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The Orville 02x09 Identity, Part 2
Crédits officiels :
- Histoire et dialogues : Seth MacFarlane, Brannon Braga
- Réalisation : Jon Cassar
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« Science fiction is the most important literature in the history of the world, because it's the history of ideas, the history of our civilization birthing itself. Science fiction is central to everything we've ever done, and people who make fun of science fiction writers don't know what they're talking about. »
Feu Ray Bradbury
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Frustrant tout cela, de part le fait que tout est très balisé (particulièrement concernant Isaac) et j'ai un peu le sentiment d'un "tout ça pour ça" en ce qui concerne les Kaylons. L'impression qu'ils sont sacrifiés dans le sens ou ils servent avant tout d'outils pour poser les fondations d'un rapprochement entre l'Union et les Krills. Développement intéressant en soit, mais les Kaylons avaient le potentiel d'amener des réflexions en terme de SF autrement plus excitantes. En l'état en faire un mixte entre des Cylons pour le background d'une race de serviteur mécanique réduit en esclavage qui s'est rebellée et à exterminée ses créateurs et des Daleks pour le côté "on va détruire tout ceux qui ne sont pas comme nous" je trouve ça assez bof. Même si bien sur, à l'avenir on peut imaginer que les scénaristes partent dans une autre direction, je suis disposé à leur laisser le bénéfice du doute.
Malgré ces quelques réserves, en terme de spectacle, l'ensemble était très satisfaisant, avec une bataille spatiale très impressionnante et des touches d'humours qui font mouches (Gordon dans le chasseur Krill ).
C'était un épisode correct, mais j'avais d'autres attentes, clairement.
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Non pour moi les Kaylons sont sacrifiés avant tout pour le développement personnel d'Isaac (et encore, pas vraiment sacrifiés vu qu'ils ne représentaient rien pour l'instant). C'est son background personnel qui s'est gravement upgradé. Le titre de ce double épisode en donne l'ambition.
Il avait été jusqu'à présent une simple sonde imprégnée malgré elle par son sujet d'étude, il peut dorénavant être utilisé de biens des manières, pour lui, et pour ses compagnons, avec autant de développements possibles. Pas comme un être sensible, mais comme une redéfinition d'un être artificiel. Se comprendre lui même sera son chemin de croix, et celui de l'équipage également. D'un faux Data-like sans quête personnelle, il tire vers une espèce de Seven et son déracinement, tout en représentant une typo réellement nouvelle.
L'objectif n'est pas de dépasser sa programmation (c'est un non sens pour une vraie IA), ni de devenir humain, mais se définir sans bénéficier d'aucun modèle. Un objectif plausible et crédible d'IA, en plus d'une thématique éminemment actuelle.
La dernière scène superbe où il tente par imagination de distinguer sa planète en sachant que vu la distance c'est illusoire, tout en subissant l'autre distance qu'il a à parcourir pour regagner la confiance des humains par l'entremise du Doc, montre la dimension dramatiquement poétique de sa nouvelle condition.
L'écriture des prochains épisodes va être compliquée et devra jouer dans la finesse... d'ailleurs je me demande s'il y'a encore une place pour l'humour avec ce perso ?
Et puis cette histoire permet un regard nouveau sur sa typo de saison 1, tout pour relancer l'intérêt d'un futur revisionnage s'il en était besoin
Enfin, l'épisode nous lègue un autre potentiel bien trekkien sur le rapport avec les krill.
Ça fait pas déjà beaucoup tout ça ? Alors, que demander de plus ?
Niveau mécanique de conclusion du twist, c'est vrai c'est resté bien dans les clous, mais justement, on n'est pas dans la surenchère du twist pour le twist, l'action auto justifiante, même si on se permet au passage le luxe de prouver qu'on en a les capacités si besoin. La bataille spatiale est bluffante de qualité et de lisibilité !
Nan mais The Orville ne joue pas uniquement dans cette petite cours de facilités twistesque et tant mieux. Ici l'avancée de l'intrigue et la suite des scènes (moments d'action et de bravoure compris) servent avant tout le propos et une ambition qui magnifient l'ensemble.
Pour finir, le tout reste doucement enchâssé dans une patte "mode fable utopiste" qui sied tant à la franchise depuis ses tout débuts (pas seulement Bermanien), comme une marque de fabrique intangible.
Top franchise et labellisé 100% Star Trek.
10/10
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Plutôt d'accord en ce qui concerne Isaac.
Surtout que perso j'ai été assez déçu de ce qu'ils ont fait du personnage au cours du début de cette saison 2, le fait que ce double épisode le lance sur une nouvelle trajectoire est un point très positif. Je regrette quand même fortement que ça se fasse au détriment des Kaylons. On tue le potentiel d'une civilisation qui était extrêmement prometteuse (du moins à ce stade de la série) au bénéfice d'un seul individu. Je pense qu'il y avait moyen de faire autrement (à cause de cela, je ressens pas tout à fait cette ambition dont tu parles; du moins pour le moment).
Même chose pour le reste de l'intrigue à proprement parler, entre d'un côté l'enchainement de twists gratuits et de l'autre un récit cousu de fil blanc , il y avait un juste millieu à trouver... Après j'ai bien conscience qu'on parle d'attentes personnelles, pour l'essentiel, et je peux pas vraiment en vouloir à Braga/MacFarlane ne pas écrire spécifiquement pour moi. C'est un double épisode solide, j'espère que le reste de la saison (et soyons fous, au-delà) me permettra de le revoir à la hausse.
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Après une Part 1 excellente (et brutale dans sa révélation), la conclusion s’en tire, au final, pas trop mal. Un tel bouleversement dans la première partie ne pouvait-être aussi radical qu'annoncé et il paraissait évident que la série ne pourrait se passer d’Isaac. Tout était en place depuis quelques épisodes pour nous souffler ce qui l'amènerait à "revenir à la raison". Malgré tout, pour moi les ficelles sont un peu grosses et je ne m’explique pas le retournement d’Isaac face à Ty (je sais, j’ai un coeur de pierre...)
Soit il fait ici preuve, effectivement, de compassion, ce qui est pourtant "impossible pour un Kaylon", soit il agit ainsi pour que ces "programmes internes fonctionnent mieux", ce qui nous arrange bien, certes, mais reste un deus ex machina pour moi. L'épisode appuie bien sur le fait qu'il a été fabriqué après la disparition des créateurs, mais c'est un peu court.
M'enfin, nous ne savons pas grand-chose des Kaylons, de leur société, leur mode de fonctionnement. La porte ne me semble pas du tout fermée (elle vient même juste de s'ouvrir) et nous les reverrons évidemment. Ce sera j’espère l’occasion d’éclaircir tout cela.
Je passe sur les accès aux tunnels du vaisseau étonnamment (et opportunément) trop petits pour un adulte (n’est pas Matt Jefferies qui veut).
L’épisode nous offre tout de même une bataille spatiale très chouette, quoi qu’assez classique dans sa structure (Aha la la, la flotte Kaylon est bien supérieurs à nous! Ah la la, l’Union se fait écrasée, nous ne résisteront pas longtemps! Ah la la, des vaisseaux Kaylons se dirigent vers la Terre, nous ne pourront pas les arrêter! Ah la la, des vaisseaux Krill nous viennent en aide au moment le plus dramatique! Ah la la, les derniers Kaylons fuient, nous sommes sauvés in-extrémistes!). Mais bon, c'était sympa à regarder, même si visuellement j'ai préféré l'arrivée de l'Orville sur Kaylon de la première partie.
La vrai bonne surprise de cet épisode pour moi est l’entrée en jeu (et le retour) des Krills et l’apaisement (au moins temporairement) avec l’Union. Une occasion, peut-être, d’explorer des questions de croyance à travers cette civilisation un peu mono-typique jusqu’ici.
Ça fait plaisir de voir la série remuer un peu son univers. Elle gagne ici clairement en densité et en drama.
Dernière modification par Pok (04-03-2019 05:11:34)
« Nous rêvons de voyages à travers l'univers; l'univers n'est-il donc pas en nous? »
(Novalis)
♫ space maybe the final frontier but it's made in a Hollywood basement ♫
(Red Hot Chili Peppers)
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Soit il fait ici preuve, effectivement, de compassion, ce qui est pourtant "impossible pour un Kaylon", soit il agit ainsi pour que ces "programmes internes fonctionnent mieux", ce qui nous arrange bien, certes, mais reste un deus ex machina pour moi. L'épisode appuie bien sur le fait qu'il a été fabriqué après la disparition des créateurs, mais c'est un peu court.
Avec Braga à la manette, ils ne feront peut-être pas le choix (l'erreur ?) de ta 1ère proposition (la compassion). Je ne suis pas sûr de moi car le discours de Primary va dans ce sens, à insister lourdement à comprendre les raisons d'Isaac dans ses actions (scène du sas par exemple). On sent presque la peur de la contamination de propriétés biologiques. Les kaylons ont été présentés dès le départ comme racistes. On en connait maintenant la cause.
A mon sens, il faudra plutôt expliquer cette "compassion" par un processus en adéquation avec la nature artificielle d'Isaac, non issu d'une évolution que l'Orville aura provoquée. La "compassion" resterait un sentiment que nous projetterions sur lui. J'adorerais que la justification (s'il y'en a une objective décrite par le show) embrasse les dernières spéculations au sujet des IA...
Ou alors on reste entre 2 eaux, comme ST l'a toujours fait jusqu'ici, on ne rentre pas dans les derniers détails afin d'éviter de franchir le rubicon de la création objective de la vie par un être biologique.
Pour aller plus loin, je pense que la raison invoquée des "programmes internes qui fonctionnent mieux" est loin d'être triviale, elle ouvre au contraire pour The Orville un nouveau champ. Au travers de cette justification informatique, par translation ne serait-ce pas une définition correcte également pour nous ? De proche en proche, on retournerait le schéma anthropomorphique, en ce sens que ce ne serait pas nous que nous projetterions en lui, mais lui en nous. Ainsi, on n'interroge plus l'autre mais nous-même. Quand c'est bien fait, pour moi c'est la meilleure SF qui soit.
Isaac a une particularité qui serait extra à creuser par rapport à Data ou le HMU : c'est un être artificiel non fabriqué par des humains, mais par une civilisation jamais entrée en contact avec nous, et qui restera probablement toujours une inconnue. Isaac pourrait ainsi interroger également certains de nos caractères que nous avons tendance à considérer universels. Ce personnage a vraiment un potentiel de fou.
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Avec Braga à la manette, ils ne feront peut-être pas le choix (l'erreur ?) de ta 1ère proposition (la compassion). Je ne suis pas sûr de moi car le discours de Primary va dans ce sens, à insister lourdement à comprendre les raisons d'Isaac dans ses actions (scène du sas par exemple). On sent presque la peur de la contamination de propriétés biologiques. Les kaylons ont été présentés dès le départ comme racistes. On en connait maintenant la cause.
J’ai justement perçu cette scène (et la discussion avec Primary ensuite, puis face à Ty) comme une manière de nous démontrer que la volonté d’Isaac à épargner des vies humaines, même si elle peut sembler (à nos yeux) compassionnelle, est en fait toujours la réponse à un processus de réflexion logique issue de ses études du comportement des formes de vie biologique (inutile de tuer le membre d’équipage car Ed à déjà compris la leçon; Qui plus est, éliminer un humain risque d’attiser les envies de rébellion des autres; Enfin à quoi bon éliminer l’enfant puisqu’il n’a pas envoyer de message).
Et puis soudain, lorsqu’il s’agit de tirer lui-même sur Ty, impossible. Et il fait même le choix d’éliminer Primary (dont je pensais qu’il avait vu le coup venir, mais en fait non) et de sauver l’humanité. Un geste désespéré, romantique? Est-il arrivé à la conclusion qu'un nouveau génocide n'est nullement justifié? J'aime beaucoup le personnage et j'ai parfois l'impression qu'Isaac n'avance que dans son propre intérêt, mais il me manque des éléments de réponse pour ne pas considérer, jusqu'ici, ce retournement comme une facilité scénaristique.
Pour aller plus loin, je pense que la raison invoquée des "programmes internes qui fonctionnent mieux" est loin d'être triviale, elle ouvre au contraire pour The Orville un nouveau champ. Au travers de cette justification informatique, par translation ne serait-ce pas une définition correcte également pour nous ? De proche en proche, on retournerait le schéma anthropomorphique, en ce sens que ce ne serait pas nous que nous projetterions en lui, mais lui en nous. Ainsi, on n'interroge plus l'autre mais nous-même. Quand c'est bien fait, pour moi c'est la meilleure SF qui soit.
A mes yeux cette justification, donnée à Claire, était tout à fait acceptable face à elle et à l’enjeu du moment. Je l’avais reçu également comme vous et correspond assez avec ma vision personnelle; Que ce que l’on nomme émotions, sentiments, ou même raison ou conscience, tiennent en partie d’une illusion que l’on se fait de nous-même, de ce qui nous entoure; Que l'on peut voir ça comme une forme de programmation (par l’expérience), d’imprégnation, et que ces processus nous gouvernent bien plus qu'on ne le pense. Mais bref, je ne vais pas partir là-dessus maintenant! Très allégorique sur le fonctionnement des sentiments humains, elle ne fonctionne pas pour moi ici. En l’occurrence, c’est la trahison de sa propre civilisation qui est en balance. Et il ne le fait pas (à priori) parce que les Kaylons projettent d’éliminer toute vie biologique, mais pour sauver Ty!
Dans TOS aucun ordinateur n’aurait pu gérer un tel dilemme et aurait grillé sur le champs ou se serait désactivé lui-même (ce que fait Isaac d’ailleurs...)!
Isaac a une particularité qui serait extra à creuser par rapport à Data ou le HMU : c'est un être artificiel non fabriqué par des humains, mais par une civilisation jamais entrée en contact avec nous, et qui restera probablement toujours une inconnue. Isaac pourrait ainsi interroger également certains de nos caractères que nous avons tendance à considérer universels. Ce personnage a vraiment un potentiel de fou.
C’est aussi, de ce qu’on en a vu jusqu’ici, le seul à arborer une lueur bleue, là où tous les autres Kaylons ont les voyants rouge. Hormis le coté pratique visuellement pour le spectateur, cela a t’il un sens? Est-il le seul à arborer du bleu? Est-ce spécifique à ceux qui ont été fabriqués après la disparition totale des créateurs. Combien sont-ils à avoir été fabriqué après l'élimination des créateurs? N’ont-ils aucun réseau de communication? On peut semble t’il éliminer une unité sans que les autres n’en soient informés. J'espère que nous aurons des réponses à tout ça dans les épisodes à venir.
Le face à face entre les Krills, adorateur de leur créateur, et les Kaylons, ayant éliminés les leurs, pourrait s’avérer également très intéressant.
Et bien! Je n’aurais jamais imaginé discuter de ce type de chose dans The Orville quand j’ai commencé à la regarder!
Dernière modification par Pok (04-03-2019 22:11:24)
« Nous rêvons de voyages à travers l'univers; l'univers n'est-il donc pas en nous? »
(Novalis)
♫ space maybe the final frontier but it's made in a Hollywood basement ♫
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J'aime beaucoup le personnage et j'ai parfois l'impression qu'Isaac n'avance que dans son propre intérêt, mais il me manque des éléments de réponse pour ne pas considérer, jusqu'ici, ce retournement comme une facilité scénaristique.
Eh bien moi je fais un acte de foi
The Orville m'a suffisamment prouvé qu'en terme de qualité d'écriture, ils savent où ils vont, pourquoi et comment. Pour l'instant je choisis de me retrouver au même endroit qu'Isaac lorsqu'il regarde au travers du hublot : il n'en sait rien et dorénavant sa quête sera de comprendre son Identity. Je te propose humblement de suspendre ton jugement de facilité scénaristique, c'est pour moi tout le sens de la dernière scène et la conclusion savoureuse de ce double épisode concernant le personnage.
Et bien! Je n’aurais jamais imaginé discuter de ce type de chose dans The Orville quand j’ai commencé à la regarder!
Tout pareil ! Et c'en est même fou qu'en ces temps qui courent sur la franchise on puisse avoir ce type de plaisir. The Orville est un ovni.
Alors quand on fait le bilan d'Identity, que nous lègue t'il ?
une quête super SF d'identité pour Isaac à multiple dimensions (quête personnelle, projection, etc)
un jeu d'interactions relationnelles à rebâtir sur de la pesanteur et un véritable acquis (l'équipage, les momes, le Doc, l'Union, et toutes ses relations)
une redistribution des cartes "stratégiques" que personne n'avait vu venir (Union/Krill/Kaylons) et comme tu le dis avec notamment une symétrie très porteuse (Krill/Kaylons)
Alors c'est vrai que dans un certain sens, ce 2ème épisode déroule tranquillement les scènes et on n'est pas vraiment surpris de la mécanique (comme cette bataille spatiale, ou le fait qu'Isaac se retourne contre son "peuple", etc). Mais toute la saveur peut aussi naitre de l'inéluctabilité qui ouvre toutes ces portes pour un futur si excitant.
Et puis, si je voulais être malicieux, je dirais que ce retournement de situation (Krill/Kaylon) est rétroactivement totalement crédible et logique. C'est ça qui est très fort. Je me demande presque comment j'ai pu passer au travers. Pour le fun je me suis repassé la scène de présentation d'Isaac à Mercer du 1er épisode. Comme cela sonne juste quand on connait la suite 19 épisodes plus tard ! Et en face, on a une autre série totalement bâtie sur des twists tous + convenus et idiots les uns que les autres. Autrement dit, c'est celle qui en tente le moins qui en réussi le +
Tant mieux que les Krills soient arrivés comme convenu pile poil au bon moment, tant mieux de ne pas rajouter un autre élément de surprise superficiel quand Primary demande à Isaac de tirer sur Ty. C'était inéluctable, comme ma note de 10/10.
Un vrai acte de foi
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Je te propose humblement de suspendre ton jugement de facilité scénaristique, c'est pour moi tout le sens de la dernière scène et la conclusion savoureuse de ce double épisode concernant le personnage.
Aucun souci là-dessus. J’estime d'ailleurs qu’il n’est pas nécessairement mauvais pour les scénaristes de laisser quelques idées en friche, sur lesquelles ils reviendront plus tard. Il n’y a ici pour moi aucune incohérence, juste un déficit de justification, qui peut très bien intervenir plus tard, et ici les explications potentielles ne manquent pas. Peut-être ont-ils déjà tout en tête et entretiennent le mystère. Tout est ouvert à propos des Kaylons.
The Orville conserve tout mon intérêt et ma bienveillance, je te rassure!
Dernière modification par Pok (05-03-2019 17:22:31)
« Nous rêvons de voyages à travers l'univers; l'univers n'est-il donc pas en nous? »
(Novalis)
♫ space maybe the final frontier but it's made in a Hollywood basement ♫
(Red Hot Chili Peppers)
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Encore un 10.
Même si moins puissant et plus balisé que la première partie.
Isaac est-il un personnage trekkien? Oh que oui.
Cette série est-elle digne de ses grandes sœurs ? Encore oui.
Car oui, ST ce n'est pas une marque, ni un nom. C'est un état d'esprit. Il ne suffit pas d'y coller un personnage avec des oreilles pointues et un vaisseau avec le même nom que celui de la série mère pour se revendiquer de faire partie de son univers. Il faut aussi en avoir l'âme. Et "the Orville" vient de le prouver d'une fort belle façon.
Bravo.
L'être humain a deux vies. La seconde commence quand il se rend compte qu'il n'en n'a qu'une...
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Très sympa la bataille spatiale. Et le meurtre par éjection dans le vide
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Plein de qualités et de perspectives ouvertes par ce double épisode, mais au final je suis un peu déçu que les Kaylons reprennent simplement le rôle des Borgs (mais en faisant moins peur), avec leur volonté commune d'éradiquer les formes de vie biologiques (même si pour des raisons différentes).
Dernière modification par pehache (16-07-2021 00:17:35)
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