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The Orville 02x10 Blood Of Patriots
Crédits officiels :
- Histoire et dialogues : Seth MacFarlane
- Réalisation : Rebecca Rodriguez
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« Science fiction is the most important literature in the history of the world, because it's the history of ideas, the history of our civilization birthing itself. Science fiction is central to everything we've ever done, and people who make fun of science fiction writers don't know what they're talking about. »
Feu Ray Bradbury
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La série continue sa trame narrative, après le double-épisode précédent, vers la signature d'un traité de paix avec les Krills.
Isaac est assez logiquement relégué au second plan, mais bon, limite comme s’il ne s’est rien passé, s’en ait un peu gênant. J’aurais apprécié un ou deux dialogue abordant le cas Isaac avant de poursuivre la narration, mais bon, rien de grave.
C’est Gordon dont on étoffe ici le personnage à travers son amitié avec Orrin, dans une histoire plutôt bien menée dans l’ensemble.
Les Krills sont par contre traité avec beaucoup de légèreté, et si le gag du gant m’a fait sourire sur le moment, je me dis que cet épisode aurait peut-être dû se passer de ce type de blague dans ce type d’épisode. Mais bon, j’ai souri alors…
Un épisode correct.
« Nous rêvons de voyages à travers l'univers; l'univers n'est-il donc pas en nous? »
(Novalis)
♫ space maybe the final frontier but it's made in a Hollywood basement ♫
(Red Hot Chili Peppers)
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Oui, un épisode plutôt tranquillou, qui avait son sujet mais traité "gentiment". Comme si tout le monde avait eu besoin de souffler (nous y compris ) après le tumulte précédent.
Pas désagréable pour autant, presqu'un signe que désormais la série sait dérouler avec maitrise et sérénité. Mais effectivement, le sujet des krills passe au 2ème plan, ce qui réduit le champ de l'épisode et son ambition. Espérons qu'ils seront traités autrement que comme faire-valoirs dans l'avenir, afin de ne pas abaisser rétroactivement la portée du double épisode précédent. Pour la continuité, on apprend également que Mercer souffre toujours de son manque de confiance qui vire au complexe.
La scène du saut dans l'espace ne mange pas de pain, mais reste d'une efficacité redoutable pour faire passer la sensation de peur et de l'immensité. Elle a finalement été bien plus émotionnelle me concernant que les sauts de proto-Kirk de 2009 et de Burnham dans le pilote de DIS. Gordon n'est qu'un homme, je me suis senti totalement en connexion avec lui à ce moment là. Malgré l'urgence, son habitude et qu'il soit pilote, il marque un temps d'arrêt, un vertige qu'il subit et qui aurait pu lui être fatal.
C'est ironique car la scène du gant m'a également fait sourire, avec le même sentiment de "défaut d'intégration" que Pok, alors qu'en 1ère saison elle serait passée comme dans un c*l de krill . Preuve du virage de la série, que je constate avec un certain spleen, tout en sachant que celui-ci devenait inéluctable pour le bien du show, et que j'ai appelé de mes vœux. Ambivalence...
Correct également.
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7.
Encore un bon épisode.
Effectivement, l'histoire avance.
2 remarques:
-la musique plagie les scores de James Horner, ce n'est pas pour me déplaire, mais là c'est un peu forcé.
-Les blagues de l'épisode, si elles sont drôles, contrebalancent un peu le sérieux du propos. (oui, le gant...bon… très drôle mais inutile. après le scato c'est très Ricain).
pour le reste c'est toujours très trekkien et adulte. Constant et ça c'est du positif.
L'être humain a deux vies. La seconde commence quand il se rend compte qu'il n'en n'a qu'une...
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