l’entité se nourrissant de la violence et de la haine) ont tôt fait de rendre Chekov violent à un point encore jamais montré dans TOS. Heureusement que le reste de l’équipage de la passerelle parvient à mettre un terme à la spirale infernale avant que l’Enterprise ne devienne une arène où la chasse aux sorcières est généralisée...
Mais au fait, et au vu de l’actualité assez récente, est-ce que cette entité néfaste n’existerait-elle pas pour de vrai (sous une autre forme bien sûr) dans le monde réel, poussant toujours plus d’humains vers une haine destructrice de civilisation ?
10 à mon humble avis.
Dernière modification par leCommunard985 (19-03-2021 01:01:18)
« Réduire les torts et faire le bonheur dans la société. » Telles sont les deux voies parallèles menant (presque) assurément au plus près de l’utopie. Le hic, c’est que ces deux routes ont une fâcheuse tendance à diverger, et il est très facile de se perdre dans les limbes des espoirs déçus, le plus souvent en ne finissant par ne suivre plus aucun de ces chemins...
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