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The Orville 01x10 Firestorm
Crédits officiels :
- Histoire et dialogues :
- Réalisation : Jon Cassar
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« Science fiction is the most important literature in the history of the world, because it's the history of ideas, the history of our civilization birthing itself. Science fiction is central to everything we've ever done, and people who make fun of science fiction writers don't know what they're talking about. »
Feu Ray Bradbury
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Hey bien, c'était excellent !
Intéressant de s'attarder sur le personnage d'Alara et plus particulièrement sur sa condition, à savoir sa supériorité physique par rapport à ses camarades. Jusque ici ce fut avant tout exploité dans un cadre plus ou moins comique, mais là l'épisode explore l'impact qu'un traumatisme psychologique peut avoir chez une personne qui profite d'un tel avantage. Le traitement était très juste, bien plus que ce que DIscovery a pu faire avec Saru (désolé pour la comparaison, mais je trouve le parallèle intéressant). D'autant que ça s'inscrit dans un dérivé du classique "holodeck en folie" là aussi très intéressant, qui ne donne pas du tout l'impression d'avoir affaire à un remake. Il y a une drole de légitimité qui se dégage de l'épisode. Faut dire qu'il est particulièrement bien emballé. Tendu, stressant et rythmé comme un épisode de "24" (le réalisateur n'y est sans doute pas pour rien). On a même droit à quelques (petits) frissons horrifiques bien sympatiques, accompagnés d'excellents SFX (là aussi, désolé pour la comparaison mais à coté, Discovery sur la forme fait de la peine).
L'épisode parfait pour se convaincre (si c'était encore nécessaire) que The Orville n'est définitivement pas une parodie de Star trek, mais bien un étrange spin-off officieux et qui ne cesse de s'améliorer.
Dernière modification par scorpius (20-11-2017 16:06:13)
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J'ai mis 9.
(Etant donné que j'avais un peu sous noté le précédent, j'ai été plus large avec celui-ci).
Même si l'on se doute qu'Alara n'est pas dans la réalité, cet épisode développe qualitativement le personnage et les nombreux clins d'œil trekkien (d'acteurs connus à la musique) sont appréciables.
L'équilibre humour, suspense, histoire, écriture...est parfaitement dosé. La série devient mature et prend vraiment une direction agréable et de qualité.
Quel dommage qu'elle ne puisse se revendiquer du prime univers...
L'être humain a deux vies. La seconde commence quand il se rend compte qu'il n'en n'a qu'une...
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J'ai mis 9.
Quel dommage qu'elle ne puisse se revendiquer du prime univers...
...quand je lis ça!!!!... Tellement nostalgique du ST bermanien qu'on encense une parodie qui plébiscite la stagnation éternelle d'une certaine idée de Star Trek. Vouloir que la franchise revienne à ce qui se faisait il y a 30 ans c'est selon moi tout le contraire de l'esprit trekien. Mais bon je suis largement minoritaire ici. Pour la plupart des membres cette série est le Star Trek que vous vouliez pour Discovery. Un Star Trek qui fait du surplace en somme...
On peut rire de tout, mais pas avec tout le monde. (Desproges)
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The Orville ne fait pas du surplace.
S'il y a un effet nostalgique, il peut se comprendre par le viol de Discovery envers le reste de la franchise, et surtout parce que l'on attendait de ST un renouveau, du neuf vraiment; pas un "surf" sur ce qui se fait à la TV actuelle.
ST a toujours été en avance sur son temps. Chaque opus (on peut discuter d'ENT certes).
Alors si The Orville est dans le passé, Discovery ne fait pas bien mieux en n'étant pas vers le futur...mais juste une adaptation de ce qui se voit déjà depuis quelques années sur les écrans. Il n'y a pas le choc comme pour TOS, TNG ou DS9.
Il faut surtout voir que Orville a une qualité d'écriture et un équilibre dans son domaine que n'a pas le pastiche officiel. Il est clair que si McFarlane écrivait pour de l'officiel les critiques seraient plus sévères, mais là, ce qu'il fait est non seulement équilibré, mais bien aussi bien écrit...et ce dès le 3ième épisode.
Alors que l'on essaie de trouver toutes les ficelles les plus grossières ou circonstances atténuantes à DIS pour arriver à accepter tout ce qui se passe dedans depuis septembre...
L'être humain a deux vies. La seconde commence quand il se rend compte qu'il n'en n'a qu'une...
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Oui mais c'est tellement facile de faire du TNG. On ne se foule pas ni sur la forme ni sur le fond : C'est une copie et un prolongement de TNG dans son visuel, ses thèmes et sa structure. Moi je ne veux pas voir la photocopie d'une série qui a 30 ans avec de l'humour bas de gamme en bonus. The Orville est une fan-série a gros budget, ni plus ni moins. Et ça ne me convient pas.
On peut rire de tout, mais pas avec tout le monde. (Desproges)
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The Orville est pour moi une bonne série d’entrée dans la SF.
Les plus jeunes ne verront pas les « emprunts ». Et elle permet de se poser des questions, de s’interroger sur ce que l’on peut prendre pour des évidences.
Et quelque part, c’est une série ayant de vrais auteurs, avec une vision.
The Orville montre qu’il y a la place pour faire une série positive, non niaise et amenant des questionnements.
Hélas elle n’a pas une forme permettant de le faire de façon ambitieuse.
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Évidemment qu'on peut faire une série intelligente. Mais The Orville n'invente rien et c'est bien mon souci: C'est du sous TNG visuellement et narrativement. Et ca a 30 ans de retard! Le fond peut etre intéressant mais moi je vois cette série comme une photocopie légère de TNG.
On peut rire de tout, mais pas avec tout le monde. (Desproges)
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Peut être parce que j'en consomme pas mal, ce que je recherche avant tout c'est de la bonne télévision. Je ne critique pas Discovery parce que la série est différente du Star trek Bermanien (je n'ai rien contre et en tant que Whovien, j'estime être assez ouvert d'esprit pour accepter les inévitables évolutions d'une franchise qui a plus de 50 ans). Le souci avec Discovery ce n'est pas qu'elle est différente, mais bien qu'elle est médiocre. Son écriture est digne d'une série Bad Robot et pas les meilleures...
Pour en revenir à "The Orville", oui, il y a des emprunts plus qu'évidents au Star trek Bermanien, mais TNG, même 30 ans après ça reste de la très bonne télévision, qui n'a rien à envier à pas mal de séries modernes (bien au contraire). Surtout que la série a le temps de grandir, qu'elle en montre déjà des signes évidents (l'épisode du topic en est un bon exemple). Discovery "n'invente" pas plus que The Orville, en fait elle emprunte tout autant. A Alias/lost/Fringe pour sa construction narrative à base de soap/mystères et faux-semblant. Ou encore à BSG et GoT pour son traitement visuel, sauf que ces emprunts sont faits avec beaucoup moins de talents que du coté de MacFarlane.
Il n'y a qu'à voir Tyler, je serai aussi heureux que soulagé de me tromper à son sujet mais la direction ou il va, elle semble évidente. Le "mystère" sur sa captivité/son identité est éventé au bout de 2 épisodes. En comparaison, Peter dans Fringe, si ça devient évident à la fin de la première saison, son "mystère" était traité avec bien plus de subtilité. Tu peux revenir vers les premiers épisodes et soudain une ligne de dialogue en apparence anodine va prendre une toute autre signification, par exemple. Et pourtant j'ai beau avoir une véritable affection pour la série, Fringe, ce n'est pas de la grande télévision.
Tout ça pour dire que The Orville, si les premiers épisodes sont un peu rudes, elle digère bien mieux ses influences que Discovery.
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7/10
Bon épisode non pas sur le holodeck en folie trop souvent utilisé mais sur le holodeck terrain d entrainement pour affronter ses peurs et ses démons. Je trouve juste étrange que les officiers supérieurs << projettent >> sur Alara leurs propres peurs alors qu ils auraient pu lui concocter un programme axé que sur ses craintes propres... Pour le coup je trouve cela moyennement crédible... Vos peurs ne sont pas forcément celles des autres ; cependant je peux comprendre la démarche : Alara, comme chef de la sécurité, sera déjà préparée pour les affronter si la situation se présente.
Toujours un plaisir de voir Robert Picardo en guest... même pour quelques minutes...
Pour la plupart des membres cette série est le Star Trek que vous vouliez pour Discovery.
Oui et je l ai déjà fait remarquer dès les premiers épisodes de Orville... C est clair que pour beaucoup ici c est un fantasme et désir latent mais qui n aura jamais plus lieu car le temps , les modes et les demandes des consommateurs ont bien changés... Faites vous une raison les gars
Dernière modification par KIRK (30-11-2017 21:07:22)
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Ça a changé mais The Orville rencontre le succès.
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Ça a changé mais The Orville rencontre le succès.
Et alors ? cela ne veut strictement rien dire ; les gens peuvent aussi voir en Orville une série SF à part entière avec des références, certes marquées envers ST, sans pour autant l assimiler à l univers trekkien...
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Nan mais cela veut simplement dire qu'on pourrait (aurait pu ?) être en train de vivre un âge d'or pour ST.
2 séries en même temps, une comme un prolongement du ST "historique" dans sa forme et son fond (donc avec des ambitions moindres) et une autre tournée vers l'avenir en ouvrant de nouveaux horizons à ST, avec le budget en face.
On a le droit d'avoir des attentes multiples, que ces 2 séries auraient comblées.
Le problème de Discovery par rapport à cela c'est quoi son ambition ? Qu'offre t'elle en terme de débouché novateur ? Son choix dans le placement chronologique en donne déjà la réponse en réduisant pas mal la voilure. Coincée comme elle est on connait déjà le début et la fin en quelque sorte.
C'est d'ailleurs ironique qu'elle se passe avant The Orville, alors que dans cette conversation on est en train de dire que The Orville c'est pour les nostalgiques. Mais Discovery c'est encore pire de ce point de vue, elle en est encore accrochée à ses références d'épisodes écrits dans les années 60, coincée entre The Cage (1964/2254) et Where no man (1965/2265) !!
Je trouve que Discovery est une erreur d'intégration. Et pour l'instant sur ses épisodes, forcé de constater que les sujets traités restent effectivement très faiblards en terme de fond.
Donc on ne peut décemment pas reprocher à The Orville son soi-disant manque d'ambition sans le faire à Discovery également. Sauf que Discovery n'a pas l'excuse du budget ni celle des contraintes contractuelles.
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Pas encore vu The Orville, mais il est déjà calé sur mon agenda. Une telle série , je préfère la voir en intégrale plutôt que d'attendre épisode par épisode.
Seth Mc Farlane menait les débats durant les rétrospectives Blu ray TNG . Sa table ronde autour des auteurs/scénaristes montraient qu'il connaissait ST comme il pouvait être le showrunner de la série.
matou a écrit :Ça a changé mais The Orville rencontre le succès.
Et alors ? cela ne veut strictement rien dire ; les gens peuvent aussi voir en Orville une série SF à part entière avec des références, certes marquées envers ST, sans pour autant l assimiler à l univers trekkien...
Ecoutez.. Dés qu'on pense SF & Space opéra.. On ne peux pas échapper à Star Trek comme Star Trek ne peut pas échapper à Planète Interdite.
De grand monuments de TV SF comme Babylon V & Battlestar Galactica 2003 sont des Star Trek ( into darkness ) déguisés.
Ce sont des visions d'auteur nourrit par la culture Star Trek.. JMS , RDM sont des auteurs & Seth Mc Farlane en est un aussi. Le reproche qu'on fait à The Orville est le meilleur des gages de qualité.. Il donne sa vision personnelle de Star Trek.. Ce qu'en tant qu'être humain & artiste cela lui inspire.
Discovery ? Il n'y a rien .. Pas d'auteurs ( il s'est barré comme un mal propre ) , pas de visions personnelless .. Désolé , c'est juste une formule pompé à la va vite sur la vision d' Abrams..
Nan mais cela veut simplement dire qu'on pourrait (aurait pu ?) être en train de vivre un âge d'or pour ST.
2 séries en même temps, une comme un prolongement du ST "historique"
Stop la machine !
L'âge d'or est derrière nous.. Nous ne pouvons pas revivre l' ére Rick Berman : 2 séries de 7 saisons à 24 épisodes + 1 film.
A titre personnel , le refaire m'ennuierai profondément.. Il n'y a pas que ST dans la vie après tout..
Mais il n'était pas interdit de concentrer cet âge d'or dans une seule & même série de 15 épisode, & Mbuna a un début de réponse :
dans sa forme et son fond (donc avec des ambitions moindres) et une autre tournée vers l'avenir en ouvrant de nouveaux horizons à ST, avec le budget en face.
On combines Discovery & The Orville & on obtient ce que tout le monde souhaite ( allez avouons le):
La série ST sur le XXVème siècle. Star Trek est mûr pour ça.. Allez de l'avant ( prendre en compte notre présent & à partir de là, spéculer sur notre futur ) sans pour cela renier son héritage ( son état d'esprit positif & visionnaire ).
..& Sur ce coup Seth Mc Farlane serait plus dans le vrai que Fuller & Kurtzman.. Cette série du XXVème siécle serait plus dans la mouvance de TNG , car ici sont à creuser & travaillé les meilleurs idées.
TOS , & je en parle en tant que fan absolu de cette série.. Rien de nouveau ne peut être créer, tout est déjà dit.. Ce n'est que de la nostalgie , un monument de la pop culture malléable à souhait.
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mbuna a écrit :Nan mais cela veut simplement dire qu'on pourrait (aurait pu ?) être en train de vivre un âge d'or pour ST.
2 séries en même temps, une comme un prolongement du ST "historique"Stop la machine !
L'âge d'or est derrière nous.. Nous ne pouvons pas revivre l' ére Rick Berman : 2 séries de 7 saisons à 24 épisodes + 1 film.
A titre personnel , le refaire m'ennuierai profondément.. Il n'y a pas que ST dans la vie après tout..
1 série officielle + plusieurs séries underground dont au moins une vient vraiment la titiller au point où nombre d'entre les trekkers la voient supérieure + des films en cours sur un Univers rebooté.
Quantitativement on y est presque. Une personne qui apprécierait toutes ces productions actuelles vit un vrai âge d'or.
C'est tout de même miraculeux cette quantité de production, 50 ans après TOS et 20 ans après l'apogée Berman. Il y'a encore moins de 5 ans on avait juste quoi à l'horizon ? Un ST Kelvin + des productions de fans sous forme d’ersatz à l'intérêt et à l'avenir douteux.
Cette période est même surement plus intéressante conceptuellement en explosant le circuit créatif, être nostalgique au point de voir une espèce d'extension TNG + ambitionner un ST officiel repoussant ses limites en donnant de nouveaux horizons, que demander de plus franchement ?
Le problème, c'est juste Discovery qui ne remplit pas sa part du contrat.
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100% en phase avec Scorpius.
The Orville n'est plus pas une parodie ni un pastiche, cet épisode enterre totalement cette vision là. Mais l'a t'elle jamais été ? Une seconde vision s'imposera très rapidement pour y répondre, avec un œil plus averti. J'avoue, pour l'instant je cultive juste un plaisir naïf, cette série m'étant tombé dessus récemment sans que j'aie été au courant de l'histoire de son écriture et l'intention de ses auteurs.
L'épisode marque d'ailleurs une belle évolution dans la saison. Très peu d'humour (voir pas du tout ??), pour la 1ère fois on se concentre exclusivement sur l'un des protagonistes principaux...signe qu'on commence à se prendre véritablement au sérieux ?
Et tout est fait ici pour s'inscrire dans la continuité trekkienne, avec l'esprit Bermanien. Alors c'est bien ou pas ? On est un vieux con passéiste si on y prend du plaisir ? The Orville y répond par sa qualité, sa spécificité et ses valeurs ajoutées.
Et pour reprendre un peu la conversation plus haut, il ne s'agit même plus de la comparer à sa contemporaine Discovery, c'est du hors sujet me concernant. Discovery est un supplice, qu'on considère cette série trekkienne ou pas elle y répond également par sa "qualité". La dictature du jeunisme, de la mode et de ses diktats s'arrête à leur propre seuil de compétence.
Et puis cette vision du holodeck, j'adore !
8/10
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1 série officielle + plusieurs séries underground dont au moins une vient vraiment la titiller au point où nombre d'entre les trekkers la voit supérieure + des films en cours sur un Univers rebooté.
Quantitativement on y est presque. Une personne qui apprécierait toutes ces productions actuelles vit un vrai âge d'or.C'est tout de même miraculeux cette quantité de production, 50 ans après TOS et 20 ans après l'apogée Berman. Il y'a encore moins de 5 ans on avait juste quoi à l'horizon ? Un ST Kelvin + des productions de fans sous forme d’ersatz à l'intérêt et à l'avenir douteux.
Cette période est même surement plus intéressante conceptuellement en explosant le circuit créatif, être nostalgique au point de voir une espèce d'extension TNG + ambitionner un ST officiel repoussant ses limites en donnant de nouveaux horizons, que demander de plus franchement ?
Le problème, c'est juste Discovery qui ne remplit pas sa part du contrat.
Sur le papier, c'est à dire dans la théorie, tu as raison Mbuna.
Tant qu'à faire, on pourrait même se risquer à désigner l'ère des adaptations post-2006 de période hellénistique de ST (qui fut dans l'antiquité très riche) par opposition à la période hellénique de ST entre 1964 et 2005 (historiquement séminale).
Mais dans la pratique, c'est nettement moins convaincant.
Alors peut-être que je ne vois que le verre à moité vide au lieu de le voir à moitié plein, mais ce qui caractérise l'explosion proto-comiscienne des productions actuelles, c'est qu'il n'y en a jamais eu autant qui se réclament de Star Trek (des dizaines) et qu'il n'y en a jamais eu aussi peu à être de vrais Star Trek (zéro en fait) !
Qu'il s'agisse #1 des fanprods qui n'ont jamais été aussi nombreuses, #2 de la fausse parodie & ST officieux qu'est The Orville, #3 du reset hypocrite & ST trahi qu'est Discovery, #4 de la vraie parodie et blockbuster décervelé qu'est Kelvin, et #5 de tous les projets persos des cadors d'Hollywood (façon "Star Trek by")... nous sommes surtout entrés dans l'ère des contrefaçons décomplexées, élevées au rang de système.
« Science fiction is the most important literature in the history of the world, because it's the history of ideas, the history of our civilization birthing itself. Science fiction is central to everything we've ever done, and people who make fun of science fiction writers don't know what they're talking about. »
Feu Ray Bradbury
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J'adore ce genre de scénarios d'horreur psycho-spatiale !
Et c'est super bien géré parce que là on a une sitcom extrêmement bien éclairée, tout est lumineux tout est coloré et pourtant l'ambiance y est !
Puis bon... j'ai peur des araignées alors forcément...
J'ai lu un peu plus haut que cette série pourrait être très bonne pour décourir la SF. C'est vrai. Je vois bien le truc comme lorsque j'ai découvert Code Quantum ou, même si c'est beaucoup plus tard, Stargate SG1.
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- "Capitaine, je voudrais mettre tout le monde en garde contre les tartes à la crême."
:LOL::LOL:
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